En 2020, ce qui coûtait « un pognon de dingue » est devenu une priorité « quoi qu’il en coûte ».
A qui va profiter cette crise? Début d'une liste des faillites de "gros" rachetés par des + gros:
Alinéa et Naf Naf en redressement judiciaire et J.C. Penney se met en faillite. conforama, La Halle en procédure de sauvegarde au Tribunal de Commerce de Paris. HERTZ SE DÉCLARE EN FAILLITE...
Toujours la politique de répression par verbalisation...
Au premier week-end de déconfinement le 16mai et le 23 mai, des rassemblements non-autorisés, ont eu lieu dans ENORMEMENT de villes avec toujours la politique de répression par verbalisation...Dans des petites villes, le fait d'être limité à 10 a donné du courage à de nombreux GJ.
Lyon
Un périmètre d’interdiction de manifestation ce samedi 16mai à LyonLa préfecture du Rhône a ainsi pris un arrêté interdisant les cortèges, défilés et rassemblements revendicatifs ce samedi 16 mai de 8h à 22h dans le périmètre délimité par la rue du Puits-Gaillot, la place des Terreaux, la rue d’Algérie, le quai Saint-Vincent, le quai de la Pêcherie, le quai Saint-Antoine, le quai des Célestins, le quai Tilsitt, la rue Antoine-de-Saint-Exupéry, la chaussée Sud Bellecour, la place Antonin-Poncet, le quai Gailleton, le quai Jules-Courmont, le quai Jean-Moulin et la rue Victor Hugo.
Les quais Saint-Vincent, de la Pêcherie, Saint-Antoine, des Célestins, Tilsitt, Gailleton, Jean-Moulin et les places Bellecour et Antonin-Poncet sont exclus de ce périmètre.
Cette manifestation irait "à l’encontre des recommandations sanitaires gouvernementales et des autorités de santé, qui enjoignent à respecter strictement les gestes barrière, notamment la distanciation physique et à ne pas procéder à d’attroupement", rappelle le préfet dans un communiqué.
https://www.leprogres.fr/social/2020/05/15/apres-un-appel-en-partie-relaye-par-des-gilets-jaunes-un-perimetre-d-interdiction-de-manifestation-ce-samedi-a-lyon
300-400GJ à Lyon. Si une majorité portait des masques, la distanciation sociale était difficile à respecter. Les manifestants n’ont pu remonter les quais en direction de la place Bellecour, barrés par un cordon de policiers et de gendarmes.
Il y a beaucoup de monde dans les rues de Lyon pour ce premier samedi de déconfinement.
Des milliers de Lyonnais sont venus profiter du beau temps oui faire quelques achats, mais d’autres individus sont eux présents dans la capitale des Gaules pour une toute autre raison. Des dizaines de manifestants, Gilets Jaunes, se sont rassemblés sur la place Maréchal-Lyautey, dans le 6e arrondissement. Une manifestation durant laquelle quelques tensions ont été observées, notamment lors de l’interpellation d’une femme.
Peu après ce rassemblement, des petits groupes de Gilets Jaunes sans signe distinctif, se sont séparés pour venir notamment dans la Presqu’île. Le secteur est pour rappel sous le coup d’un arrêté qui interdit cortèges, défilés et rassemblements revendicatifs. Les forces de l’ordre sont donc mobilisées en nombre dans les grandes artères de l’hyper-centre de Lyon pour stopper toute personne qui enfreindrait l’arrêté.
https://www.lyonmag.com/article/107666/lyon-des-tensions-entre-commercants-passants-et-gilets-jaunes-dans-le-centre-ville
Et 23 mai
et actions au ROND POINT DE X-ROUSSE
St-Etienne, 23 mai
Valence Drôme : le préfet interdit les rassemblements à Valence après un appel des "gilets jaunes" à manifester samedi 23 mai
Montpellier et Toulouse
Les gilets jaunes interdits de manifester à Montpellier et Toulouse mais aussi dans de nombreuses ville.Les préfectures de l’Hérault et de la Haute-Garonne ont interdit des rassemblements prévus samedi à cause des "circonstances particulières" du virus.
https://www.huffingtonpost.fr/entry/gilets-jaunes-manifestations-montpellier-toulouse_fr_5ebd7268c5b655620b14021c?utm_hp_ref=fr-gilets-jaunes
À Toulouse et Nantes, qui avaient connu de fortes manifestations en 2018 et 2019, les gilets jaunes ont tenu de petits regroupements épars en centre-ville en début d’après-midi, en présence d’importantes forces de police, qui ont procédé à des verbalisations. Même situation à Bordeaux, ancien bastion du mouvement, où une partie des 150 gilets jaunes venus manifester ont déambulé par petits groupes dans le centre historique avant leur dispersion sans incident, selon la préfecture de la Gironde.
