article procès

Blog sur les répressions contre GJ & verts. Mis à pied 19dec2018->5sept19.


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------------>LA PETITION DU NEUROCHIRURGIEN POUR INTERDIRE LBD------------------------------------------- Un projectile de type LBD4O lancé à 90m/sec (324 km/h) a une force d’impact de 200 joules: c’est comme ~parpaing de 20kg d’une hauteur de 1m tombant sur votre pied sur un angle arrondi de 4cm! En octobre 2010, un lycéen de 16 ans de Montreuil participait à un blocus, a reçu un tir LBD qui a entraîné de multiples fractures au visage et perte de l'œil touché. Le 2 avril 2015, le policier auteur du tir est condamné à un an de prison avec sursis. Mustapha Ziani est décédé le 12 décembre 2010 à Marseille après être atteint au thorax par un Flash-Ball. Le tir a été effectué à 4,40 mètres de la victime "cause directe et exclusive" de sa mort. 2016 le policier Xavier Crubezy, est condamné à 6 mois de prison avec sursis... Le 8 mars 2019 le maire de Phalsbourg (Moselle) a pris un arrêté interdisant les LBD sur sa commune pour la journée de manifestations des Gilets Jaunes prévu le 9 mars sur sa commune. Il explique que cet arrêté est symbolique car il n'a pas d'autorité sur les forces nationales de la gendarmerie. Le 19 janvier 2019, le neurochirurgien et chef de service au CHRU de Besançon Laurent Thines lance une pétition adressée au Ministre de l'Intérieur pour demander un moratoire sur l’utilisation des armes sub-létales, dont les LBD. La pétition de Laurent Thines est vers 200 000 signatures. https://www.change.org/p/les-soignants-fran%C3%A7ais-pour-un-moratoire-sur-l-utilisation-des-armes-dites-moins-l%C3%A9tales

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27 aout 2019, Un directeur du CNRS évincé

Un directeur du CNRS critique la gestion policière du mouvement Gilets jaunes et il est évincé de l'enseignement à l’école des commissaires

Sébastien Roché, directeur de recherche au CNRS, avait critiqué la gestion du maintien de l’ordre durant la crise des Gilets jaunes, et le manque d’indépendance de l’ IGPN. Il dénonce une “décision politique”.

https://www.liberation.fr/france/2019/08/27/l-ecole-des-commissaires-evince-un-sociologue-critique-a-l-egard-de-la-police

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IMPORTANT

Au CNRS, les chercheurs doivent respecter des règles déontologiques inhérentes aux métiers de la recherche, notamment lors de prises de position publiques. Ce blog ne reflète que MES OPINIONS PERSONNELLES et n'engage pas mes domaines d'expertise, et encore moins mon employeur le CNRS.

Comme lanceur d'alerte, je me suis permis de rendre public des parties de mon dossier administratif de fonctionnaire.

Ce blog vise aussi à être une chonologie des événements de fin 2018 à mai 2020 (ACTE 80 soit 80 samedis GJ) avec l'état d'urgence lié au prétexte "peur du covid" qui fut la fin (momentanée?) des dernières actions des GJ. Ce mouvement wikipédien est de nature nouvelle et inaugure les impacts et chocs imprévisibles du monde numérique des écrans sur notre vie concrète.

Ma dernière action GJ : j'ai participé à un reportage de FR3 pour les 5 ans des GJ en novembre 2023: https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/loire/saint-etienne/j-ai-entendu-leur-souffrance-et-ca-m-a-fait-mal-retour-sur-un-rond-point-avec-stephane-gilet-jaune-par-empathie-2874194.html

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REFERENCES:

Voir le livre: QU'en est-il du droit de la recherche ?

Voir aussi les publications de monsieur joël moret-bailly, professeur au sein de l'UMR CERCRID et Référent déontologue CNRS et ​Vice-président du Comité de déontologie des ministères chargés des affaires sociales.

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vendredi 28 juin 2019

Macrotte «Roi des fake news»: Mediapart dresse la liste des «mensonges» de Mac-rond et son entourage marche arrière


Emmanuel Macron et ses proches n’ont pas les mains propres en ce qui concerne la diffusion de «fake news», affirme Mediapart. Le média rappelle leurs propos qui n’ont pas tenu la route.

Le Président français, qui affirme combattre les «fake news», ne cesse pourtant d'en propager lui-même, affirme Mediapart tout en rappelant les principaux «mensonges» répandus ces derniers mois par Emmanuel Macron et ses proches.

