appel national a été lancé pour l’acte 44 des Gilets jaunes, à LYON
Sans préciser de quels genres de groupes ils s’agissaient, la préfecture Auverge-Rhône-Alpes annonces des groupuscules violents pour l’acte 44 des gilets jaunes à Lyon.ATTENTION quasiment TOUT est interdit!
DONC TOUS A BELLECOUR avant 12H; 10H30 pour les stéphanois et ceux de Givors. Certains altiligériens actifs filent sur MPT pour qqchose de non publiée...
covoiturages au dernières nouvelles:
vers 11h Villars
vers 12h Montrond
Meme Carlos file sur LYON ;-)
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Manifestation des Gilets jaunes : le préfet interdit le forum des associations du 2e arrondissement de Lyon
la Journée mondiale des premiers secours prévue samedi annulée à Lyon est aussi annulée.
Le forum des associations du 2e arrondissement programmé ce samedi 14 septembre de 14h à 18h, place Antonin Poncet a été annulé. Il sera reporté à une date ultérieure. En cause, les appels à manifester lancés par les Gilets jaunes, qui ont poussé la préfecture d'Auvergne-Rhône-Alpes à mettre en place une interdiction de manifester dans le centre-ville de Lyon.
La Journée mondiale des premiers secours, qui devait avoir lieu, samedi 14 septembre, place des Célestins, à Lyon 2e, est finalement annulée.
Cette journée était à l'initiative de la Croix-Rouge française, premier opérateur pour la formation aux gestes qui sauvent.
j'ai mis à jour pour la manif du 7sept sur Lyon et des suites
https://stef-mottin.blogspot.com/2019/09/compte-rendu-du-samedi-3-septembre-acte.htmlArrivé place Carnot, samedi 7 sept, des éléments de la BAC s’infiltrent sur les flancs du cortège, pendant qu'une section, lourdement équipée, se met à tirer du lacrymo sur les manifestants. Dans la confusion des premiers tirs, les FdO arrêtent Rémy, un de nos jeunes déter.
48 h. de garde à vue, de samedi 16.30h à lundi 18.00h.
Condamné pour insultes aux forces de l'ordre à :
Pour une période de 5 ans:
2 mois avec sursis, interdiction de manifester.
Et 150 € de dédommagement à verser aux trois fonctionnaires de la BAC concernés.
Dans le cas de notre camarade, le processus
Isoler/Criminaliser /Neutraliser a parfaitement fonctionné.
appel national a été lancé pour l’acte 44 des Gilets jaunes, à Nantes
Un appel national a été lancé pour l’acte 44 des Gilets jaunes, à Nantes, samedi 14 septembre. Cette manifestation « contre le pouvoir en place » fédère d’autres luttes, notamment « contre la police » après la mort de Steve Maïa Caniço. Les messages violents et la présence de groupes radicaux inquiètent les autorités. Une grande partie du centre-ville est interdite aux manifestants.La bande-annonce, qui circule sur les réseaux sociaux, se veut guerrière et menaçante. Un monstre, au milieu de hordes sauvages, scande : « Les gilets jaunes sont là, amenez-moi la BAC »(brigade anticriminalité). Des affiches placardées en ville, avec le symbole du homard font plus subtilement un clin d’œil à l’affaire De Rugy.
« La menace est importante » ???
Cette manifestation fait peur. La crainte de débordements est réelle. À l’image des dernières manifs Gilets jaunes au printemps, avec quelques centaines de participants, terminées sous les fumées des gaz lacrymogènes. Les autorités sont en alerte et ne dévoilent rien de leur dispositif de sécurité et de surveillance. « Des appels violents d’envergure nationale circulent, avec la participation d’individus extrêmement radicaux de type Blacks blocs »,observe la préfecture. « La menace est importante », met en garde le chef de la sécurité publique en Loire-Atlantique.
LENS
Ils sont de retour dans le Pas-de-Calais ! Les Gilets jaunes organisent une manifestation à Lens ce samedi 14 septembre 2019.Même si des représentants sont souvent présents dans les cortèges à Lille, cela faisait plusieurs semaines que les Gilets jaunes n’avaient pas été présents dans le département pour une manifestation.
Lire aussi : Lille. Manifestation des Gilets jaunes : quelques incidents et des tensions avec les syndicats
Centre-ville interdit
Cela ne sera toutefois pas dans le centre-ville puisque le préfet a pris un arrêté l’interdisant. Le préfet justifie cette décision par un risque de blocage de tout le centre-ville mais aussi et surtout « l’absence de dispositif de sécurité et de secours suffisant des organisateurs et le manque d’expérience dans l’organisation » d’un tel mouvement.
Les organisateurs annoncent en effet la participation de plusieurs milliers de personnes. Un chiffre qui semble un peu démesurée alors même que, selon nos estimations, ils étaient moins d’un millier à Lille la semaine passée (1 500 selon plusieurs Gilets jaunes).
Enfin, le préfet justifie son interdiction du centre par « le risque d’actes de violences et de dégradations et le risque manifeste de trouble à l’ordre public ».