A Toulouse quelques dizaines de commerçants soutenus par le maire LR Jean-Luc Moudenc ont manifesté en riposte à ces appels lancés par les gilets jaunes. Le rassemblement, qui a réuni pour l’essentiel des représentants d’associations de commerçants, a donné lieu à plusieurs échanges tendus avec quelques gilets jaunes.
Le message de la police est clair. Contrôlée, une femme portant une pancarte refuse de s’identifier. « On l’emmène ». Il est 14 h 07 et quelques huées fusent sur la place.
Pendant le confinement, les Gilets jaunes n’ont pas perdu leurs habitudes. On se filme et on filme surtout les policiers. « Si vous persistez à vous maintenir sur les lieux, nous ferons usage de la force contre vous », rappellent à nouveau les forces de l’ordre. De Jean-Jaurès au Capitole, les contrôles se sont multipliés. Les verbalisations aussi : une cinquantaine au total.
La police a ensuite demandé la dispersion des commerçants ―venus masqués mais ne respectant pas tous la distanciation physique― conformément à un arrêté préfectoral pris jeudi pour interdire tout rassemblement sur la voie publique de plus de 10 personnes.
Un arrêté préfectoral avait également été pris jeudi pour interdire un “rassemblement non–déclaré et organisé par le mouvement des gilets jaunes” à Montpellier. Le préfet de l’Hérault avait mis en avant “les circonstances particulières liées aux mesures nécessaires pour faire face à l’épidémie de Covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire, ainsi que l’existence de risques de trouble à l’ordre public et à la sécurité publique”.
La mobilisation a finalement été aussi importante qu’à Toulouse. Environ 350 gilets jaunes se sont regroupés sur la place de la Comédie, rapidement encerclés par les forces de l’ordre. Dans un mouvement de foule, des membres des forces de l’ordre ont asséné des coups de matraque sur des manifestants. Un femme a été blessée à la tête, nécessitant l’intervention des pompiers, a constaté une journaliste de l’AFP.
23 mai
21 MAI Montpellier : la présidente des commerçants de l’Écusson évoque une milice anti gilet-jaune
Pau
Pau : quarante gilets jaunes pour le samedi de reprisehttps://www.sudouest.fr/2020/05/16/pau-quarante-gilets-jaunes-pour-le-samedi-de-reprise-7489439-4344.php
Besancon
Les Gilets Jaunes de retour à BesançonMasqués pour la plupart en raison de l'épidémie de Covid-19, les Gilets Jaunes de Besançon ne désarment pas. Ils étaient une trentaine ce samedi matin à partir de 10h, postés au rond-point de Chalezeule dans l'est bisontin, comme pour rappeler les grandes heures du mouvement.
D'une petite cinquantaine au début de la manifestation, les rangs ont progressivement grossi jusqu'à une centaine. Les manifestants ont tenté tant bien que mal de se regrouper par groupe de 10 au maximum. Après un avertissement des forces de l'ordre, les manifestants se sont séparés en plusieurs dizaines autour de la place.
Les principales figures du mouvement bisontin étaient présents : Frédéric Vuillaume - portant une pancarte "Ni oubli, ni pardon"- mais aussi l'infirmier Marc Paulin et le neurochirurgien du CHRU de Besançon, le Pr Laurent Thines. Principale revendication : des propositions concrètes pour le plan d'urgence promis par Emmanuel Macron, des revalorisations salariales et des moyens humains. "Mais pas de médaille. On n'en veut pas !" estime Marc Paulin.
https://www.macommune.info/les-gilets-jaunes-de-retour-a-besancon/
et le 23 mai, une 100aine de GJ
Marseille
une centaine de gilets jaunes dispersés par les forces de l’ordre.Une centaine de gilets jaunes se sont rassemblés cet après-midi vers 14h, quai de la fraternité à Marseille. Très vite, les forces de l’ordre sont intervenues pour empêcher le cortège de remonter la Canebière ou bien de s’engouffrer dans la rue de la République. Pour cela, ils ont fait usage de gaz lacrymogène pour disperser la foule.
