MANIF: demain, jeudi 6 février à 10H30, Bourse du Travail, St-étienne
rejoindre la grève et à participer à la manifestation interprofessionnelle pour le retrait de la réforme des retraites et nos revendications jaunes.------------
pour info, car les journalistes ne disent rien sur ce qui se passe dans l'université, et dans les lycées et de nombreux autres blocages.
J'étais à l'AG de l'université de st-é du 3 février 2020L’AG de l’UJM a pris connaissance de la motion de la coordination des Facs et labos en lutte qui s’est tenue à Saint-Denis les 1er et 2 février, coordination à laquelle elle avait délégué une collègue mobilisée et qui a rassemblé 750 collègues de l’enseignement supérieur et de la recherche, dont beaucoup de précaires.
Nous nous rejoignons dans la dénonciation de la réforme des retraites, et de la précarisation massive de l’enseignement supérieur et la recherche.
J'ai donné des nouvelles de l'étudiant immolé ANAS.
Ma présence comme GJ a été appréciée aussi par les étudiants...
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ACTE 64 1er fevrier 2020
rappel à Valence acte 63, 2 GJ stéphanois et du Giers ont été GAV, relachés après 48h.Seront convoqués au tribunal pour "feux". On se tient au courant.
Mon compte-rendu sera sur les faits que plus rien n'arrête les provocations et les violences policière lors de cet acte64
Montpellier, la nationale
Une personne handicapée en fauteuil roulant renversée par une charge de CRS à Montpellier retrouvée inanimée à l'arrivée des sapeurs-pompiers.Pendant combien de temps encore allons nous devoir assister à ce genre de scènes ?
N'entendent-ils pas cet appel à une vie digne ?
Montpellier : La place de la comédie évacuée à l’aide de Lacrymo et du canon à eau
et partout des dizaines de lacrymo
L'acte 64 a réuni ~4000 personnes au plus fort de la manifestation. Le climat s'est échauffé en milieu de journée, quand environ ~500 «Black blocs», venus de Toulouse, Lyon et de la région parisienne, ont rallié le cortège.
Les commerçants ont été obligés de fermer leurs portes. Un restaurant de McDonald's aurait été vandalisé et tagué, ainsi que des agences bancaires.
Plusieurs vidéos publiées sur les réseaux sociaux montrent l'usage de gaz lacrymogène sur la place de la Comédie en début d'après-midi à Montpellier. Les forces de l'ordre ont également utilisé des canons à eau pour disperser les manifestants.
Vingt-et-une personnes ont été interpellées, et quatre policiers ont été blessés.
Toulouse
L’archevêque de Toulouse s’indigne après l’intrusion d’un policier dans une Église« Les églises restent des lieux de paix », a rappelé Monseigneur Robert Le Gall, l’archevêque de Toulouse, après la diffusion d’une vidéo où l’on voit un policier tenter d’interpeller une femme, avant de la relâcher sur le porche du lieu de culte.
L’archevêque de Toulouse, Mgr. Robert Le Gall a rappelé ce dimanche au respect des églises comme « lieux de paix et d’asile », après une intrusion policière la veille dans le porche de Notre-Dame-du-Taur lors d’une manifestation de gilets jaunes.
« Hier, des manifestants se sont réfugiés dans l’église Notre-Dame du Taur, proche du Capitole à Toulouse. Les forces de l’ordre sont entrées dans le porche de cette église. Dans le climat de violence que nous vivons dans notre ville depuis plus d’un an tous les samedis, tout en reconnaissant le difficile travail accompli par ces forces de l’ordre dans notre pays, j’appelle chacun à plus de calme dans une volonté de dialogue », a déclaré l’archevêque dans un communiqué.
La scène, filmée et diffusée sur twitter par le journaliste Laurent Bigot de AB7Media, une chaîne Youtube couvrant les mobilisations sociales, s'est propagée sur les réseaux sociaux.
la préfecture dans un communiqué HONTEUX samedi soir.
