LA règle principale pour les dirigeants est d'affronter un aléa (un événement non prévu) en le "retournant" c-a-d en l'utilisant pour arriver à faire passer des directives plus faciles à accepter aux "dociles" dans ces moments de peur de l'inconnu.
Le confinement policier
Depuis janvier/février 2020 avec les données scientifiques fiables de la Corée du sud et de Taiwan, nous savons que ce coronavirus est très contagieux mais tuent essentiellement des personnes immuno-déprimées (entre 0.5 et 2%).
Nous convergeons vers une surmortalité de ~25000 morts en France soit le double de la grippe de 2018.
Fin janvier certains parlaient de millions de morts, nous en sommes très loin... Voir la fin de ce billet de blog.
La liberté d’aller et venir est tout d’abord une composante de la liberté individuelle. Elle est de aussi, inhérente à la personne humaine : se mouvoir, stationner, séjourner fait partie de ses fonctions vitales.
Les sources de droit interne sont tout d’abord d’ordre constitutionnel, par sa décision du 12 juillet 1979 le conseil constitutionnel a reconnu à la liberté d’aller et venir une valeur constitutionnelle.
Elle a aussi, une valeur constitutionnelle, cela signifie que ce principe fait partie intégrante des droits
fondamentaux protégés par le bloc de constitutionnalité.
La liberté d’aller et venir, composante de la liberté personnelle protégée par les articles 2 et 4 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de la révolution de 1789, constitue une liberté fondamentale au sens de l’article L. 521-2 du Code de justice administrative.
Nous avons déjà accepté d'abandonner certains de nos droits fondamentaux, par exemple:
le principe de gratuité : ce principe a été reconnu par Conseil Constitut, 12/7/1979 Pont à péage mais sans valeur constitutionnelle : la loi de 1955 autorise les péages sur les ouvrages d’art.
Limitation du stationnement : l’institution de parcmètres...
Les répressions policières augmentent et prennent de nouveaux visages
Coronavirus : La commande de drones du ministère de l’Intérieur
pendant le WE de Pâques, le ministère de l’Intérieur a publié un appel d’offres pour l’acquisition de plus de 650 drones, pour un montant dépassant les 3,5 millions d’euros.
Sur les réseaux sociaux, certains dénoncent cet investissement, alors que ces équipements sont utilisés en ce moment par les forces de l’ordre pour faire respecter le confinement.
Boamp.fr diffuse les avis d'appel public à la concurrence lancés par l'État, l’armée, les régions, les départements, les communes et leurs établissements.
Une information rapidement devenue virale, notamment des pages Facebook se revendiquant du mouvement des « Gilets jaunes ». Sous le titre « Covid19 : l’Etat en profite pour instaurer une société de contrôle », la page « Cerveaux non disponibles » estime que « la mécanique d’une société de surveillance se met en place », alors que dans un même temps, la pénurie de masques et de blouses dans les hôpitaux perdure « faute d’anticipation par l’Etat ». Et d’ajouter : « Voilà qu’on nous sort des bizarreries telles que des commandes de "micro-drones du quotidien" pour surveiller la population. »
Le journaliste indépendant David Dufresne, observateur critique des pratiques policières, y voit « le Covid en subterfuge idéal de nos Après piétinés ». Pour lui, ces drones « sont les derniers enfants-soldats technologiques du monde militaire, des poids plumes, qui tiennent dans une paume, capables de voler 25 minutes, de transmettre leurs images (thermiques ou non) à deux kilomètres, invisibles, indétectables, cryptés à souhait : nos frelons de demain, redoutables panopticiens », dénonce-t-il dans l’une de ses chroniques.
Jusqu’ici , la police gardait en mémoire, et en toute illégalité, l’historique des contrevenants au non-respect des restrictions dans un fichier conçu pour les infractions de la route. C’est un avocat commis d’office de Rennes qui avait soulevé le tour de passe-passe, et obtenu la relaxe d’un client. Dans un État de droit, c’est ainsi : un fichier a une utilité claire et péri-métrée, pas deux. Depuis ce matin, bonneteau : un arrêté permet au dit fichier d’enregistrer maintenant les mal-attestés du #Confinement. Un État de droit, c’est aussi un État qui change le droit, « dans l’intérêt du service ».
les drones attaquent pour contrôler l’application du confinement dans le rhone
villeurbanne:
Google contrôle nos déplacement, voir cet article du progrès
Le confinement est moins respecté depuis sa première prolongation, et Google nous le montre avec des outils de tracking.
