Lundi 20 janvier 2020 et 22janv, procès le puy l’incendie de la préfecture de Haute-Loire
Je prie les GJ de haute-loire de m'excuser mais j'ai un RDV familial très important demain sur st-é.
et pour le 22janv si c'est l'aprem je peux me rendre dispo mais je ne sais pas si on peut assiter au tribunal pour enfants du Puy-en-Velay?
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ven 17 janv 2020 Macrotte évacué du théâtre des Bouffes (Bouffons?) du Nord, vive les GJ réctifs
Le journaliste Taha Bouhafs, qui a indiqué la présence d'Emmanuel Macron dans un théâtre parisien hier soir, a été en GAV puis a été déféré à un juge d'instruction en vue de l'ouverture d'une information judiciaire.
Le fascisme macrottien se révèle: un journaliste publie sur twitter et GAV et déféré à un juge d'instruction !!!
A Beasançon
Suite à des "blocages" de l'institut supérieur des Beaux-Arts de Besançon, la cérémonie des vœux de la députée du Doubs LAREM ont été annulé. Elle a souhaité s'exprimer…Communiqué de la députée :
"La cérémonie des vœux que j’organisais ce samedi matin à l’Institut Supérieur des Beaux-Arts de Besançon a dû être annulée suite au blocage de l’établissement par une dizaine d’étudiants, rejoints plus tard par une cinquantaine d’autres manifestants venus exprimer leur contestation vis-à-vis de la réforme des retraites, des « violences policières » ou encore d’un supposé désintérêt des politiques culturelles.
Je suis allée à leur rencontre et j’ai constaté que le dialogue était difficile dans un premier temps. Par la suite, j’ai pu échanger avec un certain nombre d’entre eux malgré un contexte tendu."
aussi à st-é pour bloquer un député macrottien, voir ci-dessous
Paris acte 62= 62 interpellations
interpellations musclées de la policeDes tensions ont éclaté dès le début d'après-midi avec les forces de l'ordre, intervenues "pour disperser un bloc qui tentait de se constituer en tête de cortège", selon la préfecture de police de Paris. Peu après 20 heures, 59 personnes avaient été interpellées, a indiqué la préfecture de police. Trente-trois personnes avaient également été placées en garde à vue déjà à 18 heures, a de son côté précisé le parquet de Paris...
Parti de la Porte de Champerret aux alentours de 11 heures pour cette 62e journée de mobilisation, le cortège devait rejoindre la Gare de Lyon, dans le sud-est de Paris. Il était encadré par un important dispositif de forces de l'ordre.
La situation s'est tendue entre les place de République et de la Bastille
La situation s'est particulièrement tendue entre les places de la République et de la Bastille, où les forces de l'ordre ont tiré des gaz lacrymogènes et des grenades de désencerclement, aux alentours de 16 heures. Le cortège s'est scindé et la circulation était perturbée. Des jeunes cagoulés ont crié "Révolution!", alors que des CRS appelaient à évacuer la zone.
Le cortège est arrivé sous les gaz lacrymogènes place de la Bastille, où se trouvaient de nombreux véhicules des forces de l'ordre.
Plus tôt dans l'après-midi, à gare de l'Est, les manifestants chantaient "La rue, elle est a nous" et encore "Macron, on vient te chercher chez toi". Les forces de l'ordre, cibles de jets de projectiles, ont effectué des tirs de gaz lacrymogènes.
"Trop de souffrance dans cette sous-France", peut-on lire sur une pancarte. Parmi les autres messages: "Macron Philippe, traitres au peuple", "C'est nous les gentils", "Pas touche à ma retraite", "Blanquer démission".
Mais c'est surtout à l'arrivée devant la gare de Lyon, que le face-à-face s'est durci dans ce cortège organisé pour la 62e journée de mobilisation des "gilets jaunes", avec notamment l'incendie d'une baraque de chantier à quelques mètres de l'entrée de la gare.
Les forces de l'ordre, déployées en nombre depuis le début de l'après-midi ont fait usage à de nombreuses reprises de gaz lacrymogène mais également de canon à eau. Après 18 heures, alors que les CRS appelaient les manifestants à évacuer la zone, plusieurs groupes se sont dispersés dans les rues alentours, allumant des feux de poubelles.
