article procès

Blog sur les répressions contre GJ & verts. Mis à pied 19dec2018->5sept19.


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------------>LA PETITION DU NEUROCHIRURGIEN POUR INTERDIRE LBD------------------------------------------- Un projectile de type LBD4O lancé à 90m/sec (324 km/h) a une force d’impact de 200 joules: c’est comme ~parpaing de 20kg d’une hauteur de 1m tombant sur votre pied sur un angle arrondi de 4cm! En octobre 2010, un lycéen de 16 ans de Montreuil participait à un blocus, a reçu un tir LBD qui a entraîné de multiples fractures au visage et perte de l'œil touché. Le 2 avril 2015, le policier auteur du tir est condamné à un an de prison avec sursis. Mustapha Ziani est décédé le 12 décembre 2010 à Marseille après être atteint au thorax par un Flash-Ball. Le tir a été effectué à 4,40 mètres de la victime "cause directe et exclusive" de sa mort. 2016 le policier Xavier Crubezy, est condamné à 6 mois de prison avec sursis... Le 8 mars 2019 le maire de Phalsbourg (Moselle) a pris un arrêté interdisant les LBD sur sa commune pour la journée de manifestations des Gilets Jaunes prévu le 9 mars sur sa commune. Il explique que cet arrêté est symbolique car il n'a pas d'autorité sur les forces nationales de la gendarmerie. Le 19 janvier 2019, le neurochirurgien et chef de service au CHRU de Besançon Laurent Thines lance une pétition adressée au Ministre de l'Intérieur pour demander un moratoire sur l’utilisation des armes sub-létales, dont les LBD. La pétition de Laurent Thines est vers 200 000 signatures. https://www.change.org/p/les-soignants-fran%C3%A7ais-pour-un-moratoire-sur-l-utilisation-des-armes-dites-moins-l%C3%A9tales

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27 aout 2019, Un directeur du CNRS évincé

Un directeur du CNRS critique la gestion policière du mouvement Gilets jaunes et il est évincé de l'enseignement à l’école des commissaires

Sébastien Roché, directeur de recherche au CNRS, avait critiqué la gestion du maintien de l’ordre durant la crise des Gilets jaunes, et le manque d’indépendance de l’ IGPN. Il dénonce une “décision politique”.

https://www.liberation.fr/france/2019/08/27/l-ecole-des-commissaires-evince-un-sociologue-critique-a-l-egard-de-la-police

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IMPORTANT

Au CNRS, les chercheurs doivent respecter des règles déontologiques inhérentes aux métiers de la recherche, notamment lors de prises de position publiques. Ce blog ne reflète que MES OPINIONS PERSONNELLES et n'engage pas mes domaines d'expertise, et encore moins mon employeur le CNRS.

Comme lanceur d'alerte, je me suis permis de rendre public des parties de mon dossier administratif de fonctionnaire.

Ce blog vise aussi à être une chonologie des événements de fin 2018 à mai 2020 (ACTE 80 soit 80 samedis GJ) avec l'état d'urgence lié au prétexte "peur du covid" qui fut la fin (momentanée?) des dernières actions des GJ. Ce mouvement wikipédien est de nature nouvelle et inaugure les impacts et chocs imprévisibles du monde numérique des écrans sur notre vie concrète.

Ma dernière action GJ : j'ai participé à un reportage de FR3 pour les 5 ans des GJ en novembre 2023: https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/loire/saint-etienne/j-ai-entendu-leur-souffrance-et-ca-m-a-fait-mal-retour-sur-un-rond-point-avec-stephane-gilet-jaune-par-empathie-2874194.html

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REFERENCES:

Voir le livre: QU'en est-il du droit de la recherche ?

Voir aussi les publications de monsieur joël moret-bailly, professeur au sein de l'UMR CERCRID et Référent déontologue CNRS et ​Vice-président du Comité de déontologie des ministères chargés des affaires sociales.

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samedi 28 décembre 2019

préparation acte 59 sam 28 dec et dim 29dec. cabane GJ haute loire brûlée à Noel! et news et une bonne rigolade des slogans de la LREM eux municip


En introduction de ce post, mon avocat m'a prévenu hier vendredi 27dec que les 4 anti-GJ qui avaient cramé le rond-point de Méons le sam 5janv et m'avaient cramé aussi à l'essence n'ont pas demandé de recours ni d'appel...

