article procès

Blog sur les répressions contre GJ & verts. Mis à pied 19dec2018->5sept19.


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------------>LA PETITION DU NEUROCHIRURGIEN POUR INTERDIRE LBD------------------------------------------- Un projectile de type LBD4O lancé à 90m/sec (324 km/h) a une force d’impact de 200 joules: c’est comme ~parpaing de 20kg d’une hauteur de 1m tombant sur votre pied sur un angle arrondi de 4cm! En octobre 2010, un lycéen de 16 ans de Montreuil participait à un blocus, a reçu un tir LBD qui a entraîné de multiples fractures au visage et perte de l'œil touché. Le 2 avril 2015, le policier auteur du tir est condamné à un an de prison avec sursis. Mustapha Ziani est décédé le 12 décembre 2010 à Marseille après être atteint au thorax par un Flash-Ball. Le tir a été effectué à 4,40 mètres de la victime "cause directe et exclusive" de sa mort. 2016 le policier Xavier Crubezy, est condamné à 6 mois de prison avec sursis... Le 8 mars 2019 le maire de Phalsbourg (Moselle) a pris un arrêté interdisant les LBD sur sa commune pour la journée de manifestations des Gilets Jaunes prévu le 9 mars sur sa commune. Il explique que cet arrêté est symbolique car il n'a pas d'autorité sur les forces nationales de la gendarmerie. Le 19 janvier 2019, le neurochirurgien et chef de service au CHRU de Besançon Laurent Thines lance une pétition adressée au Ministre de l'Intérieur pour demander un moratoire sur l’utilisation des armes sub-létales, dont les LBD. La pétition de Laurent Thines est vers 200 000 signatures. https://www.change.org/p/les-soignants-fran%C3%A7ais-pour-un-moratoire-sur-l-utilisation-des-armes-dites-moins-l%C3%A9tales

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27 aout 2019, Un directeur du CNRS évincé

Un directeur du CNRS critique la gestion policière du mouvement Gilets jaunes et il est évincé de l'enseignement à l’école des commissaires

Sébastien Roché, directeur de recherche au CNRS, avait critiqué la gestion du maintien de l’ordre durant la crise des Gilets jaunes, et le manque d’indépendance de l’ IGPN. Il dénonce une “décision politique”.

https://www.liberation.fr/france/2019/08/27/l-ecole-des-commissaires-evince-un-sociologue-critique-a-l-egard-de-la-police

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IMPORTANT

Au CNRS, les chercheurs doivent respecter des règles déontologiques inhérentes aux métiers de la recherche, notamment lors de prises de position publiques. Ce blog ne reflète que MES OPINIONS PERSONNELLES et n'engage pas mes domaines d'expertise, et encore moins mon employeur le CNRS.

Comme lanceur d'alerte, je me suis permis de rendre public des parties de mon dossier administratif de fonctionnaire.

Ce blog vise aussi à être une chonologie des événements de fin 2018 à mai 2020 (ACTE 80 soit 80 samedis GJ) avec l'état d'urgence lié au prétexte "peur du covid" qui fut la fin (momentanée?) des dernières actions des GJ. Ce mouvement wikipédien est de nature nouvelle et inaugure les impacts et chocs imprévisibles du monde numérique des écrans sur notre vie concrète.

Ma dernière action GJ : j'ai participé à un reportage de FR3 pour les 5 ans des GJ en novembre 2023: https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/loire/saint-etienne/j-ai-entendu-leur-souffrance-et-ca-m-a-fait-mal-retour-sur-un-rond-point-avec-stephane-gilet-jaune-par-empathie-2874194.html

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REFERENCES:

Voir le livre: QU'en est-il du droit de la recherche ?

Voir aussi les publications de monsieur joël moret-bailly, professeur au sein de l'UMR CERCRID et Référent déontologue CNRS et ​Vice-président du Comité de déontologie des ministères chargés des affaires sociales.

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jeudi 28 novembre 2019

préparation acte 55 samedi 30 nov, et des news



Marseille samedi 30 nov national

un acte 55 dédié à Zineb, aux personnes tuées par les FDO, et à toutes les victimes de violences policières, mutilé.es, blessé.es, etc.