https://www.laprovence.com/actu/en-direct/5990321/marseille-une-centaine-de-gilets-jaunes-disperses-par-les-forces-de-lordre.html
Nimes
Ce samedi, malgré les annonces météo, une poignée de gilets jaunes se sont réunis au rond-point de Courbessac du périf’ de Nîmes. Après ½ heure, la police est venue contrôler leurs papiers. Après leur départ, une pluie battante nous a délogés.Cannes
Les Gilets Jaunes du Rond-Point de la Victoire à Cannes se sont à nouveau retrouvés ce samedi 23 mai 2020Aussi critiques soient-ils à l’encontre du gouvernement — ce que l’on peut voir sur leurs panneaux dans le diaporama ci-dessous — ils ont rigoureusement suivi les consignes en vigueur et ont toujours respecté la limite de regroupement fixé à 10 personnes. C’est ce qu’a pu constater la gendarmerie nationale venue sur place afin de s’en assurer.
Les Gilets Jaunes de la Victoire avaient préparé deux prospectus qui furent distribués aux automobilistes qui s’arrêtaient volontiers et klaxonnaient fréquemment afin de manifester leur soutien.
Grenoble
Un "témoin" a alerté les policiers municipaux, vers 23 h 30 jeudi 21 mai, après avoir vu une femme (ou des personnes) taguer les distributeurs de tickets de la Semitag avec une bombe de peinture à l’arrêt de tramway Victor-Hugo dans le centre de Grenoble. Sur place, les agents ont effectivement constaté que les écrans, les claviers ainsi que les fentes d’insertion de carte bancaire étaient recouverts de peinture jaune.Les policiers se sont rendus à l’arrêt de la Maison du tourisme et, dans la rame, ont repéré une femme dont le signalement correspondait à celui donné par le témoin.
Contrôlée, cette femme de 39 ans a spontanément déclaré être l’auteur de six détériorations de distributeurs et, sur elle, des bombes de peinture ont été retrouvées.
L'action jaune est de dégrader les distributeurs de titres de transport pour que personne ne paie.
Strasbourg
Plus de quarante « gilets jaunes » et manifestants verbalisés à Strasbourg.Un homme a aussi été interpellé pour « rébellion et refus de se disperser »
https://www.20minutes.fr/strasbourg/2780651-20200517-strasbourg-quarantaine-gilets-jaunes-manifestants-verbalises
Colmar
Les gilets jaunes sont de retour ce samedi 16 mai au rond-point de la Statue de la liberté à Colmar. Masqués, et moins de dix pour respecter les consignes du gouvernement, ils ont manifesté leur présence pour rappeler qui sont toujours là, prêts à poursuivre leur combat. Ils ont également déployé une banderole .https://www.dna.fr/edition-colmar-guebwiller/2020/05/16/deconfinement-progressif-des-gilets-jaunes
Tarbes
Basse-Goulaine Bretagne
A l’heure du déconfinement, des Gilets jaunes sont revenus au rond-point du centre commercial Pôle Sud à Basse-Goulaine, le 15 mai. Ils avaient décidé de fêter leurs retrouvailles à midi, sur le giratoire, autour d’un apéritif convivial.Neuf d’entre eux étaient présents : « respectant les gestes barrières et portant le masque », insistent-ils.
Nous étions très heureux et émus de nous retrouver après ces longues semaines de confinement pour poursuivre le combat que nous avons commencé en novembre 2018 et poursuivi régulièrement sur ce rond-point. Sans oublier aussi notre présence dans les manifestations »,
Saint-nazaire
À Saint-Nazaire, quelque 130 personnes, gilets jaunes se sont rassemblées en début d’après-midi le 16 mai et près de la moitié a été verbalisée pour non respect de l’interdiction de manifester, selon la police.23 mai: Echauffourées et tirs de gaz lacrymogène lors d'une manifestation interdite à Saint-Nazaire
Environ 300 individus se sont rassemblés le 23 mai sur la place du Commando à Saint-Nazaire pour dénoncer la gestion de la crise du coronavirus par le gouvernement. La police est intervenue. Des échanges de projectiles ont eu lieu. Près de 150 personnes selon la police, 300 selon les estimations de Ruptly et Ouest France, se sont regroupées le 23 mai place du Commando à Saint-Nazaire, en Loire-Atlantique, pour protester contre la gestion de l'épidémie de Covid-19 par l'Etat. La manifestation étant interdite, les forces de l’ordre ont tout d’abord demandé aux individus présents de quitter les lieux, en vain. Selon France bleu, les policiers ont même distribué des flyers «pour expliquer que la mobilisation était interdite». Une photojournaliste, Estelle Ruiz, a d'ailleurs photographié le document : «En vous maintenant sur place, vous êtes en infraction [...] portant interdiction de manifestation et de rassemblement le samedi 23 mai 2020 à Saint-Nazaire [...] merci de quitter immédiatement les lieux, à défaut vous ferez l'objet de verbalisation.»