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Interdiction sur LYON et GIVORS



ATTENTION samedi dernier, pleins de GJ ont eu 135euros d'amende sur la place bellecour. La dernière fois c'était la première fois qu'une partie de la place bellecour était interdite et ils recommencent!


Alors qu'une nouvelle mobilisation contre la réforme des retraites a été la Part-Dieu le vendredi 27dec, le préfet du Rhône et de région a annoncé, par communiqué, la mise en place de périmètres d'interdiction de manifestation ce week-end -samedi 28 et dimanche 29 décembre 2019).

"Depuis plusieurs mois, des manifestations revendicatives se déroulent dans le centre-ville de Lyon ainsi qu’aux abords de certains pôles de commerce et de loisirs. Ces manifestations ont régulièrement fait l’objet de scènes de violences et ont engendré de nombreux troubles à l’ordre public.

En parallèle, l’hyper-centre de Lyon et les zones commerciales connaîtront une affluence importante ce week-end, en période de fêtes de fin d’année et d’ouverture des commerces le dimanche.

Afin de prévenir les dégradations et les violences de certaines personnes présentes dans les cortèges dans des zones très fréquentées, Pascal Mailhos, préfet de la région Auvergne-Rhône-Alpes, préfet du Rhône, a pris des arrêtés interdisant tout défilé ou rassemblement revendicatif .

Voici les périmètres concernés

Samedi 28 décembre
A Lyon:
le samedi 28 décembre 2019, à Lyon, de 8 heures à 22heures dans les périmètres suivants :
Périmètre 1 dit « Presqu’Île » : la rue du Puits Gaillot, la place des Terreaux, la rue d’Algérie, le quai Saint Vincent, le quai de la Pêcherie, le quai Saint Antoine, le quai des Célestins, le quai Tilsitt, la rue Antoine de Saint Exupéry, la chaussée Sud Bellecour, la rue Victor Hugo, la chaussée Sud Bellecour, la place Antonin Poncet, le quai Gailleton, le quai Jules Courmont et le quai Jean Moulin. Les quais Saint-Vincent, de la Pêcherie, Saint Antoine, des Célestins, Tilsitt, Gailleton, Jules Courmont, Jean Moulin sont exclus de ce périmètre.
Périmètre 2 dit « Part-Dieu » délimité par l’angle de la rue Garibaldi et du cours Lafayette, rue Garibaldi, rue du Docteur Bouchut, rue du Lac, rue Desaix, boulevard Marius Vivier-Merle, avenue Georges Pompidou, rue de la Villette et cours Lafayette. La rue Garibaldi est exclue de ce périmètre.
Périmètre 3 dit « Confluence » délimité par le quai Rambaud, la rue Montrochet, le cours Charlemagne et le cours Bayard. Le cours Charlemagne est exclu de ce périmètre.

A Givors

le samedi 28 décembre de 8 heures à 20 heures dans le périmètre délimité par les voies suivantes:
route Rive de Gier du numéro 1 à l’intersection avec le chemin de St Martin de Cornas, échangeur et rond-points de Givors ouest-10, rue de la Démocratie, rue de la Paix, rue de Montrond, rue Fleury Neuvesel, rue du Moulin, rue et impasse Platière, échangeur Givors centre 9.1, rue des Tuileries, promenade Thorez, rue Victor Hugo, échangeur et rond-point Givors centre commercial 9.3 (ensemble des voies elles-mêmes comprises dans le périmètre).

Dimanche 29 décembre

A Lyon
de 8 heures à 22heures, dans les périmètres suivants :

Périmètre 1 dit « Presqu’Île » : la rue du Puits Gaillot, la place des Terreaux, la rue d’Algérie, le quai Saint Vincent, le quai de la Pêcherie, le quai Saint Antoine, le quai des Célestins, le quai Tilsitt, la rue Antoine de Saint Exupéry, la chaussée Sud Bellecour, la rue Victor Hugo, la chaussée Sud Bellecour, la place Antonin Poncet, le quai Gailleton, le quai Jules Courmont et le quai Jean Moulin. Les quais Saint-Vincent, de la Pêcherie, Saint Antoine, des Célestins, Tilsitt, Gailleton, Jules Courmont, Jean Moulin sont exclus de ce périmètre.
Périmètre 2 dit « Part-Dieu » délimité par l’angle de la rue Garibaldi et du cours Lafayette, rue Garibaldi, rue du Docteur Bouchut, rue du Lac, rue Desaix, boulevard Marius Vivier-Merle, avenue Georges Pompidou, rue de la Villette et cours Lafayette. La rue Garibaldi est exclue de ce périmètre.