Le lendemain, dimanche 1er Décembre, à 18h55, à l’heure du tir meurtrier contre Zineb, un rassemblement aura lieu sous ses fenêtres, en bas de rue des Feuillants, dans le quartier de Noailles, à Marseille. Ni oubli, ni pardon.

les "1 an" de la mort de Zineb, mère de 7 enfants,  acte III à Marseille tuée par 2 tirs de lacrymo en cloche visant sa fenêtre. Situé au 4èeme étage. Sous son balcon, passait la manifestation, elle meurt 24h plus tard, à l’hôpital.

Alors que le triste anniversaire de sa mort approche, les rues de Marseille qui depuis un an sont recouvertes d’hommages à Zineb, devenue symbole de la répression policière, la marche en son honneur se prépare. Le samedi 30 novembre, les gilets jaunes de Marseille ont lancé un appel national en hommage à Zineb (Appel national pour Zineb 1 an après Marseille Acte 55).

La mort de Zineb s’inscrit dans un contexte d’impunité policière ahurissante. Aucune justice n’a été obtenue pour Zineb, Castaner à nié à plusieurs reprises la responsabilité de la police. Il déclarait pour tenter de légitimer une police qui mutile et tue « Je ne voudrais pas qu’on laisse penser que les forces de l’ordre ont tué Zineb Redouane, parce que c’est faux ». Plusieurs faits prouvent le contraire, comme nous l’avons dénoncé à maintes reprises. Lorsque Zineb a été touchée par la grenade, elle était au téléphone avec sa fille Milfet et criait, désemparée : « Il m’a visée ! » En effet, le témoignage bouleversant de sa fille rend compte de la violence de l’acte des policiers.

6 mois après sa mort, Le Média révèle une autopsie qui démontre la cause de sa mort : le coup de grenade lacrymogène. Contrairement à la première autopsie réalisée par le service de médecine légale de la Timone à Marseille – qui entretenait un flou volontaire autour des causes de la mort de Zineb en mettant en avant ses antécédents médicaux – cette deuxième autopsie est concluante. Cette version, qui va à l’encontre de la version officielle et des déclarations de Castaner, vient reconfirmer la responsabilité de la police dans la mort de Zineb.

Le comité Vérité et justice pour Zineb, animé notamment par sa fille Milfet, se bat depuis un an pour obtenir vérité. Milfet avait également exprimé  "une injustice faite à un seul d’entre nous est une menace faite à tous... et un crime qui reste impuni est une permission pour d’autres crimes ».

Depuis le 1er décembre 2018, l’impunité de la police n’a pas faibli. Pire encore, on félicite les policiers, et en Juin dernier, le chef des CRS qui ont tiré sur Zineb Redouane est médaillé par le ministre de l’Intérieur. Les policiers eux, continuent de mutiler. Encore samedi dernier, un gilet jaune, Manu, a perdu un œil.

Les 2 CRS et leur capitaine qui a accepté la médaille "gilet jauine " de gaz-ta-mère vivent à la talaudière près de st-étienne. Ils mangent, boivent et s'amusent et sont encore venus au contact des gilets jaunes ce 22 nov lors de la visite de la ministre de la justice à ST-Etienne.

Samedi 30, faisons de la mobilisation des gilets jaunes un hommage à Zineb, et à toutes les victimes des violences de la police. Car il n’est plus possible que la police mutile, tue et éborgne sans cesse et sans justice. Comme le scandent les gilets jaunes tous les samedis : La police fait son travail, « ça crève les yeux ! »


https://mars-infos.org/appel-national-pour-zineb-1-an-4484

Grièvement blessée, Zineb Redouane est morte le lendemain, à l'hôpital, sur la table d'opération. Une information judiciaire a été ouverte le 4 décembre pour déterminer les causes de la mort mais, sept mois plus tard, plusieurs zones d'ombre persistent dans ce dossier. La famille de l'octogénaire a de son côté porté plainte, en avril, pour "violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner".