"Un policier est entré par inadvertance sous le porche" de l'église "afin d'en extraire une femme en la saisissant par le bras"
"Le policier a immédiatement relâché cette femme dès lors qu'il a réalisé qu'il se retrouvait sous le porche d'une église. En aucun cas, il n'a pénétré à l'intérieur de l'église. Il n'a pas franchi les portes battantes qui mènent à la nef. Il n'a procédé à aucune interpellation à ce moment-là. Il n'y a pas eu d'exercice coercitif"
L'incident, a souligné la préfecture, est intervenu alors que "les groupes de manifestants hostiles" s'étaient "réfugiés dans plusieurs entrées de bâtiments rue du Taur", ou se dresse l'église, et que des "policiers ont cherché à les extraire de ces différents bâtiments".
Six personnes interpellées
Les forces de l'ordre, a indiqué la préfecture, intervenaient pour faire respecter l'arrêt interdisant aux gilets jaunes d'accéder à la place du Capitole devant effectuer pour ce faire, "malgré plusieurs sommations", des "refoulements successifs" en usant de "moyens lacrymogènes".
Six personnes, a ajouté la préfecture, ont été interpellées lors de cette manifestation - devenue rituelle à Toulouse depuis le début du mouvement gilets jaunes - qui a rassemblée plusieurs centaines de personnes.
cela a même fait la une de BFM TV!!
https://www.bfmtv.com/societe/gilets-jaunes-un-policier-intervient-dans-une-eglise-l-archeveque-de-toulouse-s-indigne-1851151.html
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Des tensions ont éclaté entre les «gilets jaunes» et les forces de l'ordre, aux abords de la place du Capitole. La préfecture de la Haute-Garonne avait pris un arrêté pour interdire l'accès à cette zone entre 13h et 19h,
En parallèle, des militants écologistes appartenant à ANV-COP21 et Extinction Rebellion ont protesté contre la surconsommation devant les Galeries Lafayette du centre-ville. Dans la matinée, l'association One Voice a aussi organisé une manifestation, mais pour lutter contre la chasse et ses traditions, rapporte La Dépêche.
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À Nantes, Caen, Lyon, Lille ou encore Rouen, les «gilets jaunes» se sont également mobilisés ce samedi, dans un climat assez calme...
PAris
Les Gilets jaunes nassés, main sur la tête et face contre le murhttps://www.facebook.com/OperationsSpecialesGJ/photos/a.2211889029139830/2486834794978584/?type=3
403 personnes verbalisées !
La manifestation des Gilets jaunes à Paris, de samedi 1er février, d’abord autorisée, a été tardivement interdite. D’où des centaines d’arrestions…Ce samedi, le parcours proposé par les Gilets jaunes allait de la place du Palais Royal à la place du Palais-Bourbon. Le trajet a été refusé le 31 janvier et la manifestation sur ce parcours était donc interdite. Des gilets jaunes se sont cependant rassemblés au point de départ, entre le Louvre et le Conseil d’Etat. Les forces de l’ordre ont tenté de les nasser.
des GiletsJaunes décident d'entourer un cordon policier nassant qui lui même entoure des GJ
ACTIONS JAUNES : que les élus LREM nous écoutent quand ils sortent
acte64 Saint-Étienne: des Gilets jaunes ont manifesté devant la permanence de Gaël Perdriau
Des Gilets jaunes s’invitent devant la permanence du député LREM du Tarn Jean Terlier
Les vœux de la députée Sophie Mette perturbés à Landiras
Les gilets jaunes perturbent le discours du député Hammouche (LREM)
Besançon : Eric Alauzet, député LREM poursuivi par des manifestants
Les vœux du député creusois perturbés par des Gilets Jaunes
2fev Mont-de-Marsan : les gilets jaunes s’invitent dans la campagne de Charles Dayot et la ministre, Geneviève Darrieussecq
Regardez comment est traité une gilet jaune qui « ose » poser une question lors des vœux d’Aurore Bergé puis les GJ se lèvent et chantent.