Vidéo censée excuser Alexandre Benalla

Affaire Benalla: le chef de cabinet de Macron au tribunal pour être entendu par les juges
Le 19 juillet, au lendemain des premières révélations du journal Le Monde sur les agissements d'Alexandre Benalla lors de la manifestation du 1er mai à Paris, une vidéo montrant un individu très agité poursuivant un groupe d'hommes vêtus de noir, chaise à la main, a été diffusée sur les réseaux sociaux.
Fin mars, Le Monde a dévoilé que c'était Ismaël Emelien, ancien conseiller d'Emmanuel Macron, qui l'avait fait circuler en utilisant des comptes militants.

Bien que l'individu à la chaise ait été présenté comme celui immobilisé par Alexandre Benalla place de la Contrescarpe, le journal indique que la vidéo a été tournée le soir, bien après l'intervention de M. Benalla.

Le 4 avril, le site la-bas.org a par ailleurs rendu publics les résultats de son enquête, d'après lesquels l'homme à la chaise poursuivait en réalité des militants «antifas».

Perquisition dans les locaux de Mediapart

Mediapart rappelle également une «fake news» dont le média a été lui-même victime. Il s'agit des propos de la ministre de la Justice, Nicole Belloubet, qui a déclaré le 5 février que Mediapart avait refusé de remettre à la justice les enregistrements des conversations entre Alexandre Benalla et Vincent Crase. Ce qui a entraîné une tentative de perquisition dans les locaux du média.

Destruction de preuves? Un nouvel enregistrement inédit de Benalla publié par Mediapart
Mediapart affirme avoir donné son accord à la réquisition de ces enregistrements, demandée par les juges d'instruction le 1er février.
Néanmoins, le 4 février, deux procureurs du parquet de Paris se sont présentés afin de procéder à une perquisition dans les locaux, et non pas pour réquisitionner les enregistrements publiés.

Selon Mediapart, cette perquisition ne visait qu'à «faire peur à tous ceux susceptibles» de parler à ses journalistes.

Un policier à l'origine de la chute d'une septuagénaire à Nice

Après que la militante Geneviève Legay a été grièvement blessée le 23 mars lors d'une manifestation des Gilets jaunes à Nice, le procureur de la République de Nice, Jean-Michel Prêtre, a déclaré le 25 mars qu'il n'y avait eu «aucun contact direct entre un policier et cette dame».

Le procureur finit par reconnaître qu'un policier a fait tomber une septuagénaire à Nice
Cette version a été aussi soutenue par Emmanuel Macron dans une interview accordée à Nice-Matin et publiée le 25 mars. Le Président français y a également conseillé de ne pas se rendre «dans des lieux qui sont définis comme interdits».
Néanmoins, comme l'a révélé Mediapart, un officier de police judiciaire avait indiqué dans un procès-verbal daté du 23 mars que «la septuagénaire aurait été bousculée par un homme qui portait un bouclier».

Par la suite, le procureur de Nice a reconnu qu'un policier était responsable de la chute de Mme Legay. L'agent en cause a, à son tour, exprimé des «regrets» tout en précisant qu'il avait agi dans le «strict respect des ordres».

«Manipulation» des chiffres sur les allocations chômage

«Ingérence russe»: quand Macron parle des Gilets jaunes et contredit la DGSI
Le 26 février, le premier ministre Édouard Philippe et la ministre du travail Muriel Pénicaud ont révélé des statistiques d'après lesquelles un chômeur sur cinq toucherait «une allocation chômage supérieure à la moyenne» de ses revenus lorsqu'il travaillait, indique Mediapart.

20% des personnes au chômage en France gagnent plus que si elles travaillaient
Néanmoins, ces chiffres ont été remis en cause par des experts. Mathieu Grégoire, sociologue spécialisé dans les politiques de l'emploi, a conclu sur son blog hébergé par Mediapart qu'il s'agissait d'«un artefact statistique» et d'«une manipulation assez troublante des chiffres».
Comme l'a indiqué plus tard l'Unédic, l'association gérée par les syndicats et le patronat et chargée de piloter le système d'assurance-chômage, Pôle emploi a choisi une base de calcul erronée. En réalité, toujours selon l'Unédic, 4 % seulement des allocataires reçoivent une allocation supérieure au salaire mensuel moyen qu'ils touchaient durant l'année précédant le chômage.