"Il faut dire stop à Macron"
"Il faut dire stop à Macron. Il ne comprend que le rapport de forces, alors on est là et on lâche pas", a déclaré Christophe Rampierre, un retraité de 62 ans de la "petite fonction publique territoriale". "Il y a des vies derrière les politiques que ce Monsieur veut mettre en place", a ajouté cet homme de 62 ans, gilet jaune sur le dos.
"On étouffe avec ce gouvernement qui veut nous mettre à genoux", a pour sa part expliqué Annie Moukam, une enseignante de 58 ans. "La retraite, hors de question qu'il y touche. On travaille toute notre vie pour pouvoir partir avec une retraite digne et c'est précisément ça qu'il remet en cause", a ajouté la manifestante.
(via AFP)
meme BFM TV qui nous snobe a du en parler ce samedi 18 janv
https://www.bfmtv.com/static/nxt-video/embed-playerBridge.html?video=6124629746001&account=876450610001
Même BFM-TV montre une charge de la police lors de cet acte 62!!
Sur LCI ils ont même dit qu'ils n'avaient jamais vu autant de policiers à la Bastille!
Contrôle de police manifestation acte 62 des gilets jaunes encore et toujours les FdO interpellent Jérôme Rodrigues Officiel qui lui disent de respecter la loi et ils n'ont pas de RIO! Et une policière sans RIO lui dit de quitter le pays
incendie resto Rotonde
Ce samedi matin, vers 4h30, le feu s'est déclaré au restaurant La Rotonde, à Paris. Un endroit symbolique où Emmanuel Macron avait célébré sa victoire au soir du premier tour de l'élection présidentielle en 2017. Une enquête a été ouverte, mais la piste de la contestation politique est déjà privilégiée par la police. Selon plusieurs témoins, un Gilet jaune aurait été laissé en évidence dans la nuit devant le restaurant. Faut-il y voir une signature ?Toulouse
et d'autres actions
Le maire de Toulouse part en guerre contre les gilets jaunes et les casseurs
Nantes
fête des 2 ans de l’abandon de l’aéroport ND Landes,
le 18janv 2018 MACROTTE et son gouvernement a laché.
Bordeaux
Marseille
ROuen
St-é
samedi 18 janvier 2020
Rassemblement contre la reconnaissance faciale; Le député de la Loire Jean-Michel Mis devait faire un atelier-discussion sur la reconnaissance qu'il a annulé par peur des manifestant.e.s.marche de la place Chapelon jusqu'à sa permanence.
Jeudi 16 janvier 2020, Saint-Etienne.
4h30 : blocage du dépôt de la Stas. BRAVO POUR LES lèves-tot7h30 : tentative de blocage du lycée Fauriel, une quinzaine de policiers ont fait de la dissuasion puis, deux heures plus tard, des lycéens de Honoré d'Urfé et Mimard ont rejoint la poignée de Fauriel, tout s'est fini par un gazage.
10h30 : manifestation interprofessionnelle avec gros dispositif policier.
Lyon
Lyon : trois quartiers interdits à la manifestation ce samedi à LyonTrois quartiers sont interdits à la manifestation ce samedi 18janv à Lyon, et ce jusqu'à 22h. Le préfet du Rhône veut protéger les zones commerciales de la ville.
Trois quartiers de Lyon sont interdits à la manifestation ce samedi à Lyon, et ce jusqu'à 22h. Le préfet du Rhône veut protéger les zones commerciales de la ville.
"Afin de prévenir les dégradations et les violences de certaines personnes présentes dans les cortèges dans des zones très fréquentées en cette période de soldes, Pascal Mailhos, préfet de la région Auvergne-Rhône-Alpes, préfet du Rhône, a pris des arrêtés interdisant tout défilé ou rassemblement revendicatif le samedi 18 janvier 2020", précise la Préfecture.
