article procès

Blog sur les répressions contre GJ & verts. Mis à pied 19dec2018->5sept19.


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------------>LA PETITION DU NEUROCHIRURGIEN POUR INTERDIRE LBD------------------------------------------- Un projectile de type LBD4O lancé à 90m/sec (324 km/h) a une force d’impact de 200 joules: c’est comme ~parpaing de 20kg d’une hauteur de 1m tombant sur votre pied sur un angle arrondi de 4cm! En octobre 2010, un lycéen de 16 ans de Montreuil participait à un blocus, a reçu un tir LBD qui a entraîné de multiples fractures au visage et perte de l'œil touché. Le 2 avril 2015, le policier auteur du tir est condamné à un an de prison avec sursis. Mustapha Ziani est décédé le 12 décembre 2010 à Marseille après être atteint au thorax par un Flash-Ball. Le tir a été effectué à 4,40 mètres de la victime "cause directe et exclusive" de sa mort. 2016 le policier Xavier Crubezy, est condamné à 6 mois de prison avec sursis... Le 8 mars 2019 le maire de Phalsbourg (Moselle) a pris un arrêté interdisant les LBD sur sa commune pour la journée de manifestations des Gilets Jaunes prévu le 9 mars sur sa commune. Il explique que cet arrêté est symbolique car il n'a pas d'autorité sur les forces nationales de la gendarmerie. Le 19 janvier 2019, le neurochirurgien et chef de service au CHRU de Besançon Laurent Thines lance une pétition adressée au Ministre de l'Intérieur pour demander un moratoire sur l’utilisation des armes sub-létales, dont les LBD. La pétition de Laurent Thines est vers 200 000 signatures. https://www.change.org/p/les-soignants-fran%C3%A7ais-pour-un-moratoire-sur-l-utilisation-des-armes-dites-moins-l%C3%A9tales

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27 aout 2019, Un directeur du CNRS évincé

Un directeur du CNRS critique la gestion policière du mouvement Gilets jaunes et il est évincé de l'enseignement à l’école des commissaires

Sébastien Roché, directeur de recherche au CNRS, avait critiqué la gestion du maintien de l’ordre durant la crise des Gilets jaunes, et le manque d’indépendance de l’ IGPN. Il dénonce une “décision politique”.

https://www.liberation.fr/france/2019/08/27/l-ecole-des-commissaires-evince-un-sociologue-critique-a-l-egard-de-la-police

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IMPORTANT

Au CNRS, les chercheurs doivent respecter des règles déontologiques inhérentes aux métiers de la recherche, notamment lors de prises de position publiques. Ce blog ne reflète que MES OPINIONS PERSONNELLES et n'engage pas mes domaines d'expertise, et encore moins mon employeur le CNRS.

Comme lanceur d'alerte, je me suis permis de rendre public des parties de mon dossier administratif de fonctionnaire.

Ce blog vise aussi à être une chonologie des événements de fin 2018 à mai 2020 (ACTE 80 soit 80 samedis GJ) avec l'état d'urgence lié au prétexte "peur du covid" qui fut la fin (momentanée?) des dernières actions des GJ. Ce mouvement wikipédien est de nature nouvelle et inaugure les impacts et chocs imprévisibles du monde numérique des écrans sur notre vie concrète.

Ma dernière action GJ : j'ai participé à un reportage de FR3 pour les 5 ans des GJ en novembre 2023: https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/loire/saint-etienne/j-ai-entendu-leur-souffrance-et-ca-m-a-fait-mal-retour-sur-un-rond-point-avec-stephane-gilet-jaune-par-empathie-2874194.html

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REFERENCES:

Voir le livre: QU'en est-il du droit de la recherche ?

Voir aussi les publications de monsieur joël moret-bailly, professeur au sein de l'UMR CERCRID et Référent déontologue CNRS et ​Vice-président du Comité de déontologie des ministères chargés des affaires sociales.