À noter que les organisateurs ont appelé à quitter le gilet jaune pour une tenue noire. Le départ est prévu à 14 h du parking du stade Bollaert.
News
Main arrachée d’un gilet jaune à Tours, sa plainte classée sans suite ce 13 sept 2019
Ayhan a eu la main arrachée par une grenade GLI-F4 le 1er décembre 2018 lors de la manifestation des gilets jaunes à Tours. En s’appuyant sur l’enquête menée par l’IGPN, le parquet de Tours a décidé de classer sans suite.GLI F4. C’est le nom de la grenade lacrymogène qui a arraché la main d’Ayhan le 1er décembre 2018 lors de la manifestation des gilets jaunes à Tours. Une grenade lacrymogène « instantanée », mais qui ressemble à s’y méprendre à la grenade lacrymogène classique, dont la dangerosité est inférieure. Comme cela est écrit dans le rapport conjoint de l’ IGPN et de l’IGGN de novembre 2014, « lancée à main ou tirée au LGGM COUGAR, la GLI F4 combine un effet lacrymogène et explosif » et est « susceptible de mutiler ou de blesser mortellement un individu ».
un gilet noir GN
Le 11 septembre dernier, un Villeurbannais de 27 ans avait été interpellé.le GN s'était attaché avec un antivol pour moto de type U passé autour du cou -sans en avoir les clés-, était vêtu d'un slip et portait une cagoule.
Il était en possession de lames de rasoir, et a menacé de se trancher la gorge si les autorités n'accédaient pas à sa demande. En effet, ce dernier a déclaré militer GN pour obtenir un logement pour une famille de SDF et surtout tous les enfants SDF.
Un examen psychiatrique?
Les négociations s'étant révélées vaines, la BAC l'a maîtrisé de deux coups de pistolet à impulsion électrique. Les forces de l'ordre lui ont retiré les lames de rasoir, les sapeurs-pompiers ont coupé l'antivol à l'aide d'une pince hydraulique et d'une disqueuse.
Il a été conduit à l'hôpital Édouard-Herriot pour un examen psychiatrique. Il a reconnu les faits et est convoqué au tribunal correctionnel le 8 avril 2020.
Deux policiers jugés pour des violences volontaires sur des étudiants lyonnais
13 sept 2019; Policiers jugés pour des violences à Lyon: le parquet réclame du sursis
Estimant que leur intervention était « hors cadre », le parquet a réclamé ce vendredi deux et quatre mois de prison avec sursis contre les fonctionnaires.les FdO sont très fatigués.
LA justice? trois mois de prison ferme pour un jaune qui jette un oeuf sur un bleu!
Pour dissimulation de son visage et violences avec arme par destination lors de l'acte 23 des gilets jaunes à Bordeaux (Gironde), un manifestant a été jugé à de la prison ferme le 10 sept 2019.le jeune homme de 23 ans a reconnu devant le tribunal correctionnel de Bordeaux avoir caché son visage avec une capuche et des lunettes de soleil, et « jeté un œuf sur les policiers ».
L’accusé a écopé de trois mois de prison ferme , même si aucun représentant des forces de l’ordre n’a été blessé.
UN GJ devait répondre, entre autres, d’outrage et de violence sur trois agents de police.
Les faits se sont déroulés durant une manifestation de gilets jaunes, le 25 janvier 2019, au niveau de la gare de Dunkerque.Une patrouille repère tout de suite le prévenu dans la foule : ce dernier a été vu en train de jeter des barrières de chantier....
le 9 sept 2019, ce gilet jaune a écopé de six mois de prison avec sursis et une amende de 100 euros à verser à chaque policier.
Chalon, à la fin d'une contestation d'amende. On rigole dans cette histoire jaune ;-)
Il avance le bras et redresse sa main, pour que le président Deruelle soit assuré de la parfaite sincérité de son propos : il s’apprête à dire quelque chose mais ça ne concerne pas du tout le juge. « Pas vous, hein ! Mais certains nous prennent pour des cons, au niveau de la police et de la gendarmerie. » Il a 60 ans, il est retraité, il s’est investi à fond dans le mouvement des gilets jaunes, et il est convoqué ce mercredi 11 septembre devant le tribunal de police parce qu’il conteste une amende.Il n’a pas mis son gilet jaune pour venir, non, il a carrément une parka haute visibilité. Il ne fait pas les choses à moitié, il est comme ça. La presse était venue pour lui. Trois journalistes d’un coup en salle d’audience, ce n’est pas souvent d’une manière générale, et, au tribunal de police, c’est exceptionnel. Tout le monde a patienté pendant presque quatre heures que son tour arrive mais il n’a déçu personne et il a fait le show. Le 11 novembre dernier, à Chamforgeuil, il stationne sa voiture en plein rond-point et dans le sens opposé à celui de la circulation. La police lui demande de dégager la voie, il refuse. La police le prévient qu’elle verbalise. Il reçoit une amende à payer et aussi sec fait une requête en exonération : le véhicule désigné est bien le sien, mais « sur la D906 » c’est imprécis, rien ne dit qu’il était sur un rond-point et en plus « quand je m’arrête je mets un gyrophare sur le toit et mes feux de détresse ». Un gyrophare ? « On ne voit pas bien pourquoi, et êtes-vous habilité à en avoir un ? – C’est pour la sécurité ! » rétorque le monsieur qui lorsqu’il parle, parle très fort. Rien à moitié.