Les historiques de localisation des utilisateurs de Google montrent que les déplacements vers les lieux de loisirs (parcs, plages, ports...) et les commerces encore ouverts ont augmenté depuis la première prolongation du confinement, par rapport aux 10 jours précédents.
Depuis le début du mois, Google propose des "rapports sur la mobilité communautaire" élaborés grâce à l'historique de localisation de ses utilisateurs.
Ces courbes ont illustré, dans un premier temps, la façon spectaculaire dont nos déplacements ont changé depuis la mise en place du confinement, selon les types de lieux visités : site de vente au détail et de loisirs, épiceries et pharmacies, parcs, stations de transport en commun, lieux de travail et lieux de résidence.
Elles montrent désormais que depuis le 27 mars, lorsque le confinement a été prolongé une première fois, les déplacements, notamment vers les lieux de loisirs (parcs, plages...) et les commerces encore ouverts, sont plus nombreux que pendant les 10 jours précédents.
En Auvergne-Rhône-Alpes
le mardi 24 mars, les déplacements vers les parcs, plages, marinas, parcs à chiens, places, jardins publics... étaient -64 points en dessous de la valeur habituelle, ils ne sont plus qu'à -58 et -57 les deux mardis suivants.
Idem pour les commerces autorisés à ouvrir : le samedi 21 mars leur fréquentation était inférieure de -55 points à sa valeur habituelle, elle ne cesse de remonter depuis (-48 le 4 avril, -42 le 11...).
Je suis localisé ?
L'option "Historique de localisation" d'un compte Google est celle qui permet à l'opérateur, en temps normal, de proposer à l'internaute des informations qui tiennent compte de ses trajets habituels (la prévision du temps de parcours domicile-travail par exemple). Désactivée par défaut lors de la création du compte, elle peut également être désactivée par la suite (ou son historique effacé) à n'importe quel moment en allant sur les paramètres du compte. Google précise que les données utilisées pour ces rapports sont soi-disant anonymisées et agrégées (c'est à dire qu'elles ne permettent pas de cibler une personne en particulier LOL).
le compteur Linky pour vérifier que le confinement est respecté
Depuis plusieurs jours, et un tweet du maire de Nice, l’utilisation des données collectées par le compteur Linky pour contrôler le respect du confinement interroge sur les réseaux sociaux
Comment sont utilisées les données collectées par les compteurs Linky ? Cette question taraude de nombreux opposants au compteur communicant déployé en France depuis 2016 et qui doit d’ici l’an prochain équiper pas moins de 35 millions de foyers.
Depuis quelques jours, le rôle que pourrait bien jouer ce petit boîtier pour faire respecter le confinement suscite aussi l’intérêt, notamment depuis son relais par la très suivie page Facebook « UnionGiletsJaunes », faisant référence à un article du Tribunal du Net.
Tout est parti d’un tweet de Christian Estrosi, il y a une dizaine de jours. Alors que le maire de Nice multiplie les actions dans le cadre de l’épidémie de coronavirus, au milieu d’une série de mesures prises pour limiter l’arrivée de vacanciers sur la Côte d’Azur, il a évoqué l’utilisation du compteur pour faire respecter le confinement.
« J’ai sensibilisé les autorités de l’Etat afin qu’elles puissent solliciter Enedis pour vérifier que les résidences secondaires ne soient pas occupées pendant la période des vacances, afin de faire respecter la période de confinement », indique-t-il ainsi dans un tweet. Si le compteur communicant n’est pas nommément cité, c’est bien grâce à lui que l’édile estime qu’il serait possible de débusquer les resquilleurs.