Mediapart estime que ces déclarations du gouvernement visaient à justifier la réforme de l'assurance-chômage.

«Ultras» et «ingérence russe» dans le mouvement des Gilets jaunes

Les déclarations sur le mouvement des Gilets jaunes faites par Emmanuel Macron le 31 janvier, lors d'une rencontre avec cinq journalistes, ne tiennent pas non plus la route.

Le Président de la République avait alors déclaré que «de 40 à 50.000 militants ultras qui veulent la destruction des institutions» étaient à l'origine des violences lors des manifestations des Gilets jaunes. Il avait aussi évoqué «le concours d'une puissance étrangère», notamment la Russie, qui, «à travers Russia Today ou Sputnik, affleure dans son discours».

Selon Mediapart, ces affirmations contredisent les informations fournies à la même période par les services de renseignement français. La DGSI avait ainsi conclu que «la scène d'ultradroite» était «quasi inexistante au sein des cortèges». Les services de renseignement avaient également indiqué que l'«ultragauche» était, de même, «impliquée de manière limitée dans un mouvement perçu comme populiste et réactionnaire».

Concernant les accusations de M. Macron à l'encontre de Moscou, le média affirme avoir recueilli des témoignages selon lesquels «la DGSI et la DGSE n'auraient toujours pas trouvé la moindre trace d'ingérence russe».

Le retour des djihadistes en France a-t-il été considéré?

Bien que le Président français ait déclaré fin février à des élus de la Région Grand Est qu'il n'y avait pas de «programme de retour des djihadistes», Mediapart remet ces affirmations en cause.

Pas de «rapatriement collectif» des djihadistes français à l’horizon, selon Castaner
Selon le média, les services des ministères des Affaires étrangères, de la Défense, de l'Intérieur et de la Justice travaillaient pourtant depuis l'automne 2018 au retour des djihadistes détenus par les Kurdes de Syrie.
Mediapart indique que ce programme était «tenu pour acquis» par tous ses interlocuteurs dans le cadre de cette enquête. Dans la première quinzaine de février, le Président de la République aurait bloqué ce programme.

Le chlordécone classé «cancérigène possible» par l'OMS mais pas par Macron

En se prononçant sur la dangerosité du chlordécone, utilisé jusqu'en 1993 dans les bananeraies de Guadeloupe et de Martinique, Emmanuel Macron a déclaré le 1er février aux élus d'Outre-mer qu'il ne fallait pas dire que ce pesticide était cancérigène.

«Il est établi que ce produit n'est pas bon, il y a des prévalences qui ont été reconnues scientifiquement, mais il ne faut pas aller jusqu'à dire que c'est cancérigène parce qu'on dit quelque chose qui n'est pas vrai et qu'on alimente les peurs », a-t-il soutenu.

Des sucreries

Ce glucide pourrait causer le cancer du côlon. Voici comment réduire les risques
Selon une étude publiée par Santé publique France en 2018, presque tous les Guadeloupéens et les Martiniquais sont contaminés par le chlordécone, lequel avait été classé «cancérigène possible» par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) dès 1979.
Dans une lettre ouverte au chef de l'État, la députée Hélène Vainqueur-Christophe et le sénateur Victorin Lurel ont jugé «non seulement déplacé mais dangereux» d'affirmer que le chlordécone n'était pas cancérogène.

Cérémonie d'hommage au maréchal Pétain

Philippe Pétain sera célébré aux Invalides le 11 novembre 2018 en compagnie des sept autres maréchaux de la Grande guerre.
Pétain célébré aux Invalides: Macron justifie un choix «légitime» et fait polémique
Suite à la polémique autour de l'organisation à l'occasion des cent ans de l'Armistice d'une cérémonie d'hommage aux huit maréchaux de la Grande Guerre, dont Philippe Pétain, la ministre des Armées Florence Parly a déclaré sur BFM TV que l'état-major n'avait «jamais imaginé rendre hommage au maréchal Pétain».
Néanmoins, Mediapart indique en se référant à un dossier de presse initial de la Mission du centenaire qu'une telle cérémonie était prévue.

Plus tard, Emmanuel Macron a jugé «légitime» de rendre hommage à ces huit maréchaux de la Grande Guerre. Il a, par ailleurs, déclaré que le maréchal Pétain était un «grand soldat» en 14-18.

La police mise en cause dans l’affaire Geneviève Legay, militante de 73 ans blessée à Nice; considérant l’action « disproportionnée ». Publié le 25 juin 2019.