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vendredi 31 janvier 2020

compte-rendu mer29janv_prépa acte 64, et news

31janv: l’étudiant stéphanois immolé toujours dans le coma mais son état s’améliore

Anas K., l’étudiant qui s’était immolé par le feu en novembre à Lyon pour dénoncer la précarité étudiante, reste dans le coma près de trois mois plus tard mais son état s’améliore, annoncent ses proches.

«Même s’il est toujours plongé dans le coma, il vit et son état s’améliore. Les greffes de peaux prennent. Il récupère bien et il progresse de jour en jour dans sa guérison», est-il écrit sur la page Facebook «Soutenons Anas et sa famille».

ON N OUBLIE PAS!

Affaire Zineb Redouane, une page dans wikipedia

ON N'OUBLIERA JAMAIS
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mer29janv manif pour une vraie retraite à st-é

nous étions très nombreux encore (8ième manif pour une vraie retraite digne)
bcp de syndicats
et une ~50aine de GJ déter

1100 selon la police
plus de 2000 en vrai

qq de mes photos



place du peuple


devant le poste de campagne du maire


et à la fin, chacun a mis son "objet"

qq de mes vidéos

manifestation saint-etienne devant le local du maire
video de 11secondes
celles dessous ~20s




Roanne

manif à ~800 personnes

Municipales: «Les colistiers En Marche ont peur, et on est à Roanne…»

Andréa Iacovella, candidat de La République en marche (LREM) à l’élection municipale de Roanne, dénonce des tensions, des intimidations et des menaces autour de sa campagne, et s’interroge sur son maintien comme tête de liste.
https://www.leprogres.fr/edition-loire-nord/2020/01/28/les-gens-ont-peur-et-on-est-a-roanne

Rond point de Givors

Quand je suis passé samedi dernier acte 63, en début d'aprem il y avait une ~15GJ au rond point de Givors.
Ils occupent aussi un autre RP...
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La nationale à Montpellier

Acte 64 : Appel National À Montpellier - Tou.te.s en parapluie !
Suite à un vote, la date du 1er février 2020 a été choisie pour le prochain appel national à Montpellier !

Journée de lutte, RDV dès le matin, à 10h au traditionnel lieu de RDV ; la Place de la Comédie !
https://herault.demosphere.net/rv/13818
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A Paris

Manif des « gilets jaunes » samedi à Paris : la préfecture va interdire de très nombreux secteurs

Palais Royal: rv à 13h
« Acte 64 : Liberté, Égalité, Fraternité »
Manifestation déclarée par
Faouzi Lellouche, Sébastien Philippart, Nadia
La préfécture a interdit plusieurs secteurs traversés par ce trajet.
Trajet: Palais Royal > Sénat > Matignon > Assemblée nationale

Trajet détaillé: Place du Palais Royal > Rue de Rivoli > Rue de l'Amiral de Coligny > Quai François Mitterrand > Pont des Arts > Quai Conti > Rue Mazarine > Rue de l'Ancienne Comédie > Rue de Condé > Rue Vaugirard > Rue Bonaparte > Rue Saint Suplice > Rue de Babylone > Boulevard Raspail > Rue de Varenne > Rue Belle Chasse > Boulevard Saint Germain > Place du Palais Bourbon.

Secteurs interdits par la préfecture:
Champs Elysées
Assemblée nationale
Matignon
Sénat
Notre-Dame
Trocadéro et Champs de Mars
Forum des Halles
Saint-Lazare et Grands magasins

La Préfecture de Police a pris un arrêté qui limite considérablement les zones autorisées pour la manifestation des « gilets jaunes », samedi à Paris. L’avocat des organisateurs dénonce « des méthodes discriminatoires ».



Valence : une nouvelle manifestation de Gilets jaunes acte 64 1er fev interdite par le préfet de la Drôme

es Gilets jaunes souhaitaient défiler à nouveau dans les rues de Valence ce samedi 1er février. Le préfet de la Drôme a refusé de leur accorder une autorisation suite aux incidents de samedi dernier.
Des jets de pierre, du gaz lacrymogène et deux blessés légers… la manifestation des Gilets jaunes samedi dernier, le 25 janvier, avait été autorisée mais elle a été émaillée d’incidents dans le centre-ville de Valence. Alors, à la nouvelle demande d’autorisation pour un rassemblement ce samedi 1er février, le préfet de la Drôme a répondu non. Interdiction de manifester pour éviter de nouveaux troubles à l’ordre public.