Haute loire, permanence d’une candidate vandalisée
Comment pensent la ministre et 2 députés de l'inhumanité En Marche à l'Assemblée !
"Passer les congés en cas de perte d'un enfant de cinq à douze jours, c'est s'acheter à bas prix de la générosité sur le dos des entreprises." Muriel Pénicaud La majorité a définitivement perdu le sens de l'humanité.
Qui est Muriel Pénicaud? Elle naît le 31 mars 1955 à Versailles. Son père est conseiller financier qui deviendra ensuite agent de change, sa mère est femme au foyer. Bref elle est élevée dans un milieu bourgeois en région parisienne.
les affaires
De janvier 2015 à mai 2017, Muriel Pénicaud est directrice générale de Business France, agence nationale au service de l'internationalisation de l'économie française. En mars 2017, une enquête préliminaire, ouverte par le parquet de Paris, vise cette agence. Cette enquête concerne l’organisation d'une soirée de promotion des start-up françaises à l’hôtel The Linq, organisée autour d’Emmanuel Macron, alors ministre de l'Économie, à Las Vegas le 6 janvier 2016, en marge du Consumer Electronics Show (CES), dont l'organisation a été confiée à Havas, sans appel d'offres, ce qui est contraire à la loi.Le parquet de Paris ouvre en juillet 2017 une information judiciaire pour favoritisme et recel de favoritisme.
les affaires n°2
En juillet 2018, des magistrats demandent au procureur l'ouverture d'une information judiciaire concernant le dossier « Creative France » dans lequel ils soupçonnent Muriel Pénicaud de favoritisme au profit, encore une fois, d'Havas.Le contrat ainsi octroyé aurait rapporté 13,2 millions d'euros à l'entreprise chargée de réaliser des spots publicitaires vantant l'attractivité de la France à l'étranger. Muriel Pénicaud a affirmé devant les juges qu'elle ne connaissait « personne d'Havas » et donc surtout pas Stéphane Fouks, vice-président de l'entreprise, ce que contredit l'enquête qui a eu accès à des courriels où ils se tutoient et où elle écrit à sa secrétaire « J'ai rendez vous avec Fouks, cela ne doit pas figurer à mon agenda, et cela ne doit pas se savoir »73. Dans l'abondante correspondance (notamment nocturne) révélée par l'enquête, figure par exemple un courriel daté du 3 juin 2015 (veille de l'audition des candidats retenus pour Creative France), disant « Stéphane, appelle-moi sur mon portable, c'est urgent ! ». Quelques mois après la victoire, Pénicaud sollicite auprès de Stéphane Fouks un poste chez Havas pour son neveu
encore les affaires
En mars 2018, Muriel Pénicaud a validé le licenciement d'un des responsables du syndicat SUD de La Poste, Gaël Quirante, alors que la procédure a été refusée à quatre reprises par l'inspection du travail, qui juge que les faits reprochés à Gaël Quirante ne sont pas assez graves pour le licencier et que son licenciement est lié à ses activités syndicales. Pour l'intéressé « C’est une décision politique [...] Il y a une volonté d’en finir avec les poches de résistance d’une entreprise qui veut multiplier les licenciements ». En mai 2019, elle autorise le licenciement de représentants syndicaux ou délégués du personnel de l’usine Whirlpool d’Amiens, dans le cadre de sa délocalisation vers la Pologne.----------------------
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Saint-Etienne BOUGE
Congé pour le décès d’un enfant: pourquoi deux députés de la Loire marcheur en arrière ont voté contre: parce que ce sont des INCOMPETENTS ET SANS HUMANITE
l’ex-député de la Loire, Jean-Louis Gagnaire, qui « incarne à sa manière l’idéal-type du néolibéral autoritaire. EXEMPLE DE «Dimension autoritaire du macronisme»
Saint-Etienne, grève des médecins SOS
4fev un dépôt de carburant bloqué en Meurthe-et-Moselle
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Déclaration sur les violences policières illégitimes, c’est officiel au JO
Le Journal officiel « Lois et Décrets » JORF n°0028 du 2 février 2020 en fait partie, notamment avec son texte n° 58, intitulé : Déclaration sur les violences policières illégitimes.https://www.legifrance.gouv.fr/eli/jo/2020/2/2/0028
C'EST UNE VICTOIRE JAUNE
Un texte qui clarifie une situation, et qui inscrit « la disproportion des réactions policières » comme une réalité, avec entre autres « le matraquage de personnes au sol, ou l’usage des LBD pointés sur le visage. »
JO Journal officiel de la République française. C’est le quotidien officiel en France, dans lequel sont consignés tous les événements législatifs, réglementaires, déclarations officielles et publications légales.