Les causes de la mort

Après la mort de Zineb Redouane, le procureur de Marseille, Xavier Tarabeux, avait d'abord affirmé que l'octogénaire avait succombé "d'un arrêt cardiaque sur la table d'opération". "A ce stade, on ne peut pas établir de lien de cause à effet entre la blessure et le décès", avait-il affirmé. L'autopsie, réalisée au lendemain du décès à la demande du parquet, a mis en évidence "un traumatisme facial sévère avec fractures", ainsi que "des fractures costales et un œdème pulmonaire aigu qui serait la cause du décès, après tentative de réanimation", selon un communiqué de la cour d'appel. Rédigé par deux médecins légaux du CHU de la Timone, le document, cité par Mediapart, précise que seul le dossier médical de la victime "pourrait déterminer avec plus de précision les circonstances de survenue du décès".

Une autre autopsie, menée en Algérie vingt-cinq jours après la mort, à la demande du tribunal de Dar El Beïda et révélée par Le Media mardi 2 juillet, ne prend pas autant de précautions dans son analyse des faits constatés. Plus péremptoire, la contre-expertise évoque ainsi un "important traumatisme facial imputable à l’impact d’un projectile non pénétrant (…) pouvant correspondre à une balle lacrymogène". D'après ce document, ce "traumatisme est directement responsable de la mort par aggravation de l'état antérieur".

L'identité du tireur

Le 1er décembre, lors de la manifestation qui se tient autour du domicile de Zineb Redouane, cinq CRS étaient dotés de lanceurs de grenades. Avec le capitaine qui les dirigeait, ils ont été entendus par l'IGPN à la fin du mois de janvier, indique Mediapart, qui publie des extraits des auditions. Tous les policiers ont affirmé ne pas savoir lequel d'entre eux avait tiré la grenade qui a touché l'octogénaire.

Même confrontés aux images de vidéosurveillance, ils ont affirmé ne pas être en mesure d'identifier le tireur. "Cela peut être moi ou pas, je n’ai aucune certitude", a notamment affirmé l'un d'entre eux, cité par Mediapart. "La grenade retrouvée provenait d’un gilet de recomplètement. On s’en est rendu compte par le numéro. Mais impossible de dire qui était le porteur", a affirmé aux enquêteurs un des cinq policiers.

"Je pense que l'identité du tireur est en réalité bien connue. Quand ils disent qu'ils sont cinq à avoir des lance-grenades ce jour-là mais qu'ils ne sont pas capables de savoir qui a tiré, je ne peux pas y croire, s'indigne  auprès de franceinfo Yassine Bouzrou, l'avocat de la famille de Zineb Redouane. Lorsque des suspects donnent des explications invraisemblables et fantaisistes, la pratique judiciaire et policière classique, c'est de les placer en garde à vue et de les mettre en examen. Cela n'a pas été le cas ici. Comment ne pas douter de la qualité de l'enquête menée par l'IGPN ?"

La présence d'un magistrat dans la manifestation

Un autre élément crée la confusion dans cette enquête. Le 27 juin, Mediapart a révélé la présence André Ribes, le vice-procureur du parquet de Marseille, aux côtés des policiers sur le terrain le 1er décembre. Sa présence a été signalée par les policiers lors de leurs auditions, menées à la fin du mois de janvier. Lui n'en avait informé ni les enquêteurs, ni la juge d'instruction marseillaise en charge du dossier, selon le site d'information.

"Il n'est pas normal qu'un membre du parquet qui était présent sur les lieux au moment où madame Redouane a été touchée par la grenade n'a pas fait état de sa présence au magistrat instructeur. Il aurait pu fournir des éléments utiles à l'enquête", regrette Yassine Bouzrou. Fait encore plus troublant selon l'avocat : André Ribes était en charge de l'enquête jusqu'à ce que celle-ci soit confiée à un juge d'instruction, le 5 décembre.

Persuadé que, dans ce contexte, "une enquête objective n'était pas possible à Marseille", Yassine Bouzrou a réclamé le dépaysement des investigations. Une demande soutenue par le parquet général d'Aix-en-Provence et désormais transmise à la Cour de cassation, qui pourra choisir quelle juridiction prendra le relais.

voir aussi 

https://stef-mottin.blogspot.com/2019/07/un-meurtrier-dun-gilet-jaune-st-etienne.html
les "meurtriers" de la "gilet jaune" Zineb 80ans de Marseille vivent à St-Etienne: 3 CRS50 de La Talaudière. Détails des contre-expertises sur sa mort. Manif Gilet jaune à Marseille 1dec 19h: conclusion, elle aurait été tuée par 2 tirs (poitrine et visage) par cette CRS 50.

que j'avais publié le 4 juillet 2019.