À Valence, une "gilet jaune" porte plainte pour violences policières

Christelle a-t-elle été victime de violences policières ? C'est ce qu'avance cette "gilet jaune", blessée au visage au cours de son interpellation en décembre dernier.

Le samedi 7 décembre, une trentaine de gilets jaunes se rendent en fin d'après-midi sur un rond-point du plateau des Couleures à Valence (Drôme). "Nous ne bloquions pas la circulation, assure Christelle. _Nous faisions des tours de rond-point mais en restant dessus."  Avertis de la présence du groupe, des policiers et des gendarmes viennent à leur rencontre. "Quand nous avons entendu les sirènes, nous sommes tous partis pour regagner notre véhicule poursuit la gilet jaune."_ Les policiers décident de procéder à des contrôles d'identité.

Des versions différentes
C'est ici que les versions divergent. Christelle prend la fuite vers le magasin Boulanger. Deux motards policiers la suivent à vive allure et elle prend peur. Ils la rattrapent. "L'un d'eux me prend les deux bras, m'emmènent entre deux voitures, explique Christelle. L'autre arrive par derrière, me fait une balayette et me fait tomber. Il me prend la tête et me la colle contre le bitume." Résultat : une arcade sourcilière ouverte, qui nécessite huit points de suture. 

Pour les policiers, lors de sa fuite, Christelle aurait donné un coup de pied dans l'une des sacoches d'une moto. Une fois arrêtée, elle se serait énervée, se serait débattue donnant des coups de pied aux motards. À force de se débattre, les policiers l'auraient lâchée involontairement. S'estimant également victimes de violences, ils ont décidé de porter plainte contre la gilet jaune.

Convoquée pour répondre aux accusations des policiers
Christelle est convoquée ce vendredi 31 janvier au commissariat de Valence. Elle aura l'occasion de s'exprimer sur les violences policières qu'elle dénonce. Elle devra également répondre aux accusations des fonctionnaires de police.
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Carcassonne : les 6 Gilets jaunes ne paieront pas leur amende de 4 €


Verbalisés pour avoir circulé à pied sur l’A 61, ce qu’ils contestent, les contrevenants ne paieront rien.
Les six Gilets jaunes du collectif « Carcassonne en colère » ne paieront pas l’amende de 4 € dont ils ont écopé le 4 janvier dernier, lors de leur opération « péage gratuit » menée à Carcassonne-Est (Trèbes). Amende qui s’élèvera à 7 € si elle n’est pas acquittée dans les 45 jours. Sur le PV, il est spécifié aux contrevenants : « Vous avez été intercepté » pour « circulation d’un piéton sur une autoroute ».

Jugements des gilets jaunes qui avaient envahi l'Aéroport de Dole : jusqu'à 2 mois de prison ferme


du ferme pour les copains plus notoires
A ECOUTER


Le Faou : le médecin gilet jaune condamné à 500 € d’amende

Le trentenaire avait entravé la circulation, le 30 mars 2019, lors d’un acte des gilets jaunes sur la RN 165, au niveau du Faou. Il a été condamné à 500 € d’amende par le tribunal de Quimper.
Le jugement avait été mis en délibéré au 20 janvier. Le 11 décembre 2019, Marie-Noëlle Collobert, la magistrate du parquet de Quimper, avait requis un mois de prison avec sursis et 400 € d’amende à l’encontre d’un homme âgé de 30 ans, pour des faits datant du 30 mars 2019, sur la RN 165, au niveau du Faou.