Texte n° 58 : Déclaration sur les violences policières illégitimes. NOR: CDHX2003043X. ELI: Non disponible. Assemblée plénière – 28 janvier 2020 Adoption 20 voix « pour », 14 voix « contre », 6 abstentions.
1. Depuis la fin de l’année 2018, et tout au long de l’année écoulée, de nombreux cas de violences policières – certaines ayant des conséquences dramatiques – ont été documentés et attestés. Dès le premier trimestre 2019, des institutions nationales (1) et internationales (2) de défense des droits de l’homme ont fait part de leurs fortes préoccupations à ce sujet dans le contexte du mouvement dit des « gilets jaunes ». Malgré ces interpellations, la liste des manifestants blessés et mutilés n’a cessé de s’allonger et, en ce début d’année, l’actualité met de nouveau en avant l’usage disproportionné de la force et des armes dites non létales par les forces de l’ordre.
2. La CNCDH Conseil National des Droits de l'Homme est consciente des graves difficultés et violences auxquelles sont confrontées les forces de l’ordre, jusqu’à l’épuisement et au suicide, dans un contexte où se sont succédé depuis plus de quatre ans l’état d’urgence, la crise des « gilets jaunes » puis un conflit social prolongé. Cependant la CNCDH ne peut admettre la rhétorique de la « riposte », à laquelle ont eu recours les pouvoirs publics, renvoyant dos à dos les agissements des forces de l’ordre et les violences commises par certains manifestants. On ne saurait transformer, dans un État de droit, les agents du maintien de l’ordre en des combattants en lutte, alors que les policiers sont des professionnels formés et habilités à faire un usage légitime et proportionné de la force.
3. La CNCDH tient en effet à rappeler que l’usage de la force par les policiers s’inscrit dans un cadre légal très précis : il doit être nécessaire au maintien de l’ordre et strictement proportionné (3). Cette exigence de proportionnalité vaut de manière générale pour toute intervention policière, y compris les opérations de maintien de l’ordre public lors des manifestations. La multiplication des violences policières observées depuis plus d’un an non seulement porte atteinte à l’intégrité physique des personnes visées, mais aussi dégrade la crédibilité des forces de l’ordre soumises à un devoir d’exemplarité (4). Elle engendre également des craintes parmi les citoyens, parfois tentés de renoncer à prendre part aux manifestations. La CNCDH est très préoccupée par cet effet dissuasif des violences policières sur l’exercice de la liberté de manifester et s’inquiète des entraves pesant sur la liberté d’informer et le droit de témoigner. La disproportion des réactions policières est manifeste dans certains cas : le matraquage de personnes au sol ou l’usage des LBD pointés sur le visage de manifestants sont inadmissibles et doivent faire l’objet d’une condamnation ferme et définitive de la part des plus hautes autorités politiques.