La CRS50 à la Talaudière 
(c'est 160pers; 132 fonctionnaires en tenue),
fêtait son anniversaire des 70ans
le 24 janvier 2015.

Ils aiment "faire mal" 
car ils ont des méd-aïe
 pour cela.
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28 nov; Les pompiers veulent occuper notre place de la République si connu par les GJ, à Paris pendant toute une semaine!

À l’appel du syndicat SUD-SDIS, les soldats du feu prévoient 5 jours de « rassemblement non stop » place de la République du lundi au vendredi, au sein d’un « village pacifique » après la manifestation « sabotée » du 15 octobre dernier selon leurs propres mots. Et les mécontentements sont nombreux.
Appels à tous les GJ à venir les soutenir.

https://rmc.bfmtv.com/emission/les-pompiers-veulent-occuper-la-place-de-la-republique-a-paris-pendant-toute-une-semaine-1814461.html
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Paris

À ma connaissance, aucune manifestation Gilets jaunes n'a été déclarée dans Paris pour ce samedi 30nov.

ca sert à quoi si le prefet l'interdit après 15minutes en nous nassant comme à place d'Italie, samedi dernier!

Melun: Rendez-vous à 13h devant le Castorama Champs de Foire
Manifestation déclarée - appel à toute la région parisienne
Facebook: total 740 participants + intéressés

Autres rendez-vous
MEDEF: Rendez-vous à 14h00, 55 av Bosquet, Métro École-militaire
Manifestation contre le chômage et la précarité
(Ceci n'est pas une manifestation organisée par des Gilets jaunes)
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Bref j'ai l'impression que notre samedi va passer le 5nov ;-)

RDV du 5 décembre pour départ collectif à la manifestation. On peut se rejoindre à plusieurs moments par paquet de GJ. On reste en binôme et on prend soin les uns des autres. Les copains de province ou de grande banlieue qui ne connaissent pas bien  Paris se font connaître auprès des GJ, comme d'hab.

Voici les RDV sur Paris pour le 5dec:

RDV 1 : 9H30 devant la bourse du travail de Pantin

RDV 2 : 11h30 devant la mairie pour départ en car à manif avec les syndicats de la ville

RDV 3 : 13H30 métro Jacques Bonsergent

RDV 4 : à partir de 17h (en fonction de la manif) bar Le Liberté, 196 rue du faubourg saint Antoine Paris 12

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St-é, Givors, Lyon, comme d'hab ;-)


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25 novembre 2019 Nîmes : Audience encore suspendue, des gilets jaunes se couchent dans le tribunal

un gilet jaune comparaissait devant le tribunal correctionnel de Nîmes pour participation sans arme à un attroupement après sommation de se disperser, le 15 juin dernier à Nîmes lors d’une manifestation. Le prévenu devait être jugé hier, mais son affaire a été renvoyée car le tribunal ne pouvait pas statuer à juge unique …

Les forces de l’ordre ont été obligées de l’accompagner à l’extérieur de la salle d’audience tandis que quelques-uns de ses soutiens se sont couchés dans la salle du tribunal correctionnel en témoignage de mécontentement. L’audience a été suspendue. Une trentaine de gilets jaunes étaient présents.

https://www.objectifgard.com/2019/11/21/nimes-des-gilets-jaunes-se-couchent-dans-la-salle-daudience-du-tribunal/

Pour la troisième fois en quelques jours, des gilets jaunes étaient appelés à comparaître devant le tribunal correctionnel de Nîmes pour avoir participé à des manifestations non autorisées. Mais l’annonce du report, un de plus, de l’audience à une date ultérieure a mis le feu aux poudres.

C’est une scène surréaliste au palais de justice de Nîmes ce mercredi 20 novembre. Une figure emblématique des gilets gardois est évacué par les forcs de l’ordre suivi par d’autres gilets jaunes: « ils reportent les audiences sans arrêt mais ils ne nous jugeront pas, » ne décolère pas Roland Veuillet.



et le 20nov, un GJ notoire sorti par la police du tribual à Nimes
A VOIR 
Une figure emblématique des gilets gardois 
est évacué par les forces de l’ordre suivi par d’autres gilets jaunes...