A Givors

de 8 heures à 20 heures dans le périmètre délimité par les voies suivantes :

route Rive de Gier du numéro 1 à l’intersection avec le chemin de St Martin de Cornas, échangeur et rond-points de Givors ouest-10, rue de la Démocratie, rue de la Paix, rue de Montrond, rue Fleury Neuvesel, rue du Moulin, rue et impasse Platière, échangeur Givors centre 9.1, rue des Tuileries, promenade Thorez, rue Victor Hugo, échangeur et rond-point Givors centre commercial 9.3 (ensemble des voies elles-mêmes comprises dans le périmètre).

"Le préfet appelle par ailleurs à la vigilance et au sens des responsabilités de chacun. Il convient de respecter l’itinéraire des manifestations déclarées et de s’éloigner de toutes les personnes commettant des actes violents ou délictueux."

VOIR LES ARRETES

http://www.rhone.gouv.fr/Actualites/PERIMETRES-D-INTERDICTION-DE-MANIFESTATION-LES-SAMEDI-28-ET-DIMANCHE-29-DECEMBRE-2019
https://twitter.com/prefetrhone

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A st-é, comme d'hab

Paris

Manifestation à Paris des Gilets jaunes
Acte 59

Principaux rendez-vous Gilets jaunes:
Place de la Bourse: rendez-vous à 11h, départ à 11h30 (ou 12h)
« Acte 59 : ralliement général, tous ensemble »
Trajet: Place de la Bourse > République > Gare du Nord
Jonction à Gare du Nord avec la manifestation intersyndicale retraites


Face à la répression:
Coordination antirépression Paris-IdF:
Interpellation, violences policières, proches sans nouvelles:
Numéro d'urgence: 07 52 95 71 11
Non urgent: stoprepression@riseup.net

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la cabane des Gilets jaunes érigée à côté du giratoire des Fangeas, à Solignac-sur-Loire, a été détruite en 2 fois par un incendie le mardi 24 dec. 



Incendie qui a tout l'air d'être criminel.
En ce mardi matin, une poignée de Gilets jaunes se sont rassemblés sur le terrain qu'ils occupent depuis plusieurs mois, à côté du giratoire des Fangeas, à Solignac-sur-Loire. Ils sont "les bâtisseurs" de la jolie cabane. Ou plutôt, ce qu'il en reste.

La veille, dans la nuit noire, la maisonnette au bord de la nationale a été détruite par un incendie. Les sapeurs-pompiers ont été appelés à deux reprises pour éteindre les flammes : à 20 h 45 d'abord, puis sur les coups de 22 heures.

La première fois, le feu a pris sur les palettes stockées à proximité de la cabane. Le sinistre, bien qu'éteint par les soldats du feu, a repris de plus belle une heure plus tard. A l'arrivée des secours, la cahute était, cette fois, totalement embrasée. Elle a été réduite en poussière.

"C'est la deuxième fois qu'elle est détruite", déplorent les bâtisseurs venus constater l'ampleur des dégâts mardi 24 décembre, au lever du jour. S'ils ne soupconnent personne en particulier, ils en sont sûr, l'incendie est "criminel".

Reconstruire ? Les Gilets jaunes l'envisagent. Ils devaient en discuter ensemble, mardi matin. Mais ça ne se fera pas aujourd'hui. En ce jour de fête, comme beaucoup d'autres Français, ils avaient "d'autres projets" sur le feu...

ON LACHE RIEN!
ON VOUS SOUTIENT LES GJ de Haute-Loire

https://www.leveil.fr/solignac-sur-loire-43370/actualites/gilets-jaunes-la-cabane-des-fangeas-a-solignac-sur-loire-a-brule-dans-la-nuit_13713466/
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« Gilets jaunes » à Nancy : condamné à Trois ans  de prison ferme pour un manifestant GJ papa d'un nourrisson...

L’année s’achève sur une peine de prison ferme pour ce « gilet jaune ». L’homme de 35 ans, accusé d’avoir blessé trois policiers avec un engin explosif lors d’une manifestation à Nancy en décembre 2018, a été condamné vendredi 27 décembre par le tribunal correctionnel de Nancy à 3 ans et demi de prison, dont 6 mois avec sursis. Il a également été reconnu coupable d’avoir dégradé deux radars en Meurthe-et-Moselle, avec un second prévenu, âgé de 31 ans. Ce dernier a été condamné à quatre mois avec sursis.