Des manifestants ont ensuite lancé des projectiles, et le cortège s'est dirigé dans un centre commercial à proximité. La police a riposté par des tirs de grenades lacrymogènes. Mouvement des GJ et aussi quelques écologistes étaient aussi sur place. 16 verbalisations et 1 interpel: «Un homme d'une trentaine d'années a été interpellé par la police pour avoir lancé plusieurs objets en leur direction»,
Paris
16 mai; À Paris, la préfecture de police a indiqué en fin d’après-midi avoir procédé à 10 verbalisations et deux interpellations sur la place de la République, rappelant que “les rassemblements de plus de 10 personnes sont interdits”.23 mai à abattoir Tradival
Une vingtaine de GJ pour contester une fois encore les politiques du président Macron. Et critiquer la gestion de la crise sanitaire à l'abattoir Tradival."Nous sommes là parce que nous reprenons notre droit à la liberté d'expression. Si on peut aller voter fin juin, si on déconfine la démocratie, nous déconfinons aussi pour descendre dans la rue.
Leur point de rendez-vous ? L'abattoir Tradival, à Fleury-les-Aubrais. "Par solidarité avec les travailleurs, par pour les attaquer", souligne un manifestant, qui trace d'ailleurs les mots "Soutien aux salariés" à la peinture jaune devant la grille.
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leville-sur-Montfort normandie pleure le décès d’Yves Leparmentier, 84ans, figure GJ
Ancien directeur d'école et secrétaire de mairie, Yves Leparmentier était ce qu'on appelle une "figure" à Illeville-sur-Montfort (Eure). Il est décédé ce jeudi 21 mai 2020.---------------
un gilet jaune qui avait été condamné à deux ans de prison ferme relaxé,un exemple des enquetes à charge contre les GJ
R., gilet jaune qui avait été condamné à deux ans de prison ferme pour l’incendie d’une voiture de police municipale lors de l’acte 43 à Montpellier, le 7 septembre 2019, a finalement été relaxé devant la cour d’appel. L’affaire avait eu un retentissement médiatique national.Lors de son procès en première instance, que nous avions couvert, son avocate Me. Aude Widuch avait tenté de mettre en évidence le manque de preuves concrètes, R. ayant été interpellé plusieurs semaines après les faits sur la base d’une dénonciation. Elle avait tenté en outre de démontrer l’incapacité des relevés de bornage téléphoniques à établir des faits précis, ou mis le doigt sur la similitude entre l’accoutrement à la “black bloc” du gilet jaune et celui de nombreuses autres personnes présentes sur les lieux des faits.
Lors de cette nouvelle audience, qui s’est, Covid19 oblige, déroulée en visio-conférence, à la faveur d’un témoignage déterminant, la Justice a finalement reconnu que la culpabilité du gilet jaune ne pouvait être démontrée, et l’a donc déclaré innocent. R. a été libéré après plus de six mois de détention. Le Parquet qui disposait jusqu’au mardi 19 mai pour se pourvoir en cassation, s’est finalement abstenu. Nous reviendrons bientôt sur cette condamnation annulée et sur le traitement judiciaire des gilets jaunes, sur lequel la LDH Montpellier a déjà fourni deux rapports très conséquents. https://www.lamuledupape.com/2019/12/10/la-ldh-montpellier-presente-son-2eme-rapport-sur-la-repression-judiciaire-des-gj/
15 mai 2020 Un Gilet jaune écope de 5 ans de prison pour un cocktail Molotov jeté sur des gendarmes à Toulouse
Le tribunal correctionnel de Toulouse a condamné un homme de 29 ans à cinq ans de prison ferme pour avoir jeté un cocktail Molotov en direction de gendarmes mobiles pendant une manifestation des Gilets jaunes en janvier 2019 à Toulouse.Après un an de détention provisoire, le suspect, sans véritable passé judiciaire et exerçant en tant que chef d’équipe dans le nettoyage, a été mis en examen pour «tentative de meurtre sur personnes dépositaires de l’autorité publique». Il a finalement été jugé pour «violences volontaires» aggravées.