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Regardez les manifestants nassés dans un parking à Toulouse pour l’Acte 54


et aussi à PAris à place d'Italie mais ca a été très médialtisé même par BFM-TV..

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Tarbes : Des gilets jaunes reçus par le maire le 21 novembre 2019

Une quarantaine de gilets jaunes ont été reçus ce mercredi soir par le maire de Tarbes, Gérard Trémège, dans les Hautes-Pyrénées.

La réunion a duré deux heures, en mairie. C’était la deuxième du genre, cette année. Une quarantaine de gilets jaunes ont pu interpeller le maire sur différents sujets, et notamment sur le logement. Sur ce point, Gérard Trémège annonce que 110 logements insalubres seront rénovés dans le centre-ville d’ici trois ans, grâce à des aides pour les propriétaires.

ACTIONS ACTE II des GJ: rencontrez le maire avec les journalistes 

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Lors du premier anniversaire des gilets jaunes, deux policiers ont été contraints de se retrancher dans une laverie pour échapper à des manifestants.

Les images de la scène avaient fait le tour des réseaux sociaux. Lors des manifestations à l'occasion du premier anniversaire des gilets jaunes le 16 novembre dernier, deux policiers avaient été pris à partie par un groupe de casseurs. Acculés, les deux policiers avaient été contraints de se retrancher dans une laverie sous une pluie de projectiles et d'insultes. L'un des agresseurs a été condamné à un an de prison ferme trois jours plus tard. 

"J'avais la main sur la crosse" : l'un des policiers retranchés dans une laverie témoigne:
Une dizaine de jours après les faits, l'un des deux policiers s'est confié auprès de BFMTV. "À un moment donné ils [les manifestants] font en sorte qu'on soit esseulé. Donc on se retrouve à deux et on reçoit des insultes : 'tuez-les ', 'niquez-les'", retrace-t-il. C'est alors que les deux policiers se mettent à courir pour échapper à leurs poursuivants, et se retranchent dans une laverie. Un journaliste de L'Obs capte alors la scène sur son téléphone, avant de la partager sur les réseaux sociaux.
https://www.lexpress.fr/actualite/societe/j-avais-la-main-sur-la-crosse-l-un-des-policiers-retranches-dans-une-laverie-temoigne_2109222.html
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Une étude Insee confirme que le pactole des réformes Macron revient aux riches

Cette enquête de l’Insee étudie l’impact concret des réformes fiscales de l’année 2018 sur le niveau de vie des Français.  Ce sont les 10 % des citoyens les plus aisés qui en ont bénéficié.
Les Français les plus aisés ont été les principaux bénéficiaires des mesures fiscales mises en oeuvre en 2018, selon l’édition 2019 de l’étude de l’Insee « France, portrait social », rendue publique mardi 19 novembre.

Depuis son accession à la présidence en 2017, Emmanuel Macron a remplacé l’impôt de solidarité sur la fortune par un impôt sur la fortune immobilière et mis en place un prélèvement forfaitaire unique (« flat tax ») de 30% sur les revenus du capital.

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La hausse des indicateurs de pauvreté

La crise sociale que traversent actuellement les hôpitaux français n'est pas sans rappeler d'autres mouvements protestataires, qui se sont accumulés durant l'année : Gilets jaunes, mobilisation des pompiers, contestation étudiante, appels à une grève interprofessionnelle... En outre, les indicateurs sociaux négatifs se multiplient, dépeignant un tableau plus sombre que celui brossé par Richard Ferrand dans les colonnes du JDD.

Les chiffres inquiétants de la montée de la pauvreté en France Selon un rapport de l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) rendu public le 16 octobre 2019, le «taux de pauvreté monétaire» (la proportion de personnes au niveau de vie inférieur au seuil de pauvreté) aurait augmenté en France de 0,6 point durant l'année 2018 par rapport à l'an précédent, pour atteindre 14,7% de la population, soit 9,3 millions de Français. 