Plutôt que d’envoyer des policiers municipaux en planque devant toutes les résidences secondaires, regarder si la consommation électrique d’un logement a augmenté ces derniers jours serait plus simple et demanderait moins de moyens humains.
Faire respecter le refus individuel d’installation du compteur, ainsi le fait que Christian Estrosi ait pensé à y avoir recours pour contrôler le confinement est un signe des dérives possibles. « Le raisonnement du maire de Nice ne vaut rien en droit, il n’y a pas de support textuel pour rendre valable l’espionnage, mais cela montre que matériellement Linky peut être détourné de son usage et utiliser à d’autres fins que le comptage de la consommation ».
CoronaVirus : Toujours plus de censure sur le Web
La crise du coronavirus est prétexte à un dangereux durcissement de la censure sous le nom "propagation de fausses nouvelles".
Dès la fin de la crise sanitaire, la loi Avia sera votée, renforçant encore les pouvoirs de censure de Facebook et des autres réseaux sociaux.
Google et Youtube profitent de la période pour « automatiser » encore plus la censure. Doux euphémisme pour dire « renforcer » la censure, par des algorithmes peu enclins à faire dans le détail…
Et la Cour des comptes européenne vient de lancer un audit pour vérifier les efforts de l’Europe pour lutter contre la désinformation, motivant ainsi son initiative : « des sujets sensibles, tels que les migrations, le changement climatique et la santé, sont souvent utilisés pour diviser la société«
Des censures sur les mutineries
ici dans une prison en Lorraine
Les détenus auraient mis le feu à des matelas et des détritus vendredi 11 avril vers 18h30.
Une mutinerie a éclaté vendredi en début de soirée au centre de détention d’Ecrouves (Meurthe-et-Moselle), où des détenus ont déclenché un incendie, rapporte nos confrères de l'Est Républicain.
Celui-ci a été éteint vers 19 heures et la situation maîtrisé dans la soirée.
Pompiers et policiers ont été rejoints par des Équipes régionales d’intervention et de sécurité (Eris), qui ont maîtrisé la situation.
Un policier mis en examen pour avoir tiré sur son voisin
Le fonctionnaire a été placé sous contrôle judiciaire ce vendredi après un différend survenu mardi soir à Noisy-le-Grand.
Un policier hors service a été mis en examen et placé sous contrôle judiciaire ce vendredi après avoir tiré sur un voisin mardi soir à Noisy-le-Grand, en Seine-Saint-Denis.
Le fonctionnaire a été mis en examen pour «tentative de meurtre» à l’issue de sa garde à vue, a indiqué le parquet.
Son contrôle judiciaire a notamment été assorti d’une «interdiction de détenir ou porter une arme» et de l’obligation de résider dans un autre domicile que celui occupé au moment des faits.
Le différend de voisinage a éclaté mardi vers 23 h 30. Le jeune policier a fait usage de son arme de service, blessant son voisin au niveau de l’abdomen.
La victime avait été prise en charge par les secours et hospitalisée. Ses jours n’étaient plus en danger.
Même les policiers râlent
En mission, 73 CRS dorment dans leurs camionnettes : “Nos chambres n’ont pas été désinfectées”
Des CRS en mission pour la protection de l’Elysée ont dû passer la nuit dans leurs véhicules, dénonçant un manque de précautions sanitaires dans leur cantonnement, situé près de Rungis.
les policiers de la Compagnie républicaine de sécurité 40 ont dormi dans leurs camionnettes dans la nuit de mercredi à jeudi. Les CRS, arrivés mercredi en région parisienne pour assurer la protection de l’Elysée pendant 15 jours, et établis dans un cantonnement à Pontarly à proximité de Rungis (Val-de-Marne), ont refusé de passer la nuit dans le bâtiment.
Elle précise que dans le cantonnement, "on doit dormir et aller aux toilettes dans 9 m2". Au total, 73 personnes ont ainsi dû se reposer dans les camionnettes, garées sur le parking du site.
et jeudi soir et vendredi..., les policiers de la compagnie 40 – basée à Dijon – vont passer une seconde nuit dans leurs véhicules : la direction a refusé de désinfecter le cantonnement. Les fonctionnaires ont également appris qu’ils seraient relevés samedi par une autre compagnie.