L’engin incendiaire avait explosé sur les militaires qui avaient pris feu. Cela avait conduit à une incapacité totale de travail (ITT) supérieure à huit jours.
Devant le tribunal, le prévenu n’a pas donné d’explication sur ses motivations. Il a été condamné à cinq ans de prison ferme avec maintien en détention et une indemnité de 1.500 euros à payer aux deux gendarmes, dans l’attente d’une expertise.
15 mai Nîmes. Nouveau report pour le procès du gilet jaune Roland Veuillet
Reporté le 12 février en raison de la réforme des retraites, le procès de Roland Veuillet, figure nîmoise des gilets jaunes, devait se tenir jeudi 14 mai.
Libre sous contrôle judiciaire, il devra encore patienter pour connaître l'issue de son affaire en raison d'un nouveau report au mois de novembre. Roland Veuillet doit être jugé pour "acte d'intimidation envers un dépositaire de l'autorité publique, participation à un attroupement, entrave à la circulation, rébellion, dénonciation calomnieuse et outrage".
https://www.lagazettedemontpellier.fr/live/5ebe480ad4be46066562eed6/nimes-nouveau-report-pour-le-proces-du-gilet-jaune-roland-veuillet
15 mai Nantes : un adolescent GJ appelle un manifestation interdite. Il est interpellé
18 mai Amende avec sursis pour un Gilet jaune de Pouilloux Montceau-les-Mines
Un Gilet jaune à la retraite, domicilié à Pouilloux, a été condamné à 500 € d’amende avec sursis par le tribunal de Chalon-sur-Saône.20 mai, incendie d'un radar tourelle la nuit du réveillon : un gilet jaune condamné à Montargis 10mois sursis et 100 000euros à rembourser
Un GJ de 57 ans a été condamné par le tribunal correctionnel de Montargis à dix mois de prison avec sursis ce mercredi. Ce gilet jaune, résidant à Poilly-lez-Gien, avait incendié le radar tourelle situé aux Bordes, durant la nuit du Réveillon. Les gendarmes l'avaient interpellé chez lui lundi.Le parquet de Montargis, à l'audience, a requis une peine de dix-huit mois de prison, dont huit mois fermes, avec mandat de dépôt à l'issue de l'audience.
Ce père de famille, agent territorial de profession, avait été arrêté lundi 18 mai au petit matin par les gendarmes, chez lui à Poilly-lez-Gien. Les enquêteurs ont mis plusieurs semaines à remonter la piste de cet homme au casier judiciaire vierge jusque-là, en visionnant les images des caméras de vidéo-surveillance sur la route pendant la nuit du réveillon, et en utilisant les données des relais de téléphonie mobile dans le secteur.
Sa valeur était de 100 000 euros, selon la préfecture du Loiret qui a porté plainte. Le gilet jaune, condamné ce mercredi, est également condamné à rembourser cette somme.
Dans le Loiret, ce n'est pas la première fois que des gilets jaunes sont condamnés à de la prison ferme. Cela avait été le cas après l'incendie d'une mairie en janvier 2018 ou à Orléans après une manifestation fin décembre 2019.
22 mai Le gilet jaune qui avait inondé le centre des impôts de Nyons a été arrêté
24 mai À Louviers, un Gilet jaune interpellé pour outrage sur Facebook
25 mai Le quartier général des Gilets jaunes incendié dans la nuit à Rodez
De cette cabane, il ne reste plus que des ruines noircies et quelques palettes entassées. Le lieu était au centre des débats, depuis que le maire de Rodez, Christian Tesseydre, avait déclaré qu'il souhaitait la voir démontée ce dimanche, par souci de "salubrité et de sécurité publique", d'après nos confrères de Centre Presse. Plusieurs échanges de courriers avaient eu lieu, au cours desquels l'élu avait évoqué "une occupation illégale".Les gilets jaunes avaient refusé et exprimé leur souhait de rester sur ce giratoire, soutenus par plusieurs associations. Plusieurs d'entre eux y étaient d'ailleurs revenus en fin de semaine, pour relancer leur mouvement de contestation. "Le maire de Rodez nous demande en substance d'avoir le sens des responsabilités et de débarrasser le plancher d'ici dimanche. Nous, on sent que ça ne serait pas responsable de le faire", avait déclaré, un gilet jaune, Jean-Claude à nos confrères. La crise économique et sociale existait bien avant la crise sanitaire, elle n'a fait que l'aggraver. Nous pensons que nous avons toutes les raisons de relancer notre action".