Un constat simultanément corroboré par celui de l'organisme européen de statistiques Eurostat, qui a publié, le même jour, une étude mentionnant l'évolution des personnes menacées de pauvreté, ou d'exclusion sociale au sein de l'UE. Selon les données du rapport, la France serait en proie à une augmentation du «risque de pauvreté après transferts sociaux». «Depuis 2008, le pourcentage hexagonal de ces personnes pauvres malgré les aides a augmenté [...] d'un point, quasiment de 12,5% à 13,4% de la population considérée comme pauvre», rapporte alors Le Parisien à ce sujet. Ces chiffres ne sont pas anodins au regard de la corrélation, démontrée par l'Insee, entre le niveau de vie et l'espérance de vie, l'allongement statistique de cette dernière étant actuellement évoquée par le camp présidentiel à l'approche de la réforme des retraites. «Nous vivons plus longtemps, et en bonne santé», s'est par exemple félicité Richard Ferrand dans le JDD, concluant : «Nous allons tendanciellement devoir travailler plus».

Sept Français sur dix «préfèrent» avoir froid qu'allumer le chauffage...

Le choix de la formule avait fait tiquer les internautes, qui n'ont guère apprécié la notion de préférence sur une telle problématique. En tout état de cause, selon une enquête Odoxa publiée le 12 novembre, à l'approche de l'hiver, 71% des Français font «le choix» de se passer de chauffage. «En cause, le montant de la facture qui grimpe, à mesure que les températures baissent», rapporte alors Le Figaro. Comme l'explique l'étude, les citoyens les plus précaires sont les premiers à éprouver des difficultés à se chauffer. En effet, d'après le rapport, 76% des retraités et 79% des foyers gagnant entre 1 500 et 2 500 euros mensuels sont les plus poussés à ce «choix» d'économie, qui s'inscrit dans le phénomène qualifié de «précarité énergétique».

De plus en plus d'étudiants vont aux Restos du cœur

Enfin, comme le rapporte Le Monde ce 26 novembre, les étudiants sont de plus en plus nombreux à grossir les rangs des plus de 900 000 bénéficiaires des Restos du cœur, l'organisme d'aide alimentaire français fondé par Coluche. En 2018, près de 30 000 étudiants y ont ainsi sollicité des distributions de repas. Selon le quotidien qui cite également l’enquête 2016 de l’Observatoire national de la vie étudiante (OVE), un quart des étudiants expliquaient rencontrer d’importantes difficultés financières, et 5% d'entre eux étaient en situation de «grande précarité». Les Restos du cœur affirment que 80% des étudiants vivent avec moins de 513 euros par mois, soit la moitié du montant du seuil de pauvreté. Et 20% seraient sans ressources. Signe que la problématique est de taille dans le milieu estudiantin, nombre d'universités ont récemment vu s'organiser des rassemblements contre la précarité, notamment après l'immolation d'un étudiant lyonnais de 22 ans, le 8 novembre, devant un restaurant universitaire. Dans sa lettre, le jeune homme évoquait le manque d'espoir dans l'avenir, accusant les derniers présidents et l'UE de l'avoir «tué».

Contrastant avec le dynamisme français mis en avant par Richard Ferrand, les indicateurs de pauvreté connaissent une tendance à la hausse en France, 6ième puissance économique mondiale.

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il y a telment de manif que ca montre que la macronie ca craque de partout

Les agriculteurs en colère et leur millier de tracteurs quittent Paris après une journée de manifestation
Après avoir notamment tenté de bloquer les Champs-Elysées, les agriculteurs mobilisés à Paris face aux difficultés économiques qu’affronte la profession et contre la défiance d'une partie des citoyens quant à la problématique des pesticides, ont levé le camp mercredi soir.

28 nov “Block Friday” : des militants écolos bloquent un entrepôt d'Amazon à Brétigny dans l'Essonne

Un mouvement de grève est lancé jeudi 28 novembre dans les hôpitaux de Pont-à-Mousson et de  Pompey/Lay-Saint-Christophe à l’appel de la CGT. Le préavis de grève est déposé jusqu'au 5 décembre. 