En ce samedi-là, le médecin généraliste prend part à une manifestation non autorisée des Gilets jaunes sur la voie express. Porteur d’un masque à gaz qui dissimule son visage et bloquant la circulation, il est interpellé par les gendarmes à 15 h 30. « Je ne pense pas que nous entravions la circulation puisqu’elle était déjà redirigée avant mon arrivée, explique le médecin généraliste au tribunal de Quimper, le 11 décembre, près de neuf mois après les faits. Il est vrai que j’avais un masque à gaz car j’avais peur des gaz lacrymogènes ». D’un ton insolent, il continue : « Je manifeste assez souvent et c’était une protection et non une dissimulation. D’ailleurs, on pouvait voir mon visage à travers le verre ».

« Il est normal que mon client ait eu une protection pendant la manifestation, relève Me Pierre Tracol. Quant à l’entrave de la circulation, il n’y a pas eu d’acte délibéré. Cette affaire est le produit d’une procédure bien gênante. Je demande la relaxe de mon client ».

Le président Christophe Lepetitcorps a suivi une partie des réquisitions en condamnant le prévenu à 400 € d’amende pour l’entrave à la circulation et à une amende de 100 € pour la dissimulation de visage.
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Un gilet jaune poursuivi pour avoir planté un potager sur un rond-point

Franchement, les autorités publiques n’ont pas l’air d’aimer les légumes.» Rémi, 33 ans, avait planté un jardin potager sur un rond-point de Plateau d’Hauteville (Ain), le 31 mai avec un groupe de gilets jaunes. Ce mercredi, il était convoqué par le délégué du procureur de la République de Nantua (Ain), qui lui a proposé une journée de stage de citoyenneté dont il devra supporter le coût, 150 euros. Rémi envisage de refuser la sanction, prononcée dans le cadre d'une procédure de médiation (la «composition judiciaire»), ce qui le renverrait en audience devant le tribunal correctionnel.

Végétaux arrachés
«N’était-ce pas un acte de citoyenneté que de créer un jardin citoyen ?» s’étonne Rémi, qui déplore des poursuites judiciaires «absurdes». Le jardinier amateur plante le décor : un rond-point face au casino municipal du Plateau d’Hauteville, ville de 5 200 habitants née en janvier 2019 de la fusion de trois communes. Comme sur les autres giratoires de France, les gilets jaunes occupent le terrain chaque vendredi soir depuis avril, pour des grillades et discussions. «Nous n’avons jamais touché ni au massif de fleurs ni aux pancartes annonçant les événements dans la commune», explique le menuisier à Libération.

Quand le collectif décide de «planter 2 m2 de salade, tomates et potimarrons dans un pauvre gazon», la mairie réagit en moins de vingt-quatre heures. Arrachage des végétaux et plainte en justice. Rémi, figure locale militante, est le seul identifié par les gendarmes et bientôt poursuivi pour avoir «dégradé et détérioré volontairement un bien destiné à l’utilité ou à la décoration publique, en l’espèce un rond-point […] en causant un dommage grave». L’auteur des faits préfère parler de «réappropriation et partage de l’espace public».

«Complicité de jardinage»
Le maire (LR), Philippe Emin, justifie sa position  : «J’ai voulu réaffirmer l’autorité municipale et enrayer ce climat hostile». Sa cérémonie de vœux, le 17 janvier, a été perturbée par les gilets jaunes qui lui ont demandé une nouvelle fois de retirer sa plainte et ont tenté, en vain, de lui offrir une caissette de légumes.

Ce mercredi matin, une centaine de personnes se sont mobilisées en solidarité avec Rémi, un «collectif de soutien au potager d’Hauteville» et une intersyndicale CGT-FSU FO-Solidaires, qui ont manifesté devant le palais de justice de Nantua, sous la pluie, avant de rejoindre le cortège contre la réforme des retraites à Bourg-en-Bresse. Plusieurs militants réclament au procureur d’être poursuivis pour «complicité de jardinage», sans avoir été entendus pour l’instant. Rémi a retrouvé les copains avec une soupe chaude. Une gerbe de légumes a été déposée sur les marches du tribunal. L’espoir d’un acquittement demeure, vaillamment porté par une pancarte : "L’oignon fait la force."