Le 16 février 1791 : la maréchaussée est morte, 
vient la gendarmerie !
La majorité des "gendrames" sont de vrais militaires
avec un code d'honneur.
Honte aux BACeux qui n'ont aucun sens de l'honneur.
hélas depusi 2009, les Gendrames sont au sein du ministère de l'Intérieur...
A ma connaissance aucun LBD des gendrames a touché un GJ.


La police mise en cause dans l’affaire Geneviève Legay, militante de 73 ans blessée à Nice
Un rapport détaille le refus d’un escadron de gendarmes de participer à la charge contre des manifestants, le 23 mars, considérant l’action « disproportionnée ».

L’accusation vient cette fois-ci des forces de l’ordre elle-même. Un rapport de la gendarmerie, mettant en cause la police, attesterait de la violence des opérations de maintien de l’ordre, le 23 mars, à Nice, lors desquelles une militante de 73 ans a été gravement blessée.

Selon une information de Mediapart, confirmée par Le Monde, un escadron de gendarmes a refusé de participer à la charge à l’origine de la grave blessure à la tête de Geneviève Legay, malgré les ordres donnés par le commissaire Rabah Souchi. Les militaires estimaient que cette action était excessive au vu de la situation. Le document, un compte rendu d’un commandant d’escadron donné à son supérieur hiérarchique deux jours après les faits, fait état d’« ordres reçus disproportionnés face à la menace (foule calme) ».

Lire aussi  Accident ou violence policière ? Les versions divergent sur la blessure à Nice de Geneviève Legay, 73 ans
Ce rapport vient confirmer les nombreux témoignages recueillis sur place par Le Monde. Plusieurs photographes présents le 23 mars et habitués aux manifestations des « gilets jaunes » attestent que la charge policière a été ce jour-là d’une violence « totalement disproportionnée ». « L’ambiance était très tranquille » et le groupe était « composé essentiellement de femmes et de personnes âgées, sans casse, sans projectiles », explique l’un d’entre eux, avant d’ajouter : « La force de la réponse était presque criminelle. »

« Il nous a chuchoté : “barrez-vous !” »
Un récit qu’appuient des « street medics » interpellés sur les lieux de l’incident, place Garibaldi. Ces militants, qui s’occupent des blessés au long des cortèges, évoquent également le malaise de certains membres des forces de l’ordre face aux consignes de leur hiérarchie.

Alexander Samuel, un professeur de mathématiques et doctorant en biologie, très impliqué dans la lutte contre les violences policières, avait décidé ce jour-là de suivre un groupe de ces soigneurs. « Les street medics ont été appelés par un gendarme un peu paniqué après la chute de Mme Legay, il leur demandait d’intervenir », raconte-t-il. Son témoignage est corroboré par plusieurs de ces militants qui arborent des croix rouges.

Alexander Samuel explique comment un autre gendarme aurait essayé de faciliter la fuite des personnes présentes avant l’arrivée des renforts. « En attendant que les mecs de la BAC [brigade anticriminalité] arrivent, il a tenté de nous aider et nous a chuchoté : “barrez-vous !”, mais personne n’a compris les ordres contradictoires. Nous avons tous été embarqués. »

Les gendarmes ne sont pas les seuls à douter des méthodes employées. Dans la fourgonnette de la BAC, le militant interpellé laisse son téléphone allumé et filme la scène depuis sa poche. Sur ces enregistrements, on entend distinctement une fonctionnaire de police lancer, sur un ton navré : « Je ne comprends pas pourquoi je vous embarque, franchement. Même eux [ses collègues de la BAC, qui procédaient encore à des interpellations] ne comprennent pas. »

Demande de dépaysement
Deux jours après les faits, le procureur de la République de Nice, Jean-Michel Prêtre avait assuré que la chute de la septuagénaire n’avait pas été provoquée par un policier. Il avait ensuite changé de version et reconnu, le 29 mars, que « c’est bien le geste d’un policier qui est à l’origine de la chute de Mme Legay ». Le procureur avait, par ailleurs, chargé des investigations sur les causes des blessures de la manifestante la compagne de M. Souchi elle-même, également commissaire, alors que son conjoint était chargé des opérations le jour de la manifestation.