Strasbourg-Meinau : la manifestation lycéenne dégénère, trois interpellations
Une manifestation lycéenne a dégénéré ce mercredi 27 novembre au matin devant le lycée Couffignal dans le quartier de la Meinau à Strasbourg, occasionnant d’importants dégâts matériels. Les forces de l’ordre ont procédé à trois interpellations pour dégradations.
e centaine de jeunes se sont rassemblés devant le lycée Couffignal de Strasbourg ce mercredi 27 novembre aux alentours de 8h. La manifestation lycéenne, qui avait fait l'objet d'un appel sur les réseaux sociaux mardi soir, a rapidement dégénéré.
une voiture a été brûlée et plusieurs autres ont été dégradées.

Ce mardi 26nov après-midi, ils étaient une centaine d’étudiants rassemblés dans le centre-ville de Nantes pour manifester contre la précarité. La leur, mais aussi celle des sans-papiers…ce qui a donné lieu à un face à face tendu avec la police.
Une centaine de jeunes se rassemble, direction le RU pour une opération "Restaurant Universitaire" gratuit.

À 13h, rendez-vous  est donné à la croisée des trams dans le centre-ville.
L’objectif : afficher leur solidarité avec l’étudiant qui, le 8 novembre dernier, a tenté de s’immoler par le feu devant le CROUS de Lyon et dénoncer leur propre situation.

Université de Strasbourg : une assemblée générale contre la précarité étudiante




Un corse: Un accord entre direction et représentants syndicaux du centre de tri de Bastia a été trouvé, ce mardi 26 novembre, mettant fin à 32 jours de conflit.

https://france3-regions.francetvinfo.fr/corse/haute-corse/grand-bastia/poste-fin-conflit-bastia-cap-1754809.html

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22nov; Deux plaintes ont été déposées à l'encontre des forces de l'ordre. Il s'agit de 2 observateurs de la Ligue des droits de l'Homme, présents lors de chaque manifestations des gilets jaunes, ils dénoncent des actes de violence policière le 16 novembre dernier, Place de la Comédie, à Montpellier.
https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/herault/montpellier/montpellier-2-observateurs-ligue-droits-homme-denoncent-violences-policieres-1753439.html
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Dans son dernier pointage, 
le Conseil constitutionnel a enregistré le 20 novembre 
969.000 soutiens au "RIP" 
sur la privatisation d'Aéroports de Paris (ADP).

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17nov; Assemblée nationale Fasquelle dénonce le « népotisme » de Macron, dont la belle-fille a rencontré le préfet du Pas-de-Calais

Le député du Pas-de-Calais, Daniel Fasquelle, a dénoncé ce mardi à l’Assemblée nationale la rencontre entre le préfet du département et Tiphaine Auzière, belle-fille d’Emmanuel Macron.

Daniel Fasquelle enrage depuis la rencontre, vendredi dernier, entre Tiphaine Auzière et le préfet du Pas-de-Calais. Après avoir exprimé sa colère sur les réseaux sociaux et dans la presse, il a lancé ce mardi sa charge depuis l’Hémicycle de l’Assemblée. «  Comment qualifier autrement que de népotisme, les agissements de la belle fille du président de la République dans mon département du Pas-de-Calais ?  »

https://www.lavoixdunord.fr/247871/article/2017-10-17/fasquelle-denonce-le-nepotisme-de-macron-dont-la-belle-fille-rencontre-le-prefet#&pwd
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commande de 1 280 exemplaires de lanceurs de balles de défense (LBD)

 le ministère de l'Intérieur vient en effet de passer commande de 1 280 exemplaires de lanceurs de balles de défense (LBD), à l'usine Alsetex, dans la Sarthe.

 Cette acquisition se fait au "profit des services de la police nationale et de la gendarmerie nationale", mentionne l'avis publié le mercredi 27 novembre 2019 sur le Bulletin officiel des annonces des marchés publics (BOAMP). La valeur totale de la commande est estimée à 1 638 400 euros.

https://www.francetvinfo.fr/live/message/5dd/fc2/3b8/256/bf6/fc6/70e/3c4.html

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Je finis avec la violence judiciaire

y a bcp de procès GJ.

notre kate et son copain et l'autre GJ ont obtenu relaxe avant-hier  à clermont (pour la nationale de clermont); 4 GJ de st-é  y sont allés.

juste un petit cadeau pour finir avec le sourire:


31 décembre 2018, lettre de FO

Le SNPREES-FO s'est adressé au PDG du CNRS, avec copie au délégué régional Rhône-Auvergne et à la présidente de l'Université Jean Mo...