Des gendarmes font n'importe quoi
Homme verbalisé au pont de l’île de Ré : la gendarmerie nationale exprime ses regrets
Un habitant du Loir-et-Cher a été verbalisé le 4 avril au pont de l’île de Ré alors qu’il venait au chevet de son père mourant. Il a saisi l’IGGN.
La Gendarmerie nationale a exprimé jeudi ses "regrets" pour la verbalisation non appropriée le 4 avril d’un homme qui voulait se rendre sur l’île de Ré au chevet de son père mourant.
Habitant en Loir-et-Cher, Patrice Dupas avait pris la route le 4 avril pour voir son père, en fin de vie, muni d’une attestation dérogatoire de déplacement. Mais contrôlé par des gendarmes à l’entrée du pont de l’île de Ré, il a été verbalisé et a dû faire demi-tour. Son père est décédé quelques jours plus tard sans qu’il ait pu le voir.
"On m’a empêché de le revoir. C’est anormal. Ce gendarme était quelqu’un de borné", s’était ému jeudi matin Patrice Dupas sur LCI. "Je ne l’ai pas vu avec son dernier souffle, je n’ai pas pu lui parler alors que j’avais le droit de le voir".
Un octogénaire de 85 ans verbalisé à Planfoy
Un homme de 85 ans a été verbalisé pour non-respect du confinement, mardi matin, alors qu’il allait acheter son pain et son journal à Planfoy.
« Il m’a appelé en pleurs, complètement paniqué, en m’expliquant qu’il avait été verbalisé de 135 euros par la gendarmerie ». Olivier Seyve, un habitant de La Talaudière, est encore chamboulé par la mésaventure vécue par son papa, mardi matin, à Planfoy.
« Mon père est âgé de 85 ans. Tous les matins il se rend à l’épicerie du village, située à une centaine de mètres de chez lui, pour acheter son pain, son journal et faire ses courses » explique le fils de l’intéressé. C’est lors de cette sortie quotidienne, mardi matin, que l’octogénaire se fait contrôler par les gendarmes de Saint-Genest-Malifaux. L’attestation qu’il leur présente n’est pas valable. Il est verbalisé pour non-respect du confinement.
« Son aide ménagère lui avait préparé des attestations avec des heures de sorties préremplies car mon père n’écrit pas, mais arrive à lire en prenant son temps. Il m’a dit s’être “mélangé les pédales” et il a présenté l’attestation qui devait lui servir pour aller faire un tour, l’après-midi à 15 heures ».
Le fils de l’octogénaire comprend la mission des gendarmes mais se dit « stupéfait » par ce qu’il qualifie de « manque d’humanisme » de la part des militaires. « Mon père ne gagne que 900 euros par mois et a des problèmes de santé. Ça me fait de la peine. On aurait juste pu lui dire de rentrer chez lui ».
Saint-Etienne à notre rond-point de Monthieu vendredi et samedi derniers: la police relève une vingtaine d’infractions en une heure
De gauche à droite :
le commissaire Jordan Courby, le préfet Evence Richard et le commissaire Cédric Esson.
Présents pour ce genre d'opération!!!
Ils occupent notre rond-point le ven et samedi.
Une provocation de plus!
On leur dit "à bientôt"
en mai jaune
« On constate notamment beaucoup de personnes qui se déplacent en voiture pour aller faire des courses mais qui y vont à trois ou quatre, ce qui est interdit », relève le commissaire Cédric Esson, nouveau directeur départemental de la sécurité publique, présent aux côtés du préfet Evence Richard sur un contrôle au giratoire de Monthieu.
En une heure, au Géant de MTH, une vingtaine d’infractions pour non-respect du confinement ont été relevées. À cela s’ajoutent une dizaine de procès-verbaux pour des infractions routières annexes et deux délits (un défaut d’assurance et un défaut de permis de conduire) ayant entraîné l’immobilisation des deux véhicules en cause.
