- 13h au tribunal de st-é pour soutenir les 11 GJ du Mac-do
- 19h30 à Vienne pour l'avant première du film sur les gilets jaunes des 3 RP de la région AU CINÉMA AMPHI. De décembre 2018 à juin 2019, le réalisateur connu non politique Jean-Paul Julliand a suivi les gilets jaunes de Vienne, caméra à la main pour faire un vrai film.
Ce 12 oct 2019, ce blog a atteint 300 articles et 16 000 visites.
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acte 48 samedi 12 oct, Saint-Etienne
Nous étions "42" GJ-déterminés vers 15h place du peuple.De 14h à 15h nous avons échangé sur la place du peuple.
Vers 14h 30 un gradé de la police nous demande d'y rester et ne faire aucune entrave où ils agiront.
A 15h, nous sommes allés vers centre 2. une voiture de la police nous piste.
15h40 manifestation à l'entrée de centre 2 sans jamais bloquer des gens.
La sécurité a poussé la grille de fer sur deux femmes GJ et elles ont été bousculées.
pas de blessés.
2 camions de BACeux arrivent et mettent leur "armures" très vite puis se positionnent pour "protéger" l'entrée; il y a 8 BACeux dont deux avec des fusils lacrymo...
Le gradé s'énerve et a sans cesse son téléphone (voir videos).
Fin à 17h!
19h30 local st-é debout jusqu'à 21h
VOUS POUVEZ VISITER AUSSI TOUTES MES VIDEOS SUR GJ SUR MA CHAINE YOUTUBE:
https://www.youtube.com/user/exampleblogspot/videos
LYON
Soutien aux Kurdes: ~500 manifestants ont défilé50aine de Gilets jaunes a rejoint le cortège, qui a été émaillé par un incident sérieux : un automobiliste a été pris à partie après avoir exhibé un drapeau turc.
19h : la manifestation est terminée.
17h15 : la manifestation remonte la rue Reinach, dans le 7e arrondissement.
Selon un organisateur, le conducteur de la Twingo bleue à l'origine du sérieux incident en début de manifestation, aurait provoqué la foule en "montrant un drapeau turc".
16h50 : la tension se fait sentir sur le pont de la Guillotière.
16h45 : la manifestation de soutien au Kurdistan aborde le pont de la Guillotière avec beaucoup de slogans hostiles à la Turquie et son président Erdogan. Ils seraient entre 400 et 500 personnes.
16h25 : un violent incident a éclaté au début de la manifestation de soutien au Kurdistan. La foule a attaqué un automobiliste. Provocation du conducteur ? Le pare brise a été cassé à coups de bâtons.
L'automobile a reculé, manquant de renverser un gendarme mobile, et a pris la fuite en direction de la rue de la Charité.
La manifestation a failli être annulée. Le cortège, composé de Gilets jaunes et de manifestants soutenant les Kurdes, repart.
16h15 : la manifestation de soutien au Kurdistan part à l'instant de la place Bellecour, en direction des quais du Rhône. Environ 300 participants sont décomptés.
16h : des Gilets jaunes décident de rejoindre la manifestation de soutien au Kurdistan, qui se rassemble aux sorties du métro de Bellecour.
Ce qui n'empêche pas la poursuite d'une animation au centre de la place. Et la piétonnisation ailleurs dans la Presqu'île.
15h45 : coup de sifflet. "On bouge!"
Environ 100 Gilets jaunes décident de manifester. Ils font le tour de la place et reviennent au point de départ.
15h : une centaine de Gilets jaunes sont présents place Bellecour. Statiques, disséminés dans la partie Ouest de la place. L'autre étant occupé par une animation.
Un drapeau, un ballon, une pancarte, un chant, la situation reste très calme.
Selon une source policière, ils sont aussi une cinquantaine à Feyzin.
Toulouse, la nationale
Plusieurs milliers de gilets jaunes se sont rassemblés ce samedi 12 octobre à Toulouse, désignée “capitale nationale” pour le 48e acte du mouvement, une mobilisation marquée par de nombreux échauffourées avec les forces de l’ordre, qui ont interpellé 17 personnes et fait un usage massif de gaz lacrymogène.À Toulouse, dès le début de la manifestation, la plus importante depuis plusieurs semaines, des incidents ont éclaté et les forces de l’ordre déployées en nombre ont réussi à segmenter le cortège.
Plusieurs groupes de manifestants ont alors défilé jusqu’en début de soirée sur les boulevards et dans les rues commerçantes du centre, en scandant “On est là, même si Macron ne veut pas, nous on est là”. Mais sans pouvoir atteindre la symbolique place du Capitole, interdite d’accès la veille par la préfecture et protégée par des cordons de CRS.
Très peu de personnes portaient le gilet fluo pour cette manifestation non déclarée, dans une ville qui fait figure de bastion depuis le début du mouvement le 17 novembre.
“La police nous traite comme des cafards”
Selon la préfecture de Haute-Garonne, “la manifestation qui a rassemblé plusieurs milliers de personnes” était en cours de dispersion et 17 personnes ont été interpellées pour “transport d’objets interdits, jets de projectiles sur des agents des forces de sécurité, violences sur agents, interdiction de participation à la manifestation”.Les services de l’État ont recensé un blessé léger parmi les manifestants et un chez les forces de l’ordre.
“La police nous traite comme des cafards, en nous interdisant de manifester. Mais plus j’aurai peur, plus je viendrai”, a assuré Nathalie, une chômeuse de 60 ans, soignée par des “street medics”.
“À un moment je me suis retrouvée contre la vitrine d’un bar, la police a tiré et le gaz nous est tombé dessus comme de la pluie. Un éclat m’a entaillé le doigt”, a-t-elle raconté.
Plus loin, sur son fauteuil roulant, Odile Maurin, présidente de l’association Handi-social et notable des gilets jaunes toulousains, parle d’une “maltraitance institutionnelle”. “Le gouvernement répond à nos revendications par le gazage de personnes pacifiques de la part des forces du désordre”, a lancé la militante.
notre Carlos était à Toulouse voir ses lives:
https://www.facebook.com/carlos.deoliveira.33886
Paris
Besançon
Ailleurs
La régionale de Metz, quelque 500 personnes, selon la police, et ~1000 GJ ont manifesté dans le centre-ville.A Bordeaux, environ 300 GJ (150 personnes selon la police), dont à peine une dizaine portant un "gilet jaune", ont marché.
A Lille encore, ~250GJ de manifestants ont défilé. "Quand l'injustice devient loi, la résistance est un devoir".
A Bayonne —250 GJ Surtout des gilets jaunes mais aussi quelques militants de la CGT, de Solidaires et de la France Insoumise.
La liste est grande avec des actions à 40 à 100 GJ.
BREF pleins d'actions avec des bleus de partout.
Le mouvement est très fort car partout dans de nombreuses villes.
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