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Toulouse 30janv occupation galeries Lafayette

500 manifestant-e-s occupent les galeries Lafayette dans une action festive et pacifique. Allons les soutenir, seule l’unité et la solidarité fera reculer l’Etat.

Saint-Brieuc

Environ 200 gilets jaunes étaient de nouveau réunis, ce samedi 25 janvier à Saint-Brieuc. Les manifestations, qui s’étaient donné rendez-vous devant la préfecture à 14 h 30, ont parcouru le centre-ville tout au long de l’après-midi.
En marge du cortège, et du parcours établi, un groupe de gilets jaunes a tenté d’investir la RN12, à la sortie de la ville. Ils ont été rapidement délogés par les forces de l’ordre. D’autres manifestants ont pris la direction du commissariat, obligeant les policiers à faire barrage devant l’entrée
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les taxes qui augmentent au 1er février

les GJ ont une première revendication : la baisse des taxes

Les tarifs réglementés de l'électricité augmentent de 2,4% dès le samedi 1er février .

Au 1er février, les péages augmentent. --> 0,85% en moyenne pour les sociétés "historiques" telles que l'APRR, la Sanef, Area, l'ASF, Cofiroute, Escota et SAPN, et 1,59% pour les concessions plus récentes. Les contrats de concession signés entre l'État et les concessionnaires autoroutiers leur permettent en effet d'augmenter chaque année leurs tarifs au minimum de 70% de l'inflation de l'année passée. En dix ans, le prix des péages a connu une hausse de 20%.
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ACTIONS

31 janv 2020 Paris : Les avocats forcent les portes du ministère de la justice 

40secondes

Les gilets jaunes perturbent le discours du député Hammouche (LREM)



LES gilets sur FRANCE24 

manif du 24janv acte 63 Paris
~60000 GJ

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mardi 28 janvier 2020

mercredi 29 janvier 2020 manifestations; compte-rendu acte 63; et news violence police contre pompiers

 mercredi 29 janvier dans la Loire

- Saint-Étienne : rassemblement à 9H devant l’IA (au-dessus de Centre Deux), en particulier pour soutenir les collègues du lycée Beauregard à Montbrison, menacés de poursuites pour avoir voulu protester contre la réforme du baccalauréat ,

- Saint-Étienne : manifestation interprofessionnelle à 10H30, départ de la Liberté (au-dessous de centre Deux), jusqu’à l’Hôtel de Ville,

- Roanne : 10H30 Centre universitaire, jusqu’à la Sécurité Sociale
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acte 63 25janv à Valence : Face à face musclé entre policiers et gilets jaunes

https://www.dailymotion.com/video/x7r2qpm

Samedi 25 janvier, la manifestation des gilets jaunes contre la réforme des retraites à Valence a donné lieu à des affrontements avec les forces de "sécurité".

Les gilets jaunes et des syndicats avaient appelé à manifester à 14h au champ de Mars pour une manif déclarée.
Une manif non-déclarée gilets jaunes devait démarrer à 11h de Valence Sud, mais le préfet l’a interdite et ses flics ont empêché tout rassemblement à cet endroit là.
A Valence Sud, il semble qu’une personne ait été arrêtée pour possession de pétards/fumigènes.

- Des arrêtés préfectoraux spéciaux ont été pris pour toute la journée, permettant aux flics des contrôles d’identité partout et la fouille des véhicules.

- Le matin à 10h30 au kiosque, contrôle d’identité de notre groupe de nanas, qui était la pour répéter un futur Flashmob -

- Un hélicoptère de la gendarmerie survolait en permanence la manifestation afin de tout surveiller, de tout enregistrer par caméra, et de renseigner les flics au sol.

- Comme à Paris et ailleurs, un camion lanceur d’eau est là,

Bref, une ambiance de terreur d’Etat, comme trop souvent. Mais les manifestants sont bien obligés de s’y habituer, de s’endurcir, et ils continuent malgré tout courageusement.

- quelques membres des syndicats Snuipp, CNT, FSU, Solidaires, CGT - De nombreux gilets jaunes étaient très déçus de voir aussi peu de syndiqués...