« Il s’agit de jeunes gens normaux, qui, très rapidement, se sont radicalisés » et pour qui le mouvement de protestation sociale « était l’occasion de faire n’importe quoi », a relevé le procureur, François Pérain. Suite à ces incidents, l’enquête s’était intéressée au trentenaire après son contrôle, en possession notamment de pétards et d’artifices de type mortier, le 29 décembre 2018 lors d’une nouvelle manifestation de « gilets jaunes ». Condamné à huit mois de prison pour ces faits, il doit être rejugé prochainement en appel.

A l’audience, le prévenu, autoentrepreneur dans la réparation de deux-roues et père d’un nourrisson, a nié les faits. Craignant que son client soit « un bouc émissaire », son avocate a demandé la relaxe, sauf pour la fabrication de l’engin explosif. Du matériel pour la confection de bombes artisanales avait été saisi lors de perquisitions.

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La répression s'intensifie, je donne que cet exemple:

Nîmes : le gilet jaune notoire très actif Roland Veuillet remis en liberté sous contrôle judiciaire


Roland Veuillet a été remis en liberté sous contrôle judiciaire ce jeudi. Ce gilet jaune nîmois a obligation de pointer tous les deux jours en semaine et le samedi. Il lui est également interdit de sortir du département et de manifester jusqu’au jour de son procès, prévu le 9 janvier.
"Fatigué, très amaigri mais toujours aussi déterminé !" C'est ainsi que Maître Ottan, l'avocat de Roland Veuillet, décrivait son client, ce jeudi soir.

Incarcéré depuis le 12 décembre dernier pour outrage aux forces de l'ordre et à la justice, ce gilet jaune très actif dans le mouvement à Nîmes a perdu une douzaine de kilos derrière les barreaux en faisant une grève de la faim.
Libéré, il devra néanmoins se présenter à la gendarmerie tous les deux jours en semaine et le samedi.
Il lui est également interdit de sortir du département et de manifester jusqu’au jour de son procès, prévu le 9 janvier.

La justice lui reproche plusieurs faits comme des manifestations illégales, entrave à la circulation sur des ronds points, outrages, rébellion, tentative d'intimidation sur les forces de l'ordre....

Lui estime plutôt être dans le viseur de la police. Son comité de soutien parle de "procès politique".

Le mardi 26 novembre à midi, Roland Veuillet avait contacté la rédaction de France 3 Occitanie car il avait eu la surprise de trouver la porte de son appartement barrée par des planches de bois en rentrant chez lui.

Je n’étais pas chez moi la veille au soir, j’ai d’abord cru à un cambriolage alors j’ai sonné chez mon voisin et c’est lui qui m’a expliqué que c’était des policiers. Ils sont venus perquisitionner à 6h du matin, nous déclarait-t-il. Tout est sens dessus–dessous chez moi. Je ne comprends pas pourquoi la police ne m’a pas prévenu en voyant que je n’étais pas chez moi. J’aurais pu revenir et leur ouvrir la porte.
J’ai porté plainte auprès du procureur de la République de Nîmes contre un policier très agressif envers des manifestants. J'ai demandé à sa hiérarchie policière de sanctionner ce fonctionnaire. Le commissariat a mes coordonnées, je me suis toujours rendu à leurs convocations, alors cette façon de perquistionner est une mesure d’intimidation à mon encontre.

Contacté, le procureur de la République de Nîmes, Eric Maurel, nous avait confirmé il y a quelques jours qu’il y avait bien une procédure en cours contre Roland Veuillet et que cette perquisition avait été réalisée "très probablement dans ce cadre de cette procédure et que des policiers avaient porté plainte contre Roland Veuillet."

Prochain épisode, le 9 janvier 2020 au tribunal correctionnel de Nîmes.

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bcp de GJ ont fêté Noel sur des rond-point

exemple; Les Gilets jaunes périgourdins fêtent noël sur un rond point à Périgueux
Une vingtaine de Gilets jaunes ont passé le réveillon de noël, ce mardi 24 décembre, sur un rond point à Périgueux. Ils ont partagé une soupe et des toasts avant de se donner rendez vous le 9 janvier pour une nouvelle manifestation contre la réforme des retraites.
Enfants, parents, retraités, salariés, fonctionnaires se sont réchauffés autour d'un feu d'appoint. Ils ont partagé des amuse-bouche, de la soupe et de quoi trinquer pour ce réveillon particulier. Pour Marie, enseignante à Périgueux, cette soupe populaire est tout un symbole. Elle montre que le mouvement n'est pas mort et qu'une communauté s'est créée avec des liens forts.