Ainsi, trois périmètres, "Presqu'île", en gros entre Hôtel de Ville et Bellecour, le quartier autour du centre commercial de la Part-Dieu et celui autour du centre commercial de Confluence sont interdits à la manifestation jusqu'à 22h ce samedi soir :
Périmètre 1 dit "Presqu’Île" de 08h à 22h : délimité par la rue du Puits Gaillot, la place des Terreaux, la rue d’Algérie, le quai Saint Vincent, le quai de la Pêcherie, le quai Saint Antoine, le quai des Célestins, le quai Tilsitt, la rue Antoine de Saint-Exupéry, la chaussée Sud Bellecour, la rue Victor Hugo, la chaussée Sud Bellecour, la place Antonin Poncet, le quai Gailleton, le quai Jules Courmont et le quai Jean Moulin.
Les quais Saint-Vincent, de la Pêcherie, Saint Antoine, des Célestins, Tilsitt, Gailleton, Jules Courmont, Jean Moulin, la place Bellecour et la rue de la Barre sont exclus de ce périmètre.
Périmètre 2 dit "Part-Dieu" de 08h à 22h : délimité par l’angle de la rue Garibaldi et du cours Lafayette, rue Garibaldi, rue du Docteur Bouchut, rue du Lac, rue Desaix, boulevard Marius Vivier-Merle, avenue Georges Pompidou, rue de la Villette et cours Lafayette. La rue Garibaldi est exclue de ce périmètre.
Périmètre 3 dit "Confluence" de 08h à 22h : délimité par le quai Rambaud, la rue Montrochet, le cours Charlemagne et le cours Bayard. Le cours Charlemagne est exclu de ce périmètre.
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~200 GJ , acte 62
rendez-vous place Bellecour ce samedi 18janv, marchent en direction de La Guillotière.
On manifeste «pour la défense des retraites et pour les jeunes». Bcp ne portent plus de gilet - comme la majorité des participants - "pour simplifier les relations avec la police»,
déçu de l'absence des syndicats, ici à Lyon, contrairement à la majorité des villes.
Mais ilss étaient encore 16 000 selon les manifestants et 6 600 selon la police à battre le pavé, le jeudi16janv, à Lyon pour demander le retrait de la réforme des retraites. Les syndicats CGT, FO, la FSU, Solidaires et la CFE-CGC appellent à amplifier le mouvement.
Les forces de l'ordre suivent le cortège sans mot d'ordre pour ne plus se faire avoir.
GJ lyonnais Thierry «y a que dans la rue qu'on peut se faire entendre».
Un artisan, qui percevra 800euros une fois à la retraite. slogan "la faillite démocratique".
Certains GJ stoppent des véhicules...
Quelques troubles à l’ordre du public ont émaillé le défilé. Bilan, une interpellation pour jets de projectiles, tandis que les policiers pleurent car qq GJ ont fait une dégradation d’une vitre d’un de leurs véhicules.
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Je suis passé ce samedi 18janv à 13h15 au rond-point de Givors. Personne...
mais vendredi 17janv
Appel de la CGT à un rassemblement unitaire pour la défense du droit de grève devant le magasin Carrefour Givors le vendredi 17 janvier à 10h.
Depuis des années, la CGT Carrefour Givors défend de nombreux salariés et présente avec conviction à la Direction chaque mois les revendications des salariés. Soucieux des conditions de travail, du sous-effectif chronique, de l’attitude nauséabonde de certains managers, le 31 décembre dernier, nous avons décidés de monter au créneau car il n’est pas acceptable de souffrir au travail.
Ce qui c’est passé ce jour devant la réception devrait ne jamais se produire. Avec une violence inouïe, certains salariés ont décidés de repousser les collègues qui les défendent tous les jours. Les élus de la CGT Carrefour Givors ont toujours prônés l’unité des travailleurs et en aucun cas opposés les salariés entre eux.
Qui sont les coupables ? Sans aucun doute la direction de Carrefour pour diviser les salariés. Ne tombons pas dans le piège et rassemblons nous sans tarder.
Après avoir envoyé une poignée de salariés, comme si cela ne suffisait pas, Mme la Directrice fit intervenir également la Police. Après nous avoir opposé entre nous, le droit de grève était bafoué par la direction de Carrefour Givors.