Parce que le manifestant a contesté l’infraction qu’on lui reproche, le commandant de police a demandé un rapport détaillé en complément du procès-verbal initial. Le président Deruelle lit : « stationnement dans un rond-point ». Le prévenu, qui envoie du sonore à chaque fois, s’exclame : « Ah ben je l’ai pas eu ! C’était pas marqué ça sur ce que j’ai eu ! Et en plus, pendant la manifestation des gilets jaunes, je m’occupais de la sécurité ! »
Le président lui lit le récit du major de police. « Moi je dis c’est du n’importe quoi ! C’est faux ! Et de la part de la police, c’est un abus de pouvoir. Je conteste encore. » Il est retraité, perçoit 1200 euros par mois, « et je fais du social dans toute la France. Je dis que le gouvernement ne s’occupe pas des personnes âgées ». Le président reste doux pour lui rappeler que « le tribunal n’est pas une tribune, monsieur ». Et c’est là que son vis-à-vis lui lance que certains les prennent « pour des cons ». Le ministère public, représenté par le commandant Gauthier, requiert une amende forfaitaire de 135 euros. « Qu’en dites-vous, monsieur ? – Ça ! Je ne connais pas le code pénal par cœur… Le commandant de police ne va pas aller contre ses hommes, ça serait de mauvais sens. Mais je ne suis pas d’accord. »
« Et qui se met des sous dans les poches ? C’est toujours les mêmes »
Le tribunal le condamne à une amende de 135 euros. L’huissier d’audience lui passe la décision et lui demande de la signer. Le prévenu compare la composition du jour à celle qu’il a connue lors de son précédent passage, et il arrache quelques sourires. « Pour moi, on est tous des hommes (il désigne le juge, la greffière, le commandant). Mais moi je relève l’injustice. – Merci pour cette part d’humanité » répond le président, au moment où le gilet jaune en parka tique sur le montant de ce qu’on lui réclame… « Il y a 31 euros de frais d’audience, lui explique le juge. C’est l’Etat qui impose… - Aaaah il peut se la couler douce, là-haut, au palais de l’Elysée ! » Puis il morigène l’huissier qui le presse un peu : « Vous me laissez pas le temps de lire ! Moi je vais pas signer n’importe quoi. »
Il lève le nez à nouveau vers le juge : « Et si on veut pas signer, ça se passe comment ? – Le Trésor public va… - Ah ben le Trésor public il me doit de l’argent, et qui se met des sous dans les poches ? C’est toujours les mêmes. » On passe de sourires amusés à une franche hilarité à travers laquelle les quatre heures écoulées à passer près de 40 dossiers se détendent un peu. « Au revoir ! On se reverra sur la route avec les gilets jaunes ! Au-revoir messieurs-dames. »
http://www.info-chalon.com/articles/faits-divers/2019/09/11/45619/tribunal-de-chalon-gilet-jaune-il-avait-use-de-son-vehicule-lors-d-une-manif-a-champforgeuil/
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GILET VERT
Pourquoi la raffinerie de Feyzin a activé ses torchères ce vendredi 13 sept ?
Total indique qu’un incident sur un « poste électrique » a nécessité l’utilisation des torches du site: flammes et fumées étaient visibles de loin durant une heure.Nouvelle utilisation des torchères à la raffinerie de Feyzin. Ce vendredi après-midi, Total a confirmé avoir eu recours à ce dispositif (toujours aussi spectaculaire et décrié par les riverains) entre 15h30 et 16h30 après un « incident sur un poste électrique du réseau externe ».
Il s’agit en fait d’une conséquence de l’incendie qui s’est déclaré sur un transformateur d’Air Liquide.
D’après le groupe pétrolier, « les équipes d’exploitation ont immédiatement pris toutes les dispositions pour limiter la durée de leur utilisation. La situation est rapidement revenue à la normale ». La direction de plateforme assure s’excuser « pour la gêne occasionnée. »
Pourquoi la torchère est activée ?
Le recours à cette installation fait partie des « procédures » de la raffinerie lors de la mise à l’arrêt d’une unité de production :
« D’importantes quantités de gaz – qui servent habituellement de combustibles – doivent être vidangées des capacités. Ces gaz ne peuvent être stockés sur le site et pour des raisons de sécurité, ils ne peuvent être émis en l’état dans l’atmosphère. Il est donc nécessaire de leur faire subir une combustion. Il s’agit d’un procédé classique et maîtrisé. Dans le cas d’un fort débit de gaz, la combustion peut être imparfaite et générer des fumées », indique Total.
La raffinerie qui précise : « Bien que l’usage des torches puisse parfois s’avérer spectaculaire, les produits émis sont des oxydes de carbone et de la vapeur d’eau. Ils ne participent que très faiblement à la pollution atmosphérique ».
La dernière utilisation des torchères remonte à moins d’un mois : le 16 août, en raison d’un incident sur une pompe.
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