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Les forces de l'ordre au bout du rouleau aussi à St-Etienne

Sous-effectifs et rappels fréquents: les policiers de la Loire en surmenage
Sur le millier d’agents qui compose la délégation départementale de sécurité publique (DDSP) de la Loire, de très nombreux policiers sont en arrêt de travail. Les syndicats dénoncent le manque de fonctionnaires et les changements d’horaires à la dernière minute.


le 5dec2019, le "99" célèbre pour ces belles gardes-à-vues.
et sa cellule "gilet jaune" de la sureté nationale
avec les 2 enqueteurs...

En interne, on évoque même le chiffre de 40 arrêts de travail en ce moment. Une situation que suivent de près les délégués syndicaux dans le département. « Oui, il y a beaucoup d’arrêts en ce moment. C’est un engrenage. Il y a des rappels incessants, les horaires sont décalés au dernier moment. C’est difficile d’organiser une vie familiale quand le vendredi, on vous dit que vous devez changer vos horaires le samedi » déplore Ghislain Micol, secrétaire départemental de l’UNSA Police 42.
es organisations syndicales s’unissent pour dénoncer un manque d’effectif et la multiplication des efforts des sur la durée. « La gestion humaine n’est pas bonne. Ce sont toujours les mêmes qui sont rappelés comme la section intervention ou le groupe de sécurité de proximité. La souplesse, on peut l’accepter un moment mais là, ça dure », poursuit le délégué qui certifie toutefois que le dialogue avec la direction n’a jamais été rompu à ce sujet.

Début décembre, une cinquantaine de policiers s’étaient mobilisés devant le commissariat du cours Fauriel à Saint-Étienne. En distribuant des tracts sous forme d’amende, ils dénonçaient la dégradation de leurs conditions de travail dont des locaux vétustes et la baisse des effectifs. « Pour le moment, les collègues ont besoin de repos et de retrouver une structure familiale cohérente » conclue Ghislain Micol.

Contactée par des journalistes, la direction départementale de la sécurité publique n’a pas souhaité s’exprimer.

« On ressent une haine anti-flic très profonde »

Surcharge de travail, stress, insécurité et vie privée bouleversée : sept policiers ligériens expérimentés ont accepté de témoigner anonymement de leur quotidien pour tirer la sonnette d’alarme.

faut pas nous gazer, nous frapper, nous crever les yeux, nous castrer, nous mettre en GAV pour rien, nous pîquer nos gilets jaunes, nous détruire nos cabanes...
battez en retraite!
qui sème la Haine, la récolte!

retraites policiers

RETRAITES – En visite officielle en Côte d’Ivoire, le président de la République a assuré que les militaires ne seraient pas touchés par la réforme des retraites, au même titre qu’une majorité de gendarmes. Des propos qui ont attisé la colère des syndicats de police, qui y voient un "mépris".

Rassurer les uns sans froisser les autres, telle était la volonté d’Emmanuel Macron devant les militaires, samedi en Côte d’Ivoire, en évoquant la réforme des retraites. Pari manqué. En assurant aux militaires et aux gendarmes qu’ils ne seraient pas concernés par la réforme, le chef de l’État s’est attiré les foudres des syndicats de police. "Alliance Police Nationale et l’UNSA Police rappellent que les policiers exercent un métier difficile avec le risque létal tout autant que les gendarmes, et qu’à ce titre ils doivent légitimement être considérés de la même manière", ont dénoncé les deux syndicats dans un communiqué publié samedi.
Lors de son discours prononcé pour le Noël des troupes dans le camp de Port-Bouët, en Côte d’Ivoire, ce week-end, Emmanuel Macron avait déclaré que "quand on est militaire, on ne touche pas la retraite, on a une pension, c’est différent", laissant entendre qu’ils ne seraient pas concernés par la réforme. Plus tôt dans la semaine, la ministre des Armées Florence Parly avait assuré aux gendarmes "qu’aucun sous-officier ne basculerait dans le régime universel".
Alors qu’ils avaient obtenu des avancées il y a quelques semaines, notamment le maintien de leur régime dérogatoire dans le régime universel, les policiers remettent désormais en doute la volonté du gouvernement sur leur situation. "Nous demandons à être traités sur le même pied d’égalité que nos collègues militaires et gendarmes", continue Stanislas Gaudon, qui menace d'un nouveau mouvement de protestation. "Il est clair que s’il n’y a pas de réponse favorable et rapide à notre demande, nous allons reprendre les actions : absence de PV, fermeture symbolique des commissariats, contrôles renforcés...", prévient-il. Plusieurs syndicats de police appellent d’ailleurs l’ensemble des organisations représentatives à se réunir en intersyndicale le lundi 6 janvier prochain.