 A chaque gazage, la foule dispersée se rassemblait pour repartir unie dans une ambiance bon enfant. A la fin du parcours officiel à la préfecture, le cortège s’est rendu dans le centre ville pour une « manif sauvage ».

Un premier arrêt a été fait au local LAREM. La vitrine a été symboliquement recouverte de jets de peinture.

Le deuxième arrêt devant le centre commercial Victor Hugo (comprenant de grandes enseignes telles que McDonalds et la FNAC) a permis un blocage temporaire de la zone, sous le chant « Anti ! Anti ! Anti-capitaliste ! ». Le groupe a tenté d’entrer par l’arrière du centre commercial mais il manquait de monde et les grilles se sont refermées avant qu’il ne soit possible de s’y infiltrer.

S’en sont suivi des violences et menaces policières. Une personne a été blessée par un tir de LBD, une autre par une grenade lacrymo à la tête (confirmation par le médic qui l’a prise en charge, mais ca va mieux).
Dans le centre-ville, nombreux sont les enfants et passants qui se sont fait gazer.

7 interpellations

et


- Un blessé par flash ball devant pharmacie lestra

- Une blessée au pôle bus par un éclat de grenade explosive au niveau abdominal,
- Une grenade lacrymo reçue dans une épaule ?
- Une main brûlée
- Le reste d’une grenade a déchiré une partie d’une cheville d’un gilet jaune. Il boîte mais soigné.

12min de video


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VIOLENCE POLICIÈRE DISPROPORTIONNÉE À BORDEAUX / ACTE 63


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bcp de manif gilet jaune samedi acte 63 dans bcp de villes

https://www.youtube.com/results?search_query=acte+63

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28 janv manif pompiers  Paris, bcp de violencessss de la police


Face à face tendu ce mardi après-midi entre pompiers et forces de l'ordre à Paris, à l'occasion d'une manifestation des sapeurs-pompiers. Plusieurs milliers de soldats du feu défilaient à Paris pour dénoncer le manque d'effectifs et de reconnaissance de leur profession et réclamer des garanties pour leur retraite.

Deux manifestants ont été interpellés en marge de la manifestation, a annoncé la préfecture de police de Paris. Deux policiers ont par ailleurs été blessés.

Ils sont partis peu après 14H00 de la place de la République en direction de Nation, terminus de la manifestation.

De premiers pb ont éclaté alors que le cortège venait de partir de la place de la République. Les sapeurs-pompiers en tête de cortège faisaient face au cordon de forces de l'ordre, qui encadrait la manifestation et donne le rythme de la marche et les "bloquaient" alors. Les forces de l'ordre ont alors répliqué avec des gaz lacrymogènes.

Le cortège s'est ensuite scindé en deux. Une partie des manifestants est restée place de la Nation, lieu d'arrivée prévue du cortège. Une autre a tenté de quitter la place pour rejoindre le périphérique. Selon nos informations, un grillage avait notamment été installé sur le périphérique pour barrer la route des manifestants.


Un policier de la BRAV donne un coup de poing a un pompier
en direct sur LCI

Hallucinant ! Les pompiers ont réussi à arracher une des barrières anti émeute. 
Malgré les lacrymo et le canon à eau. Situation très tendue. 

Peu avant 17 heures, certains manifestants sont parvenus à s'introduire sur le périphérique au niveau de la porte Dorée. Ces derniers ont contourné le dispositif de sécurité mis en place en passant par des immeubles d'habitation. Les pompiers ont été repoussés par les forces de l'ordre au canon à eau et par des tirs de gaz lacrymogène et de grenades assourdissantes.

Les passagers du métro pris au piège par les gazs lacrymogène s
ont secouru par les pompiers qui manifestaient
(vidéo sur ma chaine YouTube)

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manif 25 janv paris, policiers ciblent deux motards à l'arrêt, leur prennent leurs clés et les jettent dans la rue et arrachent leur gilet jaune!