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Roanne
Les lycéens dans la rue contre la réforme du BacCe vendredi 18janv, ils bloquaient le lycée Jean-Puy.
rès avoir bloqué le lycée Albert-Thomas jeudi matin, les lycéens de Roanne ont organisé le blocus du lycée Jean-Puy ce vendredi matin. Dès 8 heures, quelque 200 jeunes se sont rassemblés devant les grilles de l'établissement pour en empêcher l'accès à l'aide de poubelles et de palettes.
Vers 9 heures, les jeunes ont quitté les lieux. Ils devraient se rendre devant les lycées Albert-Thomas puis Carnot afin de protester contre la réforme du Bac, dont ils s'estiment les premières victimes puisqu'ils trouvent que ce changement a été très mal préparé.
Clermont-ferrand, une victoire contre le gouvernement
Au lycée Blaise Pascal de Clermont-Ferrand, devaient se tenir les premières épreuves de contrôle continu du baccalauréat ce samedi 18 janvier, conformément à la réfome Blanquer. C'était sans compter sur la mobilisation qui en a empêché le bon déroulement : les épreuves ont été finalement annulées.À Clermont-Ferrand, le lycée Blaise Pascal était, ce samedi 18 janvier, le théâtre d'une mobilisation contre la réforme du baccalauréat, mais aussi contre la réforme des retraites. Des épreuves de contrôle continu du baccalauréat, l'E3C, devaient se dérouler dans l'établissement. Aux portes du lycée, des syndicats, des parents d’élèves, quelques lycéens, au total, plus d’une centaine de personnes étaient mobilisées dès 7 heures ce matin. Ils ont appelé les professeurs et surveillants responsables des épreuves à se mettre en grève.
Le mot d'ordre : réussir à faire annuler ces épreuves. La réforme des retraites, celle du bac, pour la contestation, c’est un seul et même combat, celui mené contre les inégalités : "On sait très bien que, tant que le bac est un diplôme national, il est reconnu de manière égale, qu'il ait été passé à Clermont-Ferrand ou ailleurs et quel que soit le lycée dont vient l'élève. Avec ce système, c'est terminé", regrette Fabienne Chambon, secrétaire départementale de Sud Éducation.
Les épreuves du contrôle continu annulées
Sans opposition, le cortège a pénétré dans l’établissement, en direction des salles où devaient se tenir les épreuves d’anglais et d’espagnol. Une situation complexe pour les lycéens s'apprêtant à passer leurs examens, comme en témoigne Farouk, élève de première au lycée Blaise Pascal : "Au vu de l'état général, ça va être compliqué : s'il y a du bruit, si les élèves bloquent, si les professeurs bloquent, ça va être compliqué de passer l'épreuve".
A quelques minutes du début de l'examen, la proviseure du lycée est intervenue, demandant aux manifestants de quitter l'établissement pour des raisons de sécurité. Les contestataires n'ont finalement quitté les couloirs que quand ils ont eu la certitude de l’annulation des épreuves. À 9 heures, leur report a été décidé par la chef d’établissement. La mobilisation a remporté une première victoire.
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Macronie tape fort sur un gilet noir
Pierre Alain Mannoni est militant Niçois GILET NOIR poursuivi pour « aide au migrants » son procès a été délocalisé a Lyon.et devant la Cour d’appel mercredi 15 janvier à 13h.
Le procès est reporté à une date pas encore connue pour cause de grève des avocats
Message de Pierre Alain Mannoni (22 décembre 2019)
Il y a plus de 3 ans j’ai été arrêté pour « aide aux migrants ». J’avais secouru dans la montagne de la Roya 3 Érythréennes blessées. Je viens de recevoir la notification pour une nouvelle audience au tribunal. Ce sera la 5 e ...Il y a eu un premier procès à Nice où j’ai été relaxé, puis le parquet a fait appel et j’ai été condamné à Aix-en- Provence à 2 mois avec sursis. Nous avons saisi le Conseil Constitutionnel qui m’a donné raison et a censuré une loi injuste. L’Assemblée Nationale a rédigé un nouvel article et la Cour de Cassation a cassé ma condamnation contraire au principe de Fraternité désormais présent dans la loi. Mais la Cour de Cassation a demandé un nouveau procès à la lumière de la nouvelle loi. C’est là où j’en suis maintenant : 3 ans et demi pour savoir s’il est légal de secourir des gens en détresse !!!!.... Bref je retourne au charbon à la Cour d’Appel de Lyon le 15 janvier 2020 à 13h30.