« Être scrupuleux sur le confinement, c’est le meilleur moyen de l’abréger », encourage le préfet qui indique que depuis le début de la crise, plus de 6 000 procès-verbaux ont été dressés dans le département.
A Rive-de-Gier, 15 avril, un officier a fait entendre à une maman d'un fils de 16ans que la prochaine qu'elle laisserait "divaguer" son fils dans les rues sans motif de sortie valable, elle serait poursuivie par la justice pour soustraction d'un parent à ses obligations légales comprenant la santé et l'éducation de l'enfant.
13 personnes déférées devant le parquet de Lyon
Au cours du week-end de Pâques, treize personnes ont été déférées pour non-respect du confinement (délit de violation à plus de trois reprises dans un délai de 30 jours des interdictions ou obligations édictées dans le cadre de l’état d’urgence puni de 6 mois d’emprisonnement et 3750€) dont un mineur devant le juge des enfants.
Autorisé à sortir uniquement le matin pendant toute la durée du confinement
Sur les douze majeurs, un a été placé en détention. Il sera jugé en comparution immédiate ce mardi 14 avril. Il lui est également reproché des faits d’infractions à la législation sur les stupéfiants.
Huit ont été convoqués en justice avec placement sous contrôle judiciaire pendant toute la durée du confinement (interdiction de quitter leur domicile sauf entre 9 heures et midi en respectant les règles du confinement) et trois ont fait l’objet d’un rappel à la loi.
Hier vendredi 17 avril, à Bergson, devant le commissariat de Barrouin 3 blessés graves
Vendredi peu avant 15 heures, trois piétons, un homme âgé de 50 ans et deux femmes âgées d’une cinquantaine d’années, ont été fauchés par une voiture.
L’accident de circulation s’est produit rue Albert-Poylo, une voie perpendiculaire à la rue Barrouin, à hauteur de l’enseigne point S dans le quartier de Bergson à Saint-Etienne.
D’importants moyens humains et de secours - une vingtaine de pompiers et une équipe du Samu, ont été déployés pour prendre en charge les trois personnes renversées.
En face du commissariat de Barrouin, dont certains policiers tournent devant de manière dangereuse..
Jugés par les secours en état d’urgence relative, deux dont l’homme qui souffrait de blessures aux jambes, ont été transportés sur l’hôpital Nord, par les ambulances de pompiers. Quant à la dernière piétonne, elle a été évacuée sur la clinique du Parc à Saint-Priest-en-Jarez.
La conductrice, âgée de 22 ans, auteure de l’accident, a été prise d’un malaise après les faits. Les secours lui ont prodigué les premiers soins avant d’être emmenée à l’Hôpital Nord.
Selon les premiers éléments recueillis par la police, l’automobiliste n’aurait pas stoppé immédiatement son véhicule après avoir percuté les trois piétons.
Acte 74 samedi 11 avril ; preparation des repas pour le personnel des hopitaux croix rousse
Des Gilets jaunes ont préparé du chili sin carne pour le personnel hospitalier ce samedi matin et l'ont distribué à l'hôpital de la Croix-Rousse.
Avec malik le primeur, Nelson la cuisine, Céline la logistique, spohie, madeleine, P, et matité pour les desserts et en tout une 10aine de GJ...
POUR L HONNEUR DES TRAVAILLEURS ET POUR UN MONDE MEILLEUR
Demain, tous avec un masque gilets jaunes lors des manifs du 11 mai !!
POURQUOI UNE CONVERGENCE GJ/BLOUSES BLANCHES
-D' un cote des blouses blanches qui se battent au sein d un systeme hospitaliers publiques en état de grande précarisation . Les credits dedies au systeme hospitaliers publiques sont réduits d une année a l autre . Des moyens humains matérielles , humains, financiers toujours plus en baisse .
toujours plus avec toujours moins
Les salaries du systeme de santé privée sont en but au memes problemes de moyens pour des raisons de benefices pour les proprietaires de ces établissements . Ils et elles sont tout autant concernes par cette lutte et sont apelles a s y joindre
- De l autre des GJ qui luttent pour une meilleure justice social . Un accés pour tous et toutes a niveau de vie descent .