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27 janv; Castaner hué au meeting de Benjamin Griveaux 

On a intercepté Castaner et Nuñez à la sortie du meeting de Griveaux
Castaner et Nuñez à la sortie du meeting de Griveaux
hués par des gilets jaunes

CONTRE LA MACRONIE: 26janv Le local du candidat LREM de Chalon emmuré par des opposants à la réforme des retraites

en début d’après-midi, une trentaine d’opposants à la réforme des retraites ont obstrué le local de campagne d’Alain Rousselot-Pailley, candidat officiel de LREM et chef de file de la liste Ensemble Chalon, aux élections municipales, avec des manuels scolaires obsolètes

5ième suicide dans les forces de l'ordre

Benjamin B. était un maréchal des logis gendarme âgé de 38 ans. « Le corps sans vie d’un gradé de 38 ans affecté à la brigade de gendarmerie de Valenciennes a été découvert dans son logement de service, peu après minuit », dans la nuit de vendredi à samedi explique la gendarmerie des Hauts-de-France dans un communiqué.

 Seul au moment des faits, ce gradé aurait utilisé son arme de service pour mettre fin à ses jours », peut-on également lire.
Une enquête a été ouverte afin de déterminer les circonstances de la mort de ce militaire. La police nationale a été chargée de l’enquête par le parquet.

Il s’agirait du premier gendarme à se suicider depuis le 1er janvier alors qu’au moins 17 ont mis fin à leurs jours en 2019. Dans le même temps, au moins 4 policiers nationaux se sont suicidés depuis le début de l’année. 59 autres se sont ôter la vie l’année dernière.

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«Mort au roi», «guillotine» : dans les cortèges, les slogans anti-Macron se durcissent

«Louis XVI on l’a décapité, Macron on peut recommencer», chantent certains manifestants
Une «collecte pour une guillotine» avait par exemple été installée sur la place de la Concorde, lieu d'arrivée du cortège, et endroit même où le roi Louis XVI fut décapité le 21 janvier 1793 (la place s'appelait alors «Place de la Révolution»). Sur cette même place, le slogan «mort au Roi, derrière tes flics tu flippes» avait été inscrit sur le sol. Comme depuis de nombreuses semaines, des slogans plus «classiques», comme des appels à la démission d’Emmanuel Macron, ont aussi été entendus durant le défilé
l’exécutif semble sur ses gardes. Vendredi, le chemin menant à l’Élysée à partir de Concorde était bloqué par des barrières et surveillé par de nombreux gendarmes. Une vigilance sans doute accrue depuis la sortie mouvementée d'Emmanuel Macron au théâtre des Bouffes du Nord.

https://www.lefigaro.fr/social/mort-au-roi-guillotine-dans-les-corteges-les-slogans-anti-macron-se-durcissent-20200125

ca craque dans la macro-nie

Le mouvement des Gilets jaunes, la défiance de certains Français envers le président en plein mouvement social autour de la réformedes retraites, les mauvais sondages de Benjamin Griveaux pour la mairie de Paris… Marlène Schiappa voit rouge et elle le fait savoir.Selon Le Canard enchaîné du 22 janvier, la secrétaire d’État a dressé un constat plutôt noir face à l’équipe dirigeante de La République en marche.

Marlène Schiappa fataliste : « nous sommes devenus chiants »

« Nous baignons dans la sinistrose ! (…) Nous sommes tristes, austères. (…) Le climat est anxiogène. Alors que pendant la campagne présidentielle, nous avons vendu des sourires, de l’enthousiasme et de la confiance dans le lendemain. Deux ans et demi après, nous n’avons pas réussi à renouer avec cet esprit », a lancé Marlène Schiappa le 17 janvier dernier face aux collaborateurs du chef du parti Stanislas Guerini.



https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/marlene-schiappa-fataliste-nous-sommes-devenus-chiants_442155

31 décembre 2018, lettre de FO

Le SNPREES-FO s'est adressé au PDG du CNRS, avec copie au délégué régional Rhône-Auvergne et à la présidente de l'Université Jean Mo...