Lire aussi : Les maladresses en série de Jean-Michel Prêtre, procureur de Nice, dans l’Affaire Geneviève Legay
Le document révélé par Mediapart jette encore plus le doute sur la conduite de l’enquête. Le défenseur de Geneviève Legay, Me Arié Alimi, n’avait pour sa part jamais entendu parler de ce rapport, qui évoque pourtant un point central du dossier, à savoir le bien-fondé ou non de la charge policière. « Soit le procureur n’avait pas connaissance de ce rapport et alors c’est une faute professionnelle, soit il en avait connaissance mais n’a rien dit et dans ce cas c’est une infraction pénale », estime l’avocat.

Sa demande de dépaysement de l’instruction, appuyée par le parquet général d’Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône), prend avec ce nouvel élément un peu plus d’épaisseur, dans une affaire où les erreurs se cumulent depuis le premier jour.

Référence

https://www.lemonde.fr/police-justice/article/2019/06/25/affaire-genevieve-legay-la-police-mise-en-cause-dans-la-blessure_5481029_1653578.html

jeudi 27 juin 2019

2019-06-22 liste des péages pris par les GJ et manif , et diverses formes de répression car les français en bleus sont fatigués et doivent inventer des nouvelles stratégies face aux français en jaune.

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Gilets Jaunes Avignon Sud & Nord Samedi 22 juin 2019
et Marseille
En ce qui concerne, Avignon Sud, du fait d'un manque de mobilisation des Gilets Jaunes, les barrières de péage n'ont pas pu être ouvertes et donc rendre le péage gratuit. Par contre, ils ont pu distribuer de nombreux tracts pour informer les automobilistes du combat qu'ils mènent depuis plus de 7 mois, sous l'accord de la Gendarmerie Nationale, présente sur les lieux dés le matin.
Aucun incident n' a eu lieu malgré quelques discussions un peu tendues.
Quant à Avignon Nord, étant plus nombreux, ils ont pu rendre le péage gratuit pendant environ 1h30. Quelques légers accrochages entre les forces de l'ordre et les manifestants ont eu lieu mais dans l'ensemble, tout s'est bien passé. Eux aussi ont distribué des tracts aux automobilistes.
Pour avoir discuter longuement avec les Gilets Jaunes présents sur les deux péages d'autoroute, ils sont toujours prêt à mener le combat le temps qu'il faudra.
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les basques
ils ont essayés d'embarquer 1 gilet jaune mais les autres G.J. sont là.
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acte 32 Block22 Blocage RN10 Angoulême
les bleus sont attaqués et battent en retraite.
Voilà le but de MAcron
que des français blessent des français...
quelque soit la couleur du gilet.

Interpellation d'un GJ
lorsque l'on récupère son véhicle sur le parking 
lorsque l'on est isolé.
un journaliste est avec sa carte.
un bleu insulte le journaliste.
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besançon,
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bordeaux, violence policière
L'Acte 32 des Gilets Jaunes Bordeaux a été victime d'une violente attaque policière 
sur les personnes conduisant la manifestation pacifique, 
entrainant les manifestant à repartir d'où ils venaient...

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Des “gilets jaunes” manifestent dans le centre-ville de Caen malgré l'interdiction
Après-midi tendu dans le centre-ville de Caen pour la 32e mobilisation des gilets jaunes. 
À la surprise générale ~500 personnes se sont données rendez-vous 
devant le château de Caen, 
alors que les manifestations en centre-ville étaient interdites. 
La situation a donc rapidement dégénéré.
3 içnterpellations
un GJ blessé et un bleu blessé.
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ACTE 32 , CAEN , LA BAC RENVERSE UNE MANIFESTANTE GJ
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LYON
une charge de la plice
une mamie au sol blessée...
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manif Paris

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À noter, que pour l'Acte 33, soit pour le samedi 29 juin 2019, 
un Rassemblement National est prévu à LILLE..

2019-06-22 samedi 32ième, Marseille, manifestation Marseille, bcp de blessés.


Samedi 22 juin 2019 a eu lieu à Marseille une nouvelle manifestation des Gilets Jaunes. On peut déplorer lors de cette manifestation des Gilets Jaunes blessés. 

Les forces de l'ordre laissent volontairement ou involontairement rentrer des manifestants dans des rues perpendiculaires à la manifestation et se retrouvent dans une impasse puisqu'à l'autre extrémité de la rue se trouvent d'autre policiers qui les empêchent de passer et les gazent. Leur seule possibilité est de refaire marche arrière mais impossible pour eux de sortir de cette rue, ils se retrouvent parqués, compressés contre les policiers qui matraquent et gazent (sans aucune distinction, que ce soit hommes ou femmes).