Les États ne respectent pas le droit et sont responsables de l’horreur aux frontières et en Méditerranée... Mon affaire étant une des premières sur ce sujet, il est important d’aller au bout de la procédure judiciaire pour que cette question soit définitivement tranchée et qu’il y ait une jurisprudence de manière que ceux qui suivent ne puissent pas être attaqués avec les mêmes arguments. (...)
Si je gagne ça s’arrête, sinon on continue jusqu’à la Cour Européenne s’il le faut... (...) la solidarité ne se crie pas sur les toits mais aujourd’hui je le sais et sachez le, elle est présente partout. Dans les villes et les villages, sur les plages et dans les camps, des petites et des grosses fourmis sauvent des vies et offre de l’humanité. Merci à eux. Merci pour votre soutien.
Pour ces faits, P.A. Mannoni risque 5 ans de prison et 30 000 euros d’amende.
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Une émission spéciale sud radio consacrée au malaise et burn-out dans la police
Alexandre Langlois sur le malaise dans la police : "On est dirigé par des gens qui nous font faire n'importe quoi"
Nasser une place d'un point de vue maintien de l'ordre c'est complètement nul parce que les gens s'échauffent et ne peuvent pas sortir
L'année 2020 semble commencer comme 2019 s'est finie. Des tensions, des polémiques mais aussi des accusations de bavures qui ternissent l'image des forces de l'ordre et attisent la haine entre une partie de la population et les forces de l'ordre.
Résultat, déjà 4 suicides dans la profession depuis le 1er janvier 2020.
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Mobilisons-nous les 23 et 30 janvier 2020 à 14h00 au Tribunal Correctionnel (TGI, place Arago) de Perpignan contre la répression de deux Gilets Jaunes pour avoir critiqué la police en oct et nov 2019
Le 05 Octobre 2019, Abdelaziz "CRI 66" filmait comme la loi l’y autorise une manifestation de Gilets Jaunes. Les policiers se sont rués sur lui en lui dérobant son téléphone puis l’ont roué de coups de matraque et lui ont infligé un placage ventral après l’avoir jeté au sol. Après 48h de garde à vue, il est poursuivi pour rébellion et est convoqué le jeudi 23 janvier 2020 à 14h alors qu’il a exercé une liberté fondamentale reconnue par l’état français et la Cour Européenne des Droits de L’homme. La police de ce pays et le syndicat Alliance s’y opposent.Le droit nous autorise à filmer des policiers en intervention et à diffuser les images recueillies mais dans ses prises de position publiques, le syndicat Alliance s’oppose à la Loi et donc à nos Libertés.
Le 10 Décembre 2019, Nasser prend la parole au cours d’une Assemblée Populaire se tenant en centre ville à la suite d’une manifestation. Il conteste la légitimité de la présence du syndicat Alliance dans nos cortèges. Les policiers, à la demande du directeur départemental de la sécurité publique et du délégué départemental d’Alliance 66, se sont jetés sur lui. Après 24h00 de garde à vue, il est poursuivi pour provocation au crime et outrage alors qu’il a exercé une Liberté Fondamentale reconnue par l’état français et la Cour Européenne des Droits de l’Homme. La police de ce pays et le syndicat Alliance s’y opposent comme ils l’ont fait à Rennes, Lille, Dijon ou Nice par exemple.
Depuis des années, le syndicat Alliance s’oppose à la loi française en dénonçant l’obligation du port du RIO.
et les gilets jaunes en Corse. la police les laisse toujours très tranquilles et ne viennent pas ;-)
et pour finir, rigolons avec ce spectacle d'humour corse sur lle fait que les gendarmes ont peur des corses:
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