C'est la deuxième fois à exactement seize mois d'intervalle : à Rodez les gilets jaunes ont retrouvé ce dimanche matin leur "quartier général" réduit en cendres.
Le dimanche 27 janvier 2019, déjà, la structure provisoire qu'ils avaient installée au milieu du rond-point de Saint-Eloi – dans une zone commerciale, à l'entrée de la ville, sur la route de Millau – avait été retrouvée incendiée.
Le sinistre s'est produit dans la nuit de samedi à dimanche : malgré l'intervention des pompiers elle a été totalement détruite par le feu.
https://jnews-france.fr/rodez-le-quartier-general-des-gilets-jaunes-reduit-en-cendres
https://www.ladepeche.fr/2020/05/24/le-quartier-general-des-gilets-jaunes-incendie-a-rodez,8900768.php
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La 6e Assemblée des Assemblées va se tenir en Ile de France.
21 mai le premier communiqué national du Collectif d’Organisation de l’ADA 6 qui exprime clairement le contenu des engagements.-----------------
Répression inhabituelle
L'abbé Michel, proche du mouvement des Gilets jaunes, s'est vu notifier vendredi 15 mai son renvoi de l'Eglise catholique.L'abbé Michel est désormais fixé sur son sort. Selon une information du Parisien, l'ecclésiastique proche du mouvement des Gilets jaunes s'est vu signifié son exclusion de l'Eglise catholique. Cette sanction, la plus lourde possible, intervient à la suite d'événements controversés. Le religieux déchu s'était notamment affiché une soutane noire sous un gilet jaune lors d'une célébration.
Il avait également défrayé la chronique pour y avoir entonné un chant "anti-macron". Dans un communiqué à la presse, le Diocèse d'Evreux a clarifié les conséquences de ce renvoi. L'Abbé Michel "perd les droits propres à l’état clérical de même que les dignités ecclésiastiques et les charges et il est délié de toutes ses obligations en rapport avec cet état clérical. [...] Il ne peut plus célébrer l’Eucharistie, prononcer une homélie, administrer licitement les sacrements de l’Eglise catholique romaine ni enfin remplir aucune charge de direction dans le cadre pastoral ou avoir une responsabilité dans l’administration paroissiale." Le texte précise également que la décision prend effet immédiatement, sans possibilité d'effectuer un recours.
info passée que sur LCI!
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Actions à Saint-Etienne 21 mai
Banque alimentaire de la Loire: 10 % de bénéficiaires en plus en Avril
Pendant le confinement, la Banque alimentaire de la Loire n’a jamais cessé de fonctionner. Elle a dû faire face à une augmentation de bénéficiaires, notamment chez les étudiants.Manifestations anti-restrictions aux quatre coins de l'Europe sur euronews
En Allemagne, au Royaume-Uni ou en France, des milliers de personnes ont manifesté ce samedi 16mai contre le maintien de mesures de confinement encore en vigueur dans leurs pays.Environ 200 personnes se sont réunies samedi à Londres pour manifester contre le maintien du confinement. Les mesures interdisant toujours de se réunir en groupe, six personnes ont été arrêtée au cours de la réunion située à Hyde Park, a affirmé à l'AFP la police londonienne. Parmi eux se trouvait Piers Corbyn, le frère de l'ex-leader de l'opposition travailliste Jeremy Corbyn, a constaté un journaliste de l'AFP. Quelques dizaines de personnes se sont réunies pour des manifestations similaires dans d'autres villes du Royaume-Uni, comme Édimbourg, Southampton ou encore Glasgow.
Des milliers de manifestants anti-restrictions en Allemagne
Plusieurs milliers de personnes ont manifesté samedi dans diverses villes d'Allemagne pour dénoncer les restrictions restantes face au coronavirus, un mouvement qui inquiète les autorités. A Stuttgart, la municipalité n'avait autorisé que 5 000 personnes à se rassembler sur une place. Mais c'est bien plus qui ont afflué, obligeant la police à évacuer une partie vers des rues adjacentes, a-t-elle indiqué sur twitter.