4. Les récentes déclarations du Président de la République et du ministre de l’Intérieur, insistant sur le devoir d’« exemplarité » des forces de l’ordre et de respect de l’« éthique » (5), vont dans le bon sens. Pour autant, une remise en question plus fondamentale s’impose. Or, à ce jour, aucun examen critique du commandement, de la mobilisation d’unités non spécialisées dans le maintien de l’ordre, des techniques d’intervention, ou encore du suréquipement des forces de l’ordre, n’a abouti. La seule initiative en ce sens, le séminaire d’experts réunis en juin 2019 par le ministre de l’Intérieur en vue d’un « nouveau schéma national pour le maintien de l’ordre », tarde à faire connaître ses éventuelles recommandations. Par ailleurs, le mal-être des policiers n’est peut-être pas sans lien avec la crise de la fonction et de l’encadrement des forces de l’ordre.
5. Soucieuse d’un apaisement privilégiant le dialogue et la négociation et souhaitant le rétablissement d’un lien de confiance et du respect mutuel entre la police et la population, la CNCDH appelle les pouvoirs publics à engager une réflexion plus globale sur l’usage de la force publique, s’agissant en particulier des modalités du maintien de l’ordre, en y associant des représentants des forces de l’ordre et de la société civile. Le traitement judiciaire des violences imputables à certains membres des forces de l’ordre – notamment les enquêtes qu’elles suscitent, ou bien encore l’asymétrie des procédures en cas de plaintes croisées des manifestants et des policiers – ne peut rester à l’écart de cette réflexion.
6. Pour sa part, la CNCDH a décidé d’engager des travaux sur les relations entre la police et la population qui s’appuieront sur un certain nombre d’auditions de toutes les parties prenantes et aboutiront à la publication avant l’été d’un avis assorti de recommandations. Cette réflexion doit permettre de dépasser le seul cadre de l’encadrement des actions répressives. C’est toute la conception du rôle des forces de l’ordre pour assurer la sûreté (et non seulement la sécurité) des citoyens qui est en jeu, depuis les périodes de crises jusqu’à la fonction de « gardiens de la paix » au quotidien. L’obtention d’un climat plus serein, dans toutes les occasions où se trouvent confrontées les forces de l’ordre et des citoyens, en dépend. Le respect des droits de l’homme n’est pas un obstacle au maintien de l’ordre, mais bien au contraire un gage de cohésion sociale, c’est une exigence incontournable de garantie d’une police républicaine, au service de tous, et de respect des libertés individuelles et collectives.
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(1) Défenseur des droits, rapport annuel d’activités 2018.
(2) Commissaire aux droits de l’homme du Conseil de l’Europe, Mémorandum sur le maintien de l’ordre et la liberté de réunion dans le contexte du mouvement des « gilets jaunes » en France, 26 février 2019 ; Déclaration commune du Président-Rapporteur du groupe de travail sur la détention arbitraire, du rapporteur spécial sur la situation des défenseurs des droits de l’homme, et du rapporteur spécial sur les droits à la liberté de réunion pacifique et d’association, 14 février 2019 ; Haut-commissaire des Nations unies aux droits de l’homme, 6 mars 2019.
(3) L’exigence de proportionnalité dans l’usage de la force est prévue par les textes internationaux (not. le code de conduite pour les responsables de l’application des lois adopté par l’Assemblée générale des Nations Unies le 17 décembre 1979, résolution 34/169) comme par le droit français : art. L. 435-1, al. 1er (pour l’utilisation des armes) et R. 434-18 (pour l’usage de la force physique) du code de la sécurité intérieure.
(4) À l’occasion des événements de mai 1968, le préfet de police Maurice Grimaud avait adressé un courrier aux policiers dans lequel il écrivait que « frapper un manifestant tombé à terre, c’est se frapper soi-même en apparaissant sous un jour qui atteint toute la fonction policière ».
(5) « C’est l’honneur de la police qui est en jeu, on ne fait pas de croche-pied à l’éthique, sauf à s’abaisser, à abaisser la police » : extrait des vœux de M. Christophe Castaner à la police nationale, 13 janvier 2020.
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Une fin avec un peu d'humour jaune
acte 64 à Montpellier: Une gilet jaune porte un soutien-gorge pour se protèger des Gaz puisque le masque est interdit-----------
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