Les anti-GJ , un exemple


Alors que les gilets jaunes, CGT, sud rail, bloquaient la base d'Intermaché 
à Anais en Charente le lundi 23 décembre 2019, 
un chauffeur routier tente d'écraser un groupe de Gilets Jaunes situés sur la route. 
Face à ce chauffard un gendarme à du dégainer son arme à feu. 
Voici les images. Le Média Indépendant.

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ATTENTION

La vitesse sera modulée sur l'A72 à partir du 23 décembre

Au total, 84.000 usagers empruntent cet axe chaque jour.

La préfecture de la Loire vient d'annoncer que le dispositif de vitesses variables sur l'A72 entrera en vigueur à partir du 23 décembre.

Ce système permet d'adapter les limitations de vitesses en fonction du trafic ou d'incident en temps réel. Le but est d'améliorer la sécurité des usagers (et augmenter le nombre d'amende).

Contrôles de vitesse à répétition: un rodage avant la nuit du réveillon

Vendredi 27dec après-midi, les gendarmes de la Loire ont procédé à une vaste opération de contrôle de vitesse sur la RD498 à hauteur de Saint-Marcellin-en-Forez. 33 excès de vitesse ont été signalés.
Ils étaient à peine installés sur le point de contrôle, vendredi après-midi, que la présence des gendarmes était déjà signalée sur les réseaux sociaux et autres applications d’aide à la conduite. Peu importe pour les forces de l’ordre, pour qui leur présence est dissuasive.

« C’est la partie préventive, ça a toujours son utilité » indiquent les militaires. Et pour preuve, une nouvelle fois, le contrôle de vitesse sur la rocade de Saint-Marcellin-en-Forez a permis de relever 33 excès de vitesse de plus de 20 km/h, sur une portion délimitée à 110 km/h. Le record est revenu à un conducteur contrôlé à 170 km/h. Il s’est vu immédiatement suspendre son permis de conduire.
En cette fin d’année, les contrôles se multiplient à une période de déplacements fréquents. « La circulation est plus intense avec les départs et les retours de vacances, rappelle le préfet de la Loire, Evence Richard, présent durant le contrôle. Il y a aussi l’effet de la grève de la SNCF ».

QAUND LE PREFET NE SE CACHE PLUS, IL FAUT NOUS LE DIRE!

Au cours du contrôle, les gendarmes ont également été confrontés à un automobiliste qui, vexé, d’avoir été sanctionné, est revenu avec du renfort sur les lieux dans une tentative d’intimidation. Une scène qui s’est terminée par la verbalisation du chauffeur, garé la une bande d’arrêt d’urgence utilisée pour l’interception des véhicules.
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pour finir en rigolant, sur une candidate dela répu en marche arrière


À Bezons (PAris), le slogan d'une candidate aux municipales fait rire
La campagne des municipales à Bezons, commune du Val d'Oise, a connu un retentissement insolite après que Sophie Stenström, candidate soutenue par la République en marche, a dévoilé son slogan de campagne : «Bezons de toutes nos forces !»
Il y a certaines phrases qu'il vaut mieux prononcer à voix haute pour éviter des doubles sens coquins, voire grivois. Le slogan de campagne de Sophie Stenström en fait partie.

Cette candidate aux municipales de 2020 à Bezons (Val d'Oise) a dévoilé juste avant Noël son affiche de campagne, avec le slogan suivant : «Bezons de toutes nos forces !

Il y a certaines phrases qu'il vaut mieux prononcer à voix haute pour éviter des doubles sens coquins, voire grivois. Le slogan de campagne de Sophie Stenström en fait partie.

Cette candidate aux municipales de 2020 à Bezons (Val d'Oise) a dévoilé juste avant Noël son affiche de campagne, avec le slogan suivant : «Bezons de toutes nos forces !



il faut lire:
Baisons de toute nos forces ........ les GJ et les pauvres.
Merci Sophie!
On savait déjà ;-)


Et sa réponse:










31 décembre 2018, lettre de FO

Le SNPREES-FO s'est adressé au PDG du CNRS, avec copie au délégué régional Rhône-Auvergne et à la présidente de l'Université Jean Mo...