Scénario similaire à Munich, dans le sud du pays, où un millier de protestataires, le maximum autorisé, se sont rassemblés dans le parc où d'ordinaire se tient la Fête de la Bière annuelle. Toutefois, tout autour, "de nombreuses personnes se sont réunies" aussi sans respecter les distances de sécurité, ont indiqué les forces de l'ordre.
Violations des "libertés publiques"
Des rassemblements, très encadrés par les forces de l'ordre en raison des restrictions, se sont tenus au total dans plus d'une dizaine de villes allemandes. Parmi elles, Francfort (ouest) avec 1 500 protestataires et autant de contre-manifestants défilant aux cris de "les Nazis dehors!", Berlin, Brême (nord) avec 300 personnes, Nuremberg (sud), Leipzig (est) avec plusieurs centaines de manifestants à chaque fois ou encore à Dortmund dans l'ouest.
"Nous sommes ici car nous nous inquiétons pour les libertés publiques", explique dans ce dernier rassemblement Sabine, 50 ans. "Sous couvert de lutte contre la pandémie, qui a vraiment baissé en Allemagne et est même quasiment maîtrisée ici à Dortmund, des lois d'exception contournent la constitution", accuse-t-elle.
Ces manifestations se tiennent désormais chaque samedi depuis début avril en Allemagne et gagnent en ampleur. Elles réunissent un assemblage hétéroclite de militants extrémistes, de défenseurs authentiques des libertés publiques, opposants aux vaccins, voire d'antisémites. Tous se rejoignent pour dénoncer le port du masque dans les magasins ou les restrictions de mouvement qui subsistent après le déconfinement.
La semaine dernière, des violences ont émaillé certaines manifestations. Et vendredi, des protestataires ont déposé une imitation de pierre tombale devant la permanence de députée de la chancelière Angela Merkel à Stralsund, dans le nord du pays.
Accroché dessus : un masque de protection. Et un slogan comparant la mobilisation actuelle avec les manifestations ayant fait disparaître l'Allemagne de l'Est communiste en 1990. "Liberté d'opinion, de mouvement et de rassemblements - DEMOCRATIE 1990-2020", pouvait-on y lire.
Près d'un Allemand sur quatre dit comprendre les manifestations, selon un sondage Civey.
La chancelière a elle-même jugé ces marches "alarmantes", auprès de dirigeants de son parti, et accusé la Russie d'être derrière des opérations de désinformation qui les nourriraient, selon le quotidien populaire Bild.
En France, des "gilets jaunes" bravent l'interdiction de manifester et sont le fert d elance de ce mouvement contre les lois liberticides
De Montpellier à Nantes, des milliers de "gilets jaunes" ont bravé l'interdiction de manifester en ce premier samedi post-confinement, les forces de l'ordre procédant souvent à des verbalisations, ont constaté les journalistes de l'AFP.
"Il y a sanction pour tous les rassemblements de plus de dix personnes", avait rappelé dans la matinée le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner, en déplacement à Veules-les-Roses (Seine-Maritime).
"C'est la seconde vague des Gilets jaunes qui se prépare !", plaisantait Fanny, 30 ans, près d'un rond-point au sud de Grenoble, entourée d'une dizaine de manifestants.
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GRANDE VICTOIRE: 18 mai Le Conseil d’État ordonne la suspension de la surveillance par drones en France
Revirement de situation : début mai, deux associations de défense des libertés, La Quadrature du Net et la Ligue des Droits de l’Homme, ont déposé une plainte contre la préfecture de Police de Paris, pointant une utilisation illégitime des drones pour faire respecter les mesures de confinement. Saisi, le juge des référés a d’abord rejeté le recours des associations, qui ont alors décidé de faire appel devant le Conseil d’État : une audience s’est ainsi tenue ce lundi 18 mai, et elle aura eu raison de la première décision du tribunal administratif. Jusqu’à nouvel ordre, les drones utilisés par les forces de l’ordre en France sont donc cloués au solhttps://www.lesnumeriques.com/drone/le-conseil-d-etat-ordonne-la-suspension-de-la-surveillance-par-drones-en-france-n150465.html