Pour info, même le caméraman de Provence Reportages, Marc, a subi un coup de matraque au niveau de la hanche. Il n'a pas été blessé car c'est son portable qui a amorti le choc mais le téléphone est HS.

En fin de manifestation, à niveau des Gilets Jaunes ont été parqués sur le Vieux Port et on peut entendre d'ailleurs certains dire "On n'est pas sous Vichy".

Victor Hugo a écrit « Les Misérables ».
Aujourd’hui « Les Misérables » sont dans la rue, avec un gilet jaune. Ils veulent vivre décemment et ne plus dépendre des caprices de Profiteurs qui s’enrichissent sur leur dos.

mercredi 26 juin 2019

FR3 Loire JT rond-point de Monthieu le samedi 22 juin matin lors de l'arrivée et l'expulsion de la police. diffusion le lundi 24 juin à 19h



Vidéo de FR3 qui provient des vidéos enregistrées par les journalistes de FR3 sur le rond-point de Monthieu le samedi 22 juin matin.
Puis  diffusion le lundi 24 juin à 19h au Journal télévisé.
De 1:52 jusqu'à 2:55  soit le format d'une minute.

On voit les policiers avec le commandant de Firminy sur le rond-point RP just'avant d'avoir été expulsés du RP.
Ils étaient venus à 4 voitures pleines. Voir mes vidéo à:
https://stef-mottin.blogspot.com/2019/06/2019-06-22samedidimancheacte-xxxii.html

Florian de Firminy gravement blessé le 17nov2018 par une voiture anti-GJ parle très bien; il avait eu 21 jours d’ITT et boite encore.
Votre serviteur, blessé le 6 janvier par 4 anti-gilet-jaunes qui ont brûlé la maison du RP de Méons et qui m’ont arrosé d’essence; 30 jours d’ITT.
Tous les deux, nous avions le même message "on lâche rien": GILET JAUNE A LA PLAGE.
On ira sur les rond-point et péages proches de nos lieux de vacances comme Florian sur Béziers.

Référence

 https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/emissions/jt-local-1920-saint-etienne
 https://embedftv-a.akamaihd.net/535b3f2a8e5682541086f6232763ba7f

lundi 24 juin 2019

2019-06-29 Gilets Jaunes : l'assemblée des assemblées au stade du Pouloux Montceau les mines.

Les délégations des Gilets jaunes de toute la France convergeront à Montceau pour la troisième assemblée des assemblées.

L'événement aura lieu au gymnase du Pouloux au bois du Verne, Rue de la Tagnière, 71300 Montceau-les-Mines, les 29 et 30 juin.

Au programme ? Deux jours de réunions de travail avec différents axes.

la logistique

La date de fin des inscriptions est repoussée au lundi 24 juin 2019 inclus.

Les Gilets jaunes de Montceau et des environs  pourront recevoir au maximum 1 300 personnes, avec 3-4 personnes par délégation.  

Les participants seront mandatés par les assemblées locales et les identités seront vérifiées à l'entrée du stade.

Côté logement, les Gilets jaunes se sont engagés auprès de la mairie à ne pas squatter les lieux.

" Un pôle hébergement a été désigné pour trouver des solutions de logements. Les Gilets jaunes pourront loger chez l'habitant ou encore à l'hôtel ", explique Fanny Morlet.

Le formulaire d’inscription est disponible ici :
https://framaforms.org/inscription-a-lassemblee-des-assemblees-iii-les-28-29-et-30-juin-a-montceau-les-mines-1558474283

https://www.facebook.com/assembleedesassemblees/

https://framaforms.org/inscription-a-lassemblee-des-assemblees-iii-les-28-29-et-30-juin-a-montceau-les-mines-1558474283

arrivée conseillée le 28, car le 29 les entrées seraient officiellemnt stoppées à 8h30
Le vendredi, à partir de 17h, sera une rencontre informelle jusqu'au soir.

Tous les GJ non mandatés, journalistes, chercheurs, etc. doivent passer par e-mail.

St-Nazaire

la video (780Mo)
https://www.facebook.com/assembleedesassemblees/videos/408795296570443/

Pour rappel, l'assemblée des assemblées avait permis l'organisation d'un travail de ~800 personnes à Saint-Nazaire.


31 décembre 2018, lettre de FO

Le SNPREES-FO s'est adressé au PDG du CNRS, avec copie au délégué régional Rhône-Auvergne et à la présidente de l'